Hygiène alimentaire : La viande des kebabs mise sur la sellette lors d’une enquête d’envoyé spécial

L’envers du décor !

Plans de travail non nettoyés, broyeuse de viande laissant des traces d’e marchandise avariée, odeur de pourrissement, des blocs de viande congelés laissés à même le sol et un endroit où les mouches s’en donnent à cœur joie.

C’est dans une fabrique Allemande qu’une équipe d’envoyé spécial c’est rendue en caméra cachée afin de filmer l’envers du décor et sans être expert en hygiène, ce qui ressort de ces laboratoires fait froid dans le dos.

Ce sont des viandes de bœuf, de veau ou encore de volaille qui sont traitées à mains nues.

Le patron du laboratoire dont il est question dans cette enquête exhibe avec fierté un document signé par l’UE certifiant la qualité et la conformité de ces produits pour une consommation sans danger ce qui lui permet de les exporter dans dans tous les pays membres.

Ces pratiques sont courantes dans le secteur car elles permettent de vendre ces viandes à des prix défiants toute concurrence.

Cette enquête remonte à 2015 et il est étonnant que depuis, peu ou pas de cas concernant des intoxications alimentaires n’aient été recensés sauf si la loi sur le secret des affaires récemment votée, notamment par le parlement français, ne permette de couvrir certaines dérives du système.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Extrait sur VK :

Enquête complète sur Youtube

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« Cash investigation » : Élise Lucet met en lumière « le scandale de la tomate »

Source de l’image

L’émission de France 2 « Cash investigation » est allée enquêter afin de répondre à une question : pourquoi les tomates n’ont aujourd’hui « pas de goût » ?

Le sujet peut paraître moins « explosif » que ceux traités habituellement par Élise Lucet dans « Cash investigation », mais le moins que l’on puisse dire c’est qu’il intéresse un grand nombre de personnes. En effet, l’émission de France 2 est allée mardi 18 juin sur les traces de la tomate, fruit star des beaux jours et qui est souvent taxé de « ne pas avoir de goût ».

Pourtant, les tomates sont belles, rutilantes dans les rayons des supermarchés, elles se conservent même plusieurs semaines. Mais elles ont en même temps perdu 50% de leurs vitamines.

L’équipe de « Cash investigation » est ainsi allée à l’Académie d’agriculture de France afin de se pencher sur les tables nutritionnelles des tomates au début des années 60 et de les comparer à celles d’aujourd’hui. « Et même pour nous, très franchement stupéfaction totale », a confié Élise Lucet sur le plateau de « C à Vous » à propos du scandale de la tomate. « Tous les fruits et légumes ont perdu 27% de vitamine C, la moitié de leur fer, et tout cela en 60 ans« , appuie la journaliste.

Une meilleure conservation, mais un goût insipide

« Tous les scientifiques qui travaillent sur les tomates ont d’abord cherché à augmenter le rendement. Donc ils ne se sont pas posé cette question des nutriments », souligne Linda Bendali, auteure de l’enquête qui a duré un an. Une perte de qualités nutritionnelles qui n’est pas perceptible par le consommateur. Jusqu’à ce qu’il ne s’y retrouve plus au niveau du goût. Grâce à un travail de croisement de variétés, des tomates hybrides ont été créées. Belles, rondes, bien rouges, et à la décomposition bloquée par une spécificité génétique.

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Alimentation : La vie aseptisée

Mardi soir à 21h00 dans Cash Investigation. vous découvrirez pourquoi nos tomates n’ont presque plus de goût, pourquoi mangez 5 fruits et légumes par jour ne suffit plus …

Drôles de salades en perspective !!!

Merci à Elise Lucet, l’équipe de Cach investigation et France télévision pour le partage.

Je profite de ce billet pour transmettre à Élise Lucet et son équipe, toute mon amitié.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Santé publique : Quand la science et la magie fusionnent

Quand la magie d’autre fois et la science d’aujourd’hui fusionnent !

L’incroyable histoire de Prisca qui a été défigurée après une opération due à un cancer de l’œil et qui va retrouver un nouveau visage grâce aux médecins de la Pitié Salpétrière et à une équipe de prothésistes hors pair !!!

Merci à Elise Lucet pour ce partage.

Stéphane Guibert / Finalscape

Crédit vidéo : France Télévision

Stéphane Guibert / Finalscape

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Le monde est au bord d’une crise systémique, quelle solution pour y échapper ?

Avec une économie mondiale qui vacille et qui est sur le point d’imploser face à un système de dette insurmontable, un environnement qui est sur le point de s’effondrer avec un écosystème qui disparait comme neige fondant au soleil, un peuple révolté et désespéré face à des élites corrompues, une dictature économique qui s’affiche au grand jour et sans complexe…

Quelle est la solution pour sortir de ce marasme et surtout de qui émanera-t-elle ?

Les mensonges :

Les médias n’ont de cesse que de parler de la lute en faveur du climat. Alors que cette lute attaque de front les transports les moins polluants tels que les voitures et les trains, d’un autre côté, les transports les plus polluants comme les paquebots et l’aviation ne sont pas touchés. Quelle est cette logique à deux vitesses pour une pseudo-lute en faveur du climat ? La taxe carbone est une foire aux bonnes affaires pour certains gros groupes industriels.

(A voir : Cash investigation « Climat, le grand bluff des multinationales)

Sur le plan environnemental, mais quelle différence en matière de médiatisation ! Alors que l’effondrement de notre écosystème aurait des répercutions et un impact beaucoup plus rapide et violent envers les populations, le réchauffement climatique avec lequel on nous rabat les oreilles depuis les années 70 et dont à l’époque déjà, on nous prédisait une catastrophe mondiale pour la fin des années 90 n’a eu ni l’écho ni les conséquences dont les médias s’appliquent à nous bourrer le crâne de semaine en semaine depuis des décennies et avec un acharnement accru depuis quelques mois.

Lute climatique : En marche vers une escroquerie universelle nous menant vers l’avènement d’une pensée unique !

L’environnement : Un silence médiatique qui profite aux gros consortiums industriels tels que l’industrie pétrolière, l’industrie pharmaceutique, l’industrie textile, l’industrie forestière et l’industrie pétrochimique. C’est tout ce petit monde grouillant de lobbyistes qui tient les politiques par les couilles et qui nous mène en bateau.

La simple logique et le le simple bon sens ne peuvent qu’accréditer ce que je dis ou du moins, nous donner une piste pour nous poser de sérieuses questions sur le mensonge dans lequel on nous maintient.

Quelle est la solution pour sortir de ce marasme et surtout de qui émanera-t-elle ?

Je ne veux ni être pessimiste ni alarmiste mais la confrontation au réalisme m’oblige à penser qu’il n’y aura pas de solution miracle à ce que nous préparons consciencieusement depuis près d’un siècle. Alors que des alternatives « vertes » pour parer à la destruction de notre environnement existent et sont mises en avant depuis quelques décennies, ni les pouvoirs publics, ni les populations ne se sont donnés de réels moyens pour y parvenir.

La symbiose entre la productivité et le consumérisme a aujourd’hui atteint son paroxysme et nous sommes entrés avec toutes les conséquences que cela implique, dans une phase d’autodestruction irréversible.

Combien de temps avons nous devant nous ? Difficile à dire exactement mais si l’on tient compte du fait qu‘en 40 ans seulement nous avons perdu 80% de notre biodiversité, la différence à faire est facile même pour un étudiant de primaire.

Toutes les crises sont sur le point de converger en une crise systémique ! Se voiler la face ne sert à plus rien car désormais les faits sont établis et le compte à rebours est commencé.

Tic-tac …

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

La question de l’effondrement de notre société est évoquée pour le première fois de façon claire par le 1er ministre Edouard Philippe.

 

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Consommation, déchets, CO2 etc … l’enfumage des multinationales dans toute sa splendeur

Le vrai visage du néolibéralisme

ÉLISE LUCET : CASH INVESTIGATION

Les multinationales :

Elles financent des ONG qui culpabilisent le consommateur en lui reprochant la mauvaise gestion de ses déchets et de cause à effet, en le rendant responsable voire même coupable en le pointant du doigt tout en lui disant que ce sont ses choix à lui qui sont la résultante de l’état de la planète alors que si l’on regarde d’un peu plus près, ses choix lui sont imposés ; dans un premier temps, par des lobbies qui achètent (pour ne pas parler de corruption) des députés européens qui iront forcément dans le sens des intérêts des multinationales, ensuite, les choix du consommateur seront téléguidés par un matraquage publicitaire effréné faisant de lui l’idiot du village s’il ne fait pas comme tout le monde. (C’est kro kro mignon !) Corruption des élites, « brainstorming » (Lavage de cerveau), tous les ingrédients sont réunis !

En revanche et dans ce contexte très précis des déchets, on peu effectivement et malheureusement déplorer les agissements de certains consommateurs qui ne respectent pas l’environnement ; je veux parler notamment des pique-niqueurs qui laissent leurs déchets derrière eux, je veux également parler des décharges sauvages ou des fumeurs qui larguent leurs mégots un peu partout dans la nature mais il ne s’agit là que d’une goûte d’eau dans l’océan car l’industrie du plastique représente 10 tonnes de matières non biodégradables produites chaque seconde dans le monde et dont une tonne fini dans les océans toutes les deux secondes.

Les multinationales :

Elles pervertissent la taxe carbone en une foire aux bonnes affaires.

Les multinationales :

Elles mandatent des études démontrant aux États que les morts prématurées qui sont liées à la consommation du tabac allaient faire des économies sur le coût des retraites.

Le néolibéralisme dévoile sa vraie nature et son vrai visage, une immondice qui démontre une toute autre facette de notre société soit disant évoluée mais aux vues de ce qui est dit ci-dessus, la loi de la jungle définie par nous-même comme étant sauvage, barbare et sanguinaire demeure un paradis de paix, de tranquillité et de sûreté en comparaison de ce que nous sommes.

« Il faut bien prendre conscience de ce qui lentement et sournoisement se déroule sous nos yeux égarés par des artifices savamment orchestrés ; il s’agit d’un asservissement mondialisé des populations au nom du néolibéralisme, ce rouleau compresseur sans âme qui ira jusqu’au bout, jusqu’à sa propre destruction tant qu’il aura une miette à se mettre sous la dent !

Un mal autodestructeur et absolu qui n’aura de cesse que d’enfler avant d’éclater !

À présent, il y a celles et ceux qui sont éveillés et qui lutent au péril de leur statut social et parfois même de leur vie comme c’est le cas avec les lanceurs d’alerte, il y a celles et ceux qui, satisfaits par leur sort ne regardent pas là où ça dérange et il y a celles et ceux que la dictature nourrit. »

Je vous propose un petit récapitulatif de 3 émissions de Cash investigation

  • Plastique : La grande intox
  • Climat : Le grand bluff
  • Industrie du tabac : La grande manipulation

La vidéo se termine par une mise en garde de la journaliste Elise lucet concernant la loi liberticide sur le secret des affaires proposée par l’ERM et qui malgré les pétitions qui s’y opposaient a finalement été adoptée par l’Assemblée générale en juin 2018.  Cette loi sonne le glas du journalisme d’investigation et étouffe un peu plus la liberté d’expression, donc, la démocratie.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / Anonymiss France / SOS Climat / VK

Désolé pour la faute de frappe sur le mot « Cash » dans la vidéo

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Environnement : Mobilisation de la jeunesse en faveur du climat … Oui mais … !

Mise à jour : samedi 16 mars 2019 – 13:45 –

En 1971, ce collégien paraît bien seul à s’indigner contre la pollution. En 2019, ils sont des milliers dans les rues.

Le tout est de savoir ce que la jeunesse actuelle est prête à faire dans le concret pou le climat car manifester c’est bien, agir c’est mieux.

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Le climat qui déchaîne les passions et qui divise de plus en plus la communauté scientifique pourrait bien être un enfumage médiatico-politique à l’échelle mondiale.

Le GIEC persiste en disant que ce phénomène de réchauffement global de la planète est dû dans sa majeure partie à l’activité humaine. Or, je vous invite à suivre la conférence de Vincent Courtillot, géophysicien français qui démonte scientifiquement les analyse établies par des centaines d’experts et y dénonce notamment l’enfumage du CO2.

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Climat : Les années se suivent et ne se ressemblent pas

Europe :

Un anticyclone persistant provoque une mini vague de chaleur en ce mois de février 2019 battant des records jamais égalés en altitude et bien que le GIEC persiste en disant que ce phénomène est dû dans sa majeure partie à l’activité humaine, je vous invite à suivre la conférence de Vincent Courtillot, géophysicien français qui démonte scientifiquement les analyse établies par des centaines d’experts et y dénonce notamment l’enfumage du CO2.

Stéphane Guibert / Finalscape

Voir aussi : 

Cash investigation – Climat: le grand bluff des multinationales / intégrale Cash Investigation révèle les dessous d’un étrange marché, celui des «quotas carbone».

Créé par l’Union européenne il y a dix ans, il était censé inciter les industries lourdes à réduire leurs émissions de CO2, ce gaz qui dérègle le climat. Mais ce système est aujourd’hui dévoyé au profit des plus gros émetteurs de CO2, pour lesquels polluer peut même s’avérer rentable.

Total n’hésite pas à investir des milliards de dollars au Canada pour exploiter le pétrole le plus sale de la terre. Dans la région de Melbourne en Australie, Engie, qui cultive son image d’entreprise verte, exploite toujours l’une des plus vieilles centrales du monde. En février 2014, elle a provoqué un incendie qui a duré 45 jours, asphyxiant toute la région.

Elise Lucet reçoit responsables politiques, experts et grands patrons.

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Fins de mois difficiles pour de nombreuses familles françaises

Tous les mois cette famille de français moyens arrive au 10 avec un découvert de 1’300 € 

Beaucoup de commentaires mettent en cause le train de vie de cette famille : voiture 4/4, belle maison, caravane dans le jardin etc …

La vie ne fait pas que des cadeaux et il est fort probable que les années précédentes aient été fastes pour ces gens, ce qui les aurait incité à dépenser, sachant qu’ils en avaient les moyens ; cette situation aurait plutôt tendance à démontrer la rapidité avec laquelle le tissu social s’est dégradé dans ce pays tout en reflétant les conditions désastreuses contre lesquelles se débattent de nombreuses familles qui  aujourd’hui sont devenues ce que l’on appelle des « working poor », ces travailleurs qui n’arrivent pas à boucler leurs fins de mois.

Cela représente également la pointe de l’iceberg  concernant les revendications des Gilets jaunes.

Triste réalité pour ce qu’est devenue la France qui selon la banque mondiale et le FMI est la 7e puissance économique mondiale et la troisième puissance économique européenne.

Stéphane Guibert / Finalscape

Crédit Vidéo : Envoyé spécial

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Santé publique et laboratoires pharmaceutiques : Ils veulent nous faire avaler la pilule à tout prix

Entre les maladies inventées ou les maladies exagérées, tous les moyens sont bons pour nous faire passer à la caisse.

Pas mal critiquée sur les réseaux sociaux, la vidéo qui suit met en avant 5 points importants sur la prise de médicaments en France. Il faut mentionner que des points mis en avant dans ce document : le cholestérol et l’investissement des laboratoires pour influencer certains médecins ont bien été vérifiés lors d’un numéro de l’émission cash investigation : « Les vendeurs de maladie », émission qui passe haut la main tous les testes en matière d’informations fiables.

Une étude faite sur la population américaine montre comment en changeant la virgule ou un chiffre d’un seuil, le nombre de patients augmente considérablement.

Deux exemples :

Autrefois on était diabétique au delà de 140 milligrammes par litre de sang mais en 1997, un comité de l’O.M.S a abaissé le seuil à 126 du coup, 1’700’00 américains supplémentaires sont catalogués comme diabétiques.

en 1998, le seuil passe de 240 à 200, soit 42’600’000 patients de plus autrement dit, 86 % de clients en plus pour les firmes pharmaceutiques.

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Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

 

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