Retour sur un article précédemment publié concernant ma très chère petite famille

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Mise à jour : dimanche 3 mai 2020 – 12:17 – Joyeux anniversaire frangine !

Retour sur un article précédemment publié concernant ma très chère petite famille.

Eh oui ma petite sœur, eh oui frangin, eh oui Maman …

Chers tous, il n’y a que la vérité qui blesse et en ce qui concerne la mienne, vous ne vous êtes pas privé de la sortir en long, en large et en travers ; cet article, même s’il vous a blessé n’est qu’un juste retour des choses ; je persiste et signe dans mes propos et suite à ça, vous me bannissez ? La belle blague ! Il y a déjà bien longtemps que c’est chose faite n’est-il pas?

Enfant seul et écorché vif, avec vous, je suis à bonne école bandes de connards. Oh Oui ! bandes de connards et je pèse mes mots !

Les enfants de la balle, bienvenue dans le club très fermé des « mal aimés. »

Retour sur un coup de gueule personnel :

Je republie et en remets une couche si vous voulez !

Je vous hais parce que vous m’avez tout simplement détruit et je ne regrette pas ce que je dis parce que ce n’est que pure vérité et ce que j’ai à dire sur votre compte est loin d’être joli ; vous êtes mal barré avec moi !

À ma sœur qui m’ignore, à ma nièce qui pourrit dans son infamie, à mes neveux aussi lâches que faux culs, à mon frère aussi fourbe que vil et à ma mère à qui je pose cette simple question : « m’as tu aimé un jour ? » Permets-moi d’en douter… Parce qu’un fils qui appelle au secours une mère qui lui tourne le dos, il faut aller chercher loin pour y trouver de l’amour. (Tu m’as juste permis de perdre ma famille, mon appartement et de vivre une année dans la rue. Merci mille fois.)

Où en êtes-vous dans votre cœur  bandes d’abrutis ? Mais où en êtes-vous donc ? Je suis désolé mais après 50 ans, il fallait que ça sorte et n’allez pas me jeter la pierre car elle risquerait de vous revenir en pleine figure.

De la part d’un adulte qui a su rester enfant.

On choisit ses amis mais pas sa famille et je l’ai appris à mes dépens

“Abus sexuels et calomnies un “Megamix” du mensonge humain dans toute sa splendeur”

Plus tu te fais des amis et plus tu as d’ennemis notamment dans ta propre famille.

J’ai des comptes à rendre avant de pardonner !

Merveilleuse hypocrisie que notre vie, j’ai toujours prôné la vérité et au niveau familial pourtant, depuis gosse, j’ai toujours été mis au ban de la société.

Ma propre nièce m’a accusé des pires crimes contre l’humanité en me traitant de pédophile, mon propre neveu m’a carrément supprimé de sa liste de contacts sur les réseaux sociaux en prétendant que je n’étais pas quelqu’un de fréquentable, ma propre mère ne m’appelle que lorsqu’elle à besoin de mes services pour son “Jules”, mon propre frère, “mais est-ce que j’ai un frère” ?

Quand je dis qu’on choisit ses amis mais pas sa famille, je crois être à bonne école pour vous en parler.

Je ne suis pas pédophile bien au contraire !  Je ma bats même corps et âme pour protéger les gosses.  Mon blog ne peut que l’attester !

Si pour mon neveu qui hypocritement me fait la bise lorsqu’il me croise en déclarant à qui veut bien l’entendre que je ne suis pas fréquentable, qu’il vienne se justifier auprès de moi (espèce de connard !)

Ma sœur qui se fait un malin plaisir de m’ignorer semble oublier les casseroles qu’elle traîne derrière elle.

Ma nièce ferait mieux de balayer derrière sa porte avant de critiquer ou d’accuser tout en se demandant pourquoi les services sociaux lui ont retiré sa fille.

Mon frère, c’est celui qui pue le plus et qui a abusé de moi quand j’étais gosse. Pourriture de merde. Tu peux bien te cacher mais la vérité te rattrapera espèce de vermine. Tu as tout simplement et tout bonnement bousillé mon enfance et ma vie.

La vérité, elle fait mal mais un jour ou l’autre elle doit sortir et de mes tripes vous la verrez exulter !

À ma famille :

Je vous pardonne, non pas pour une réconciliation car il est bien trop tard pour cela, le mal est fait mais pour vous dire que j’aimerais, une fois pour toutes, être libéré de votre emprise.

Libérez-Moi  et laissez-moi aller ! Après ça, je vous pardonnerai peut-être.

Bandes de vermines, tu peux y aller mec que je t’enfonce à donfe et c’est sans appel !

J’avais un putain de potentiel, vous me l’avez sucré par pure égoïsme ! Bravo ! Ça,  je ne vous le pardonnerai jamais.

Il m’aura fallu un demi siècle pour me ramasser à la petite cuillère mais j’y suis arrivé.

Les comptes sont à présent réglés et je vous invite à vous regarder dans un miroir tous autant que vous êtes.

Vous êtes la bassesse-même et on se dit initié par un grand maître spirituel ?

Avec tout mon amour et toute ma haine.

Je ne regrette rien !

Qu’est-ce que je vous ai fait pour mériter ça ?

Stéphane

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