Réforme de la SNCF : « Si on privatise, ce sont les catégories populaires qui en pâtiront », selon François Asselineau , président de l’UPR

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François Asselineau qui était présent à la manifestation du 22 mars à Paris concernant la privatisation de la SNCF répondait au micro d’un journaliste en disant que l’UPR était le seul parti qui prônait la sortie de l’Euro, de l’Europe et de l’OTAN afin de redonner aux Français la maîtrise de leur avenir tout en ajoutant que l’anéantissement des services publics découlait directement des traités européens.

L’UPR  propose de ne pas modifier le statut de la SNCF car si l’on va vers la privatisation de ce service public, en se référant à ce qui c’est passé en Grande-Bretagne, le passe Navigo coûte actuellement 75 Euros, l’équivalent en Angleterre coûte lui 400 Euros. Voyons ce qu’a donné la privatisation des autoroutes où l’on a vu flamber les tarifs et c’est toujours les catégories populaires de la population qui en payent le prix.

Selon le journaliste, il s’agit de la première grande apparition du président de l’UPR depuis le premier tour de l’élection présidentielle il lui demande alors si il s’agit du retour de François Asselineau.

François Asselineau rétorque que son parti a toujours été présent et n’a cessé de se développer depuis la présidentielle. Le nombre d’adhérents, plus de 30’500 aujourd’hui est en constante augmentation. L’UPR sera d’ailleurs présent aux prochaines élections européennes de 2019 qui occasionnera un réel débat sur l’appartenance de la France à l’Union européenne.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

 

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