France & crise des Gilets jaunes : Un coup d’État militaire, possible?

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Alors que l’international sionisme s’est mis en branle contre le peuple français en révolte, un quinzième samedi de défi à l’encontre du régime au pouvoir se profile à l’horizon : Toute la semaine, les annonces se sont succédé pour traiter les Français de peuple anti-sémite.

Le ministre israélien de l’Immigration est même sorti de ses limbes pour appeler les juifs de France à quitter la France raciste et antisémite pour « rentrer au bercail », ce bercail que Tel-Aviv entretient du sang palestinien.

Ce samedi, la presse française s’intéresse aussi aux confidences du président Macron, publié le 21 février, dans un ouvrage intitulé « Le Peuple et le président ». M. Macron dit :«Qui m’a soutenu pendant la crise des Gilets Jaunes ? Personne».
Cet aveu est significatif à bien des égards. Trois mois après le début du mouvement, le régime macronien se trouve dans un totale impasse.

La partition « antisémitisme » jouée à l’aide des lobbyistes pro Israël de France, combinée aux appels menaçant du CRIF, puis aux cris de « rage anti- antisionisme » du président a prouvé à quel point la Macronie est prise de court.

Dès sa nomination, l’actuel président a provoqué et quasiment affiché son mépris à l’égard de l’état-major de l’armée française, ce qui a même poussé l’ex-chef d’état-major le général De Villiers à démissionner.

« Certaines informations renvoient même à une demande de la ministre française de la Défense, Mme Parly qui au début du mouvement des Gilets Jaunes en novembre 2018 voulait disposer de la troupe pour protéger Paris. Or, la réponse aura été négative.

L’état-major a refusé d’engager des troupes contre le peuple français lequel ne représente à ses yeux aucun danger de sédition et apparaît totalement pacifiste ».

Bref l’armée française semble refuser de jouer le jeu de la Macronie et à mesure que le mouvement de protestation s’amplifie, ce refus s’élargit : En effet, le pouvoir français utilise les BAC pour réprimer. Un rapport cité par les sources de sécurité a même fait état que seuls 10% des LBD étaient tirés par la police contre 90% utilisées par les BAC et les CRS. La Gendarmerie se démarque des violences policières et des « primes à la matraque » !
Dans certains lieux de blocage les gendarmes soutiennent discrètement les manifestants, par exemple à Saint Calais, dans la Sarthe, un gendarme sort son arme de service pour arrêter un chauffeur de poids lourd qui voulait passer de force.

Interrogé par PressTV l’expert ajoute :

« Quand le président dit que personne ne l’a aidé réellement depuis le début du mouvement ou quand il va jusqu’à prévoir sa mort par balle, cela pourrait bien envoyer à ce désaveu que manifeste l’armée française à l’égard du président.
D’ailleurs la thématique du putsch et de coup d’État vient de faire son apparition dans le discours des officiels ».

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