En cas de faillite bancaire généralisée, les états n’auront pas d’autre choix que d’intervenir ; mais qui payera la facture finale ?
«Les vrais preneurs d’otages sont les banques. Car dans la société actuelle, sans les banques, les transactions les plus élémentaires deviennent impossibles.» Frédéric Lordon (Économiste)
Extrait de l’émission «Ce soir ou jamais» du 11 octobre 2011
Crédit vidéo : France Télévisions