Cela doit se savoir : Comment les politiques s’achètent de la popularité sur les réseaux sociaux

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Incroyable mais vrai !

Il existe ce que l’on appelle des fermes d’amis qui moyennant quelques Euros, 15 environ vous permettent d’acquérir amis et followers sur les réseaux sociaux.

Pour vous citer des exemples, Jean-Luc Mélenchon fait partie des hommes politiques les plus friands de ce genre de méthode avec sur son compte Twitter, plus de 70 % de faux amis et followers, 37 % du compte de François Hollande est constitué de faux amis devancé par Sarkozy avec 47 % et dans les partis politique c’est Europe écologie des verts qui a le plus recours à ce genre de pratiques.

Monde virtuel, monde de mensonges et on y est accros pour la plus part d’entre nous. Soyons vigilants et reprenons notre destin en mains !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Magouille des sondages : Philippe de Villiers

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Une réflexion sur “Cela doit se savoir : Comment les politiques s’achètent de la popularité sur les réseaux sociaux

  1. Thierry Theller dit :

    Débat – BFM.TV.CANICHE -, du 4 avril 2017.

    Sondage privé : réalisé conformément à la « probité » voyoucratique en vigueur dans les milieux mafieux, par BFM.TV.CANICHE soi-même,

    C’est sans doute pourquoi, l’ineffable E. Macron, pion baudruche favori des suscités, et chantre éminent des meetings populaires avortés, s’est vu octroyer un score de 27% : tout à fait représentatif de ses propos fondus dans le “miel” de l’actuel surréalisme supranational.

    Il n’empêche ! Ce ténor lyrique des salles vides est un artiste ! Pour preuves, il a déjà ses fans, ses groupies, ses bisounours et… ses nigauds.

    L’ennui, c’est que les ficelles de ses délirantes prestations sont aussi grosses que l’opulente fortune de ses sponsors.

    François Asselineau, lui : l’empêcheur d’arnaquer en rond, l’homme intègre aux meetings politiques surbookés, s’est vu généreusement accorder, sans doute par souci de crédibilité médiatique, un score subliminal de 3%. Il est vrai qu’un pourcentage de 00 %, aurait fait quelque peu désordre. Et peut-être même finir par mettre la puce à l’oreille des moins regardants.

    Reste que cette blagounette TV est tellement énorme, que le grand Jacques Brel aurait pu dire à son propos, que : « Chez ces gens là, Monsieur, on ne badine pas… On flingue ».

    Ce qui, manifestement, donne à penser que cette hypothétique paraphrase préfigure et annonce, si rien ne change, les véritables intentions des maîtres européanistes d’un IVe Reich désormais en « EN MARCHE ».

    Toutefois, le 23 avril et le 7 mai prochains, soyons-en persuadés, l’appel de la liberté prévaudra. La majorité des Français : abstentionnistes, résistants ou morts-vivants sociaux, n’abdiqueront pas leur ultime et peut-être dernier droit légitime à choisir enfin leur vraie vie. Ni ce qu’il leur reste encore d’aspirations à l’accomplir dignement. Sans contraintes liberticides.

    C’est pourquoi, oui !, le 23 avril et le 7 mai prochains, soyons en sûrs, la lucidité citoyenne prévaudra sur les verrous de toutes les prisons oligarchiques de ce pays.
    Et cette lucidité ne pourra être alors que déterminante pour la viabilité commune de cette nation et de son peuple, jusqu’alors voués à l’indifférence et au mépris des voleurs d’avenir.

    À ce moment-là, c’est-à-dire très bientôt, ni les traités félons, dénoncés sans faiblir depuis dix longues années par F. Asselineau, ni la mainmise bancaire sur une France socialement dépecée et devenue économiquement exsangue :recroquevillée sur les désidératas exorbitants de ses seuls prédateurs ploutocratiques, ne seront plus de mise.

    À moins, bien sûrs, que les Français ne lui préfèrent une option un tantinet plus radicale. À savoir, décider de leur propre euthanasie politique : complète et définitive.
    En effet, c’est là, une option. Mais c’est là, aussi, la véritable question.

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