La République En Marche organise la censure de l’opinion adverse et confie aux juges notre démocratie. Il y a la vérité officielle, celle des médias amis de Monsieur Macron, celle de ceux qui l’ont fait élire et le reste !
Nous sommes En Marche vers la censure : un site internet de la presse aura l’immunité. Il pourra relayer de fausses informations alors qu’un site qui ne plairait pas à LREM, pourrait être censuré par un juge.
Aujourd’hui, les médias sont détenus par 9 milliardaires qui font l’information dans notre pays. C’est ce monopole qui pousse les Français à se renseigner sur internet.
La République En Marche veut manipuler les élections en utilisant les juges et la presse. Ce qu’ils ont fait par un concours de circonstances en 2017, ils veulent l’organiser pour 2022.
C’est aux citoyens de se faire leur propre jugement !
En 50 mois d’existence nous avons installé la presse alternative dans le paysage audiovisuel français. La croissance en nombre de vues mais aussi en temps d’écoute et en nombre d’abonnés, déjà plus de 100’000 abonnés sur Youtube et le double sur les réseaux sociaux constituent un vrai motif de satisfaction et au delà, un signe d’encouragement pour poursuivre dans cette voie.
En 50 mois, TV Liberté est devenu créateur d’informations et des médias classiques font appel dorénavant et régulièrement à ses images. Tous les voyants semblent au vert.
Malheureusement, en réalité ce n’est pas exact. Je vous doit la vérité ; il y a un vrai nuage au dessus de nos têtes, un nuage noir qui pour la première fois d’ailleurs obscurcit l’été à venir. Ce nuage porte un nom cru :
La Censure !
Message publié sur Twitter le 14 juin 2018 :
« Bonsoir, le compte de notre chaîne TV Libertés a été désactivé / supprimé inopinément par Youtube. Nous sommes en train de chercher des solutions. Veuillez croire que nous sommes désolés de cette situation. Nous espérons très rapidement vous retrouver dans nos programmes. »
L’équipe TVL
La censure semble être effectivement passée à la vitesse supérieure en clôturant plusieurs comptes de ces médias dits dissidents que ce soit sur Youtube ou sur les réseaux sociaux.
Bien que le média TVL soit catalogué pour certains comme étant réactionnaire et faisant partie de l’extrême droite, c’est la liberté d’expression qui est bafouée de plein fouet et cela se précise tranquillement avec la loi sur les fake news ou encore celle sur le secret des affaires.
Le mondial puis les grandes vacances d’été qui suivront, est-ce que les français auront encore assez de temps pour consacrer de leur énergie et réagir à ce qui dessine pour leur avenir ?
Il y a 4 jours, alors que je partageais sur des groupes dans lesquels je suis affilié, je reçois de la part du réseau social une alerte me disant que jusqu’au vendredi 11 mai je ne pourrai plus publier dans les groupes auxquels j’appartiens et dont je ne suis pas administrateur. Ok, j’ai pris bonne note.
Aujourd’hui, vendredi 11 mai, les choses semblent être rentrées dans l’ordre mais voilà :
J’ai publié et partagé deux publications, la première concernant les chemtracils, article qui n’avait rien de complotiste car je n’affirmais et n’infirmais rien tout en invitant les lecteurs à faire des recherches sérieuses et le second, en mettant en avant la vie en Syrie et ce, malgré la guerre.
Après 4 ou 5 partages, je reçois le message suivant de la part du réseau social :
« Vous ne pouvez temporairement plus publier dans des groupes que vous ne gérez pas et les rejoindre jusqu’au 18 mai, 18:03. Si vous pensez que c’est une erreur, dites-le nous. »
Fin de citation.
Je ne vais pas leur faire ce plaisir et vais tout simplement et tout bonnement ne plus rien publier sur Facebook ni même sur ma propre page, je vais néanmoins conserver mon compte afin de ne pas perdre mes contacts.
Les lectures et les publications « Rose bonbons, guimauve et autres lavages de cerveaux à dessein de lobotomiser l’opinion ne seront jamais inquiétées sur ce réseau social que je considère et qualifie de collabo en faveur d’un système mortifère qui n’a rien à voir avec les intérêts de l’être humain. Pour peu que nous soyons éveillés et conscients de ce qui nous arrive, pour peu que nous tentions de transmettre nos craintes, nos peurs et nos certitudes afin d’éveiller les masses dormantes, nous serons systématiquement ostracisés et censurés par ceux à qui nous faisons peur.
En ce qui me concerne et désormais, tout passera directement par mon blog, par VK et par mondiaspora.
Pour le réseau social Facebook, mes publications seront partagées en messages privés aux contacts que je considère comme étant fiables.
Témoignage effarant de Jean-Baptiste Rivoire, rédacteur en chef à Canal+, qui refuse de se taire face aux méthodes de Vincent Bolloré pour étouffer les journalistes d’investigation.
Si vous doutiez encore des véritables raisons qui poussent les oligarques à investir dans les médias…
Vidéo à regarder jusqu’au bout.
Vincent Bolloré a pris le contrôle d’une télévision nationale dans laquelle il viole en permanence la loi de 1986 qui prévoit que les intérêts d’un actionnaire ne doivent pas entraver la liberté éditoriale (censure) et c’est ce qui est vécu depuis 2015 sur la chaîne Canal + en permanence.
La dernière censure en date remonte à 2017, (l’effet papillon) au Togo. Le sujet évoquait la présence de manifestants qui se mobilisaient depuis des mois contre le dictateur Faure Gnassingbé. Le sujet a donc été balayé des plateformes de la chaîne et comme cela ne suffisait pas, la direction de Canal + nomée par Vincent Bolloré a fait diffuser un reportage pour expliquer que le Togo était un modèle de stabilité politique.
Vincent Bolloré fait de la chaîne Canal+ un instrument de propagande dans une totale impunité.
Un journaliste ayant fait un portrait sur Vincent Bolloré, portrait qui avait été récompensé a été trainé devant les tribunaux par ce dernier. Pour se rendre au tribunal, ce journaliste qui s’appelle Tristan a été obligé d’être entouré par des gardes du corps afin d’assuré sa protection, et que la veille du procès, son appartement avait été envahi par des barbouzes en pleine nuit.
Que fait le gouvernement aujourd’hui ?
Il est en train de pondre une loi « secret des affaires » qui va faciliter le fait de faire encore plus de pression sur les journalistes qui essayent d’enquêter sur l’économie.
Prenez 4 minutes sur votre temps afin de visionner cette vidéo qui en dit long sur l’état de la liberté d’expression ou autrement dit, la démocratie, dans le pays des droits de l’homme.
Le principe de censure ayant déjà fait ses preuves sur les médiats indépendants, on passe à la vitesse supérieure en interdisant à un journaliste du service publique de s’adresser au président Macron.
Cela suit une logique qui se met rapidement en place, voyez également la loi sur le secret des affaires.
Voilà donc ces réformes censées être nécessaires pour la France ; mais pour la France de qui ?
Non, la chronique ne s’est pas perdue dans les tuyaux de la Maison de la Radio, comme l’indique la page d’erreur sur France Inter, la vidéo a bel et bien été retirée par la rédaction. Nous la republions sans la mention des noms des responsables SNCF.
La comédienne Audrey Vernon avait défrayé la chronique ce vendredi 17 Mars, en revenant sur les circonstances du suicide d’Edouard Postal, cheminot réprimé par la direction qui s’était donné la mort quelques jours plus tôt et pour lequel des centaines de cheminots s’étaient donné rendez-vous le mercredi 15 mars, gare de Paris Saint Lazare pour un hommage émouvant. Elle revient dans sa chronique sur les difficultés des travailleurs du public, dans la santé, les Télécom, la Poste ou la SNCF. Elle dénonce cette série noire de suicides, qui cache le passage en force des suppressions d’emplois et autres réorganisations ou privatisations que vivent les travailleurs au quotidien.
Sur Youtube
Sur VK
Après les suicides, les répressions antisyndicales assumées, voilà que la SNCF joue un rôle troublant dans le retrait par France Inter de cette chronique de 2min25 d’Audrey Vernon, sur une radio pourtant dite publique. Sa chronique est comme un bol d’air frais dans ce paysage médiatique, qui d’habitude préfère mépriser et traiter les travailleurs qui luttent, comme des voyous. Ou bien encore qui essaye de faire passer l’acte d’Edouard, comme l’acte d’un déséquilibré psychique, en omettant de faire le rapprochement entre suicide et répression. Les cheminots avaient largement aimé et partagé sa chronique, pour sa véracité et surtout pour toute l’émotion qu’elle suscite dans ses mots soigneusement choisis.
Alors pourquoi avoir mis la pression sur la radio pour que ce billet d’humeur soit retiré ? Le problème serait-il venu de la dénonciation que fait Audrey des 3 dirigeants de Paris St Lazare, citant leur nom publiquement ? Mais cette dénonciation est juste car c’est bien cette politique, pensée dans les plus hautes sphères de la SNCF et appliquée par les dirigeants d’établissement, la responsable de ce qui se passe aujourd’hui à la SNCF. Les dirigeants d’établissement qui avaient engagé les poursuites disciplinaires contre Edouard Postal devraient donc être amenés devant les tribunaux. La SNCF, très embêtée par cette chronique, après le suicide d’Edouard Postal le 10 mars, puis celui de Frédéric Hein, cheminot de Mulhouse, jeudi 16 Mars, entame une démarche de nettoyage de la communication. Car plutôt que de faire son mea culpa en prenant toutes les mesures nécessaires pour arrêter cette série infernale de suicides et de répression antisyndicale, la SNCF essaye maintenant de limiter la liberté d’expression des journalistes. Cela arrive après que la direction ait mis en garde l’ensemble des cheminots sur les réseaux sociaux, en conseillant de faire attention aux termes employés, et de ne pas critiquer l’entreprise publiquement, sous couvert toujours de ce fameux code de déontologie, qu’elle sait utiliser comme bon lui semble pour réprimer les militants syndicaux.
A quoi joue la SNCF, si ce n’est d’essayer de jouer la montre pour que les affaires se tassent rapidement, sans que la nouvelle image que les dirigeants essayent de donner à l’entreprise après la réforme ferroviaire, ne soit trop entachée ? Car oui la SNCF a besoin d’avancer sans bruit, jusqu’à cette ouverture à la concurrence qu’elle attend de ses vœux et qu’elle prépare à coups de pression sur la productivité des agents (avec notamment ses projets de fermeture de technicentres, de rachat de lignes par sa filiale privée Transkeo, la fusion des établissements voyageurs, la suppression des agents d’accompagnement, etc.)
Pour reprendre la conclusion d’Audrey Vernon à l’adresse des cheminots : « C’est vous qui faites tourner le monde, s’il vous plait continuez ! Arrêtez de vous suicider ! »
J’ai constaté que mes commentaires sont systématiquement censurés sur Facebook à partir du moment ou les mots clefs « finalscape.com » en font partie.
La preuve sur l’image ci-dessus ou je répondais à un Fake en fournissant le lien qui le démontait :
Réponse de Facebook sur le lien : Votre commentaire sur la publication de xxx a été marquée comme indésirable. Corrigez-le …
Sur le commentaire du dessous « blabla » cela a passé comme une lettre à la poste.
La censure en marche à pas de géant !
Pour info, le « Hoax » en question prétendait que suite à une augmentation soudaine du prix des carburants, des milliers d’allemands avaient décidé d’abandonner leur véhicule sur la voie publique alors qu’il s’agissait en réalité d’un immense bouchon en chine.
Cette courte vidéo un petit peu dans l’urgence pour vous avertir de ce qui est en train de se passer sur Internet.
Les géants du web, Facebook, Youtube, Google et compagnie donc ce qu’on appelle les GAFA sont en train de faire le ménage dans leurs contenus, leurs algorithmes, pour évincer, faire taire, supprimer toutes les voix dissidentes ou l’information alternative en général. Et en France, la censure est particulièrement violente :
On a vu plusieurs pages Facebook être définitivement supprimées sans préavis, et à priori sans possibilité de retour en arrière.
On sait qui nous domine et quel réseau ils ont derrière eux, on sait aussi qu’en étant sur les réseaux sociaux on joue à l’extérieur, sur leur terrain à eux, mais voilà, nous devons dénoncer quand-même de toutes nos forces cette censure, qui est plus perfide qu’on le pense. Ils nous réduisent au silence, les uns après les autres, de différentes façons, en allant jusqu’à modifier leurs algorithmes pour que nos vidéos se propagent le moins possible. Je pense à la vidéo du Raptor dissident qui a disparu des tendances Youtube au bout de 2 jours alors qu’elle était numéro 2.
Cet article tombe à point nommé car juste après la publication du billet consacré au journalisme d’investigation, François Ruffin, journaliste et homme politique, nous informe que dans un esprit d’économies, l’assemblée nationale va s’en prendre aux magasines d’investigations Complément d’enquête, Envoyé spécial et cash investigation en supprimant 33 CDD pour complément d’enquête et envoyé spécial dont on va diminuer la fréquence par 3 voir par 6.
Voilà comment la contrainte budgétaire se conjugue avec la censure politique.
« Complément d’enquête » et « Envoyé spécial » sous le choc des coupes budgétaires
Lors d’une assemblée générale, les journalistes de France Télévisions ont adopté le principe d’un vote sur une motion de défiance contre la présidente du groupe public, Delphine Ernotte.
« D’accord pour participer à l’effort de guerre, mais là, ça va trop loin… » Ce journaliste résume « l’état de sidération » des équipes d’« Envoyé spécial » et « Complément d’enquête », deux émissions sur lesquelles la direction de l’information de France Télévisions veut réaliser des économies.
Une « piste » à l’étude serait de diffuser les « jeudis de l’information » seulement en première partie de soirée, ce qui réduirait le temps d’antenne de ces émissions présentées par Elise Lucet et Thomas Sotto. Au passage, des contrats à durée déterminée, majoritaires dans ces émissions, seraient supprimés. « Rien n’est encore arbitré », a précisé le directeur de l’information, Yannick Letranchant, mercredi 22 novembre sur France Inter.
Sans rassurer : une assemblée générale s’est tenue jeudi 23 novembre à France 2, lors de laquelle les journalistes ont adopté le principe d’un vote sur une motion de défiance contre la présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte. Le vote aura lieu dans les prochains jours.
« Réduire la voilure »
Mardi, les équipes des deux émissions ont adressé une lettre ouverte à la présidente Delphine Ernotte : « Une rédaction des magazines de service public, c’est la possibilité de pouvoir enquêter sur Bygmalion sans être censuré, d’envoyer une équipe en Erythrée sans être accusé de sous-traiter le risque, de dévoiler les dessous de la communication d’Emmanuel Macron sans payer les mécontentements du Château (…), d’être la seule rédaction suffisamment indépendante pour pouvoir enquêter sur Vincent Bolloré et de remporter ainsi le prestigieux prix Albert Londres. »
Mercredi, la société des journalistes (SDJ) de France 2 a renchéri : « Tout en payant la même redevance, le téléspectateur verra moins d’émissions d’enquêtes et d’investigation. »
En face, la direction met en avant les économies imposées par le gouvernement : le budget 2018 a été réduit de 50 millions d’euros, malgré le non-remplacement d’un départ à la retraite sur deux. « Réduire la voilure n’est jamais agréable mais aucun service n’y échappe », a assumé Yannick Letranchant. Une bataille de chiffres est engagée : « Cinquante millions d’euros, sur trois milliards de budget, ça devrait représenter moins de 2 %, argumente un journaliste. Or, “Envoyé spécial” et “Complément d’enquête” emploient 25 reporters, dont seulement 7 en CDI, pointe-t-il. « Si on supprime les CDD, il ne restera que cinq journalistes à “Envoyé spécial” et deux à “Complément d’enquête”. »
Nous conservons les deux marques »Selon la direction, il n’y a pas plus de 55 % de CDD, si l’on inclut les non-reporters. Surtout, les réductions de postes ne seraient pas chiffrables car elles dépendent de la fréquence de la nouvelle programmation et de sa date d’entrée en vigueur, a priori en début d’année. Sur les plus de 200 postes non renouvelés à France Télévisions en 2018, « 40 à 50 » devraient être supprimés à « l’info », reconnaît la direction. La SDJ craint que les « magazines » – « Complément d’enquête » et « Envoyé Spécial », mais aussi « 13 h 15 le samedi » et « 19 heures le dimanche » – soient sabrés, en raison de la suppression de CDD
Le temps d’antenne, selon les journalistes, pourrait être divisé par trois : aujourd’hui, « Envoyé spécial » et « Complément d’enquête » sont programmés l’un à la suite de l’autre, trois jeudis par mois, environ. Demain, ils pourraient n’être visibles qu’une fois par mois chacun, les deux autres jeudis étant consacrés à « L’Emission politique » et à « L’Angle éco ». Mais pour la direction, ces calculs sont prématurés : « Envoyé spécial » pourrait être plus fréquent que « L’Angle éco ».
« Nous conservons les deux marques, “Envoyé spécial” et “Complément d’enquête” », a insisté M. Letranchant, pour qui l’investigation « ne se mesure pas au kilo. » De plus, « Complément d’enquête » passerait en prime time. Enfin, argue la direction, les réductions de postes dans les services d’information sont d’autant plus importantes que ceux-ci ont été épargnés ces dernières années, en raison de la présidentielle et du lancement de la chaîne France info.
Le sujet est très sensible pour Delphine Ernotte, qui a souvent mis en avant la liberté d’enquête du service public : elle avait diffusé un documentaire sur le Crédit mutuel, déprogrammé par le Canal+ de Vincent Bolloré. Puis, son directeur de l’information Michel Field avait limogé les figures historiques d’« Envoyé spécial », Guilaine Chenu et Françoise Joly, et demandé à Elise Lucet, le visage de « Cash Investigation », de superviser les « jeudis de l’information ».
Une décision « dans les prochains jours »
Depuis, des accrocs ont eu lieu, notamment fin 2016, autour de la date de programmation d’un sujet sur les comptes de campagne de Nicolas Sarkozy. Au printemps 2017, une réflexion a été mise en place pour « diversifier » les enquêtes d’« Envoyé spécial » et intégrer davantage de thèmes de société. Début juillet, son rédacteur en chef, Jean-Pierre Canet, ancien de « Cash Investigation », a été mis à l’écart après la mort de trois journalistes lors d’un tournage à Mossoul, en Irak.
« Il n’y a pas eu d’inflexion de la ligne et nous avons continué à faire des reportages parfois difficiles », relativise un journaliste, tout en pointant une « pression » sur les audiences, en « dents de scie ». « Nos sujets sont parmi ceux qui créent le plus de retours négatifs ou de procès, argumente un autre reporter. Nous ne sommes pas dociles. Si on réduisait “Envoyé spécial” et “Complément d’enquête” ou qu’on faisait appel à des sociétés extérieures, ces sujets existeraient sans doute moins. » La direction promet de prendre une décision « dans les prochains jours ».
Nouvelle censure sur ma chaine & chaine michael Antidebunker strikée !!! … Une censure par extermination radicale et systématique ! Heureusement j’ai sauvegardé les anciennes vidéos …
L’aventure continue néanmoins …
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