En appel, la radiation du Pr Henri Joyeux consécutive à la publication de deux pétitions anti-vaccins a été annulée mardi par la chambre disciplinaire nationale de l’Ordre des médecins.
La radiation du controversé Pr. Henri Joyeux pour des pétitions anti-vaccins a été annulée en appel. Michel Cymes tenait à lui adresser un message :
« Ainsi donc, Henri Joyeux pourra continuer son œuvre destructrice… »
Michel Cymes ne tenait pourtant pas le même discours en 2012, loin de là :
Le Pr. Romain Gherardi, directeur de recherche à l’Inserm et à l’hôpital Henry-Mondor, était l’invité du « Magazine de la santé », sur France 5, le 12 novembre 2012.
« Depuis qu’on les utilise dans la fabrication des vaccins (1926 aux Etats-Unis, 1990 en France), les sels d’aluminium alimentent le débat et la controverse.
Techniquement, une dose infime d’hydroxyde d’aluminium suffit pour stimuler la réaction immunitaire en induisant un petite réaction inflammatoire locale. Et, si une majorité de scientifiques considère qu’une fois injecté dans l’organisme, l’aluminium se dissout spontanément et n’a donc pas d’effet toxique, d’autres comme le Réseau Environnement Santé et le Pr. Romain Gherardi, chercheur à l’Inserm et médecin à l’hôpital Henri-Mondor de Créteil, avancent le contraire. »
Selon le Pr. Michel Georget
« Les trois vaccins obligatoires : Diphtérie, Tétanos et Polio contiennent de l’aluminium et lorsqu’un nourrisson reçoit ces produits, on lui injecte entre 600 et 650 microgrammes d’aluminium ce qui est une concentration impressionnante si l’on sait que l’eau pour être considérée comme potable ne doit pas en contenir plus de 100 microgrammes par litre. »
Le Docteur Jean-François Saluzzo, ex-directeur de production des vaccins viraux chez Sanofi, avoue lui-même :
“On ne sait pas comment marchent les vaccins”
Rendre obligatoires 11 vaccins pour toute la population est un non-sens médical car les réactions à un vaccin sont strictement individuelles. Elles dépendent de l’état physiologique de l’hérédité de celui qui la reçoit et les effets secondaires éventuellement dommageables sont donc totalement imprévisibles.