Social : Il délaisse Carrefour-Rue la nuit… pour la poésie! (Vidéo)

C’est dans des cafés, appréciés par Valérie Bierens de Haan, que le livre «Vince Fasciani: poète de sa vie» s’est dessiné. GEORGES CABRERA

Un petit livre, signé Valérie Bierens de Haan, révèle la double vie du travailleur social et protecteur des sans-abri, Vince Fasciani.

Il a mené de main de maître, aux côtés de Noël Constant, l’installation du nouvel hameau de studios mobiles à Chêne-Bougeries (voir nos éditions d’hier). Mais Vince Fasciani n’est pas seulement cet infatigable travailleur social de Carrefour-Rue, narré par les médias. Outre son engagement auprès des sans-abri, d’autant plus précieux quand les températures dégringolent… Vince Fasciani (64 ans) est aussi poète à ses heures. Et depuis longtemps même. Un formidable petit recueil, tout frais, sur la vie de ce sexagénaire, guidée par sa poésie, nous l’apprend. Son auteure Valérie Bierens de Haan, journaliste retraitée – quinze ans de Tribune de Genève et vingt-cinq ans de télévision – n’en finit pas de remercier «le hasard» qui lui a permis de rencontrer ce surprenant parolier italo-suisse.

«Quelque mois après la mort de mon mari, j’ai ressenti le besoin, pour m’évader de mon chagrin, de m’intéresser à d’autres qu’à moi-même et j’ai proposé bénévolement mon temps à Carrefour-Rue», explique-t-elle en guise de préambule. Aussitôt dit, aussitôt fait; Vince Fasciani initie alors la nouvelle venue aux activités artistiques de cette association qui, depuis quarante ans, vient au secours des personnes démunies. «J’ai assez vite découvert qu’il avait une double vie. Sociale le jour, poétique la nuit, poursuit l’écrivaine.

«Sans la poésie, je serais mort ou laissé-pour-compte», m’a chuchoté cet adepte d’écrits-sparadraps.» Le projet de livre venait de naître. Sans que Valérie Bierens de Haan ne s’en rende vraiment compte, puisque Vince Fasciani en fut le véritable instigateur: «Je voulais me débarrasser de cette femme qui n’arrêtait pas de me poser des questions!» Mais la curiosité de Valérie Bierens de Haan n’a pas été vaine. Après dix-huit mois d’entretiens passionnés avec «cet adepte de chemins sans boussole qui mènent vers plus de lumière», comme le qualifie l’un de ses amis, on en sait un peu plus sur Vince Fasciani, homme d’action qui abhorre les chaînes: «Le secret du bonheur, c’est la liberté. Le secret de la liberté, c’est le courage.»

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Solidarité : En Suisse, une association se charge de trouver des logements aux sans-abri

À l’approche de l’hiver qui va nous tomber dessus dans quelques jours, ils sont plus de 10’000 en Suisse à dormir dans la rue, ce sont les sans-abri , ceux que l’on appelait il n’y a pas si longtemps, les clochards.

L’association « Toit pour tous » c’est donné comme mission de fournir un logement à toutes celles et ceux qui partagent cette infortune de ne pas avoir de toit sur la tête.

Il est regrettable de constater qu’aujourd’hui, les politiques manquent visiblement de volonté pour éradiquer le problème et que ce soit des associations privées qui prennent en mains la souffrances des plus démunis.

Pour qui et pourquoi vote-t-on ?

À saluer au passage l’association « Carrefour-rue » qui œuvre dans la même direction.

Merci aussi à Lux peintures pour son soutien et sa solidarité, un exemple à suivre inconditionnellement.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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La vidéo du jour : « Je me sens coupable »

Source de l’image

Cher président, cher nouveau ministre de l’environnement, L’heure est grave, et nous le savons tous. L’heure est grave pour notre planète, l’heure est grave pour les animaux, l’heure est grave pour la biodiversité, l’heure est grave pour nous humains. L’heure est grave pour nos enfants et les générations à venir.

Ce document  nous met face à nos responsabilités de consommateurs et traite également d’un sujet souvent évoqué sur ce site : « Notre déni ». Il propose d’agir dans la non violence en ne faisant rien. Il nous propose de sortir d’un système qui nous fait croire que nous avons besoin de lui alors que c’est fondamentalement le contraire. C’est effectivement juste mais en ce qui me concerne, j’irai un peu plus loin dans ce raisonnement :

Je ne fais ni partie de ceux qui détournent la tête devant le spectacle atroce d’un abattoir, ni partie de ceux qui se disent qu’il n’y a plus rien à faire mais je pense sincèrement que l’humanité dans son ensemble a besoin d’un réveil, d’une grosse claque, d’un électrochoc et que cela ne se fera pas sans douleur.

Il est scientifiquement prouvé que tant qu’un être humain n’est pas directement confronté à une catastrophe quelle qu’elle soit, son cerveau ne sera pas en mesure de réagir préventivement et ce, à long terme. Son aptitude à réagir sera dans un premier temps liée à sa capacité de faire preuve d’empathie pour les victimes tout en se disant que cela n’arrive qu’ailleurs et qu’aux autres puis, il pensera à autre chose.

Politiquement, un changement radical n’est pas possible. Pour que les choses évoluent vraiment dans le bon sens au niveau des crises environnementales qui nous arrivent de plein fouet, il faudrait que sans tarder, nous calquions notre style de vie à celui des Népalais par exemple ; et il y a fort à parier qu’un candidat à de quelconques élections présidentielles, sous nos latitudes, qui inclurait dans son programme un abaissement drastique de notre consommation et un rabaissement de notre mode de vie n’aurait que fort peu de chances de se voir élire.

Nous avons trop tiré sur la corde, nous avons brûlé la chandelle par les deux bouts et ce, dans une parfaite et consciente injustice en matière de répartition des richesses ; nous devrons en tirer les conséquences et en payer le prix.

A présent, comment l’addition va-t-elle nous être présentée, cela demeure encore assez flou mais ce qui est inéluctable, c’est qu’un retour de manivelle est sur le point de se produire. Et ce n’est qu’après et après seulement, qu’une prise de conscience universelle se produira et qu’une volonté pour construire ou reconstruire un monde qui nous permettrait de vivre en symbiose avec notre environnement se dessinera. Mais avant cela, l’abcès devra être crevé.

Stéphane Guibert

 

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La vidéo du jour : Et si la solidarité était la solution et non la compétitivité ?

Nous vivons dans un monde où la compétitivité est le moteur même de notre société. Dès l’école on nous apprend à être plus fort, meilleur faisant de nous des adultes qui se déchirent pour prendre la place des autres ou pour protéger la notre.

C’est celui qui a une bonne situation, une belle voiture, sa propre maison, un compte en banque bien rempli qui est l’image de la réussite.

Nous sommes vraiment sur la mauvaise pente mais heureusement, certaines personnes éveillées et éclairées nous montrent que nous nous trompons.

Regardez ce petit document qui appel au respect.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

 

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Société : Un Bordelais met au point un Igloo isolé pour les sans-abri

« Igloo »

C’est le projet d’un Bordelais qui a imaginé un abri isotherme pour les personnes qui dorment dans la rue par ce froid.

Alors que les pouvoirs publics semblent dépassés et demeurent impuissant pour mettre à l’abri les malheureux qui n’ont pas la chance d’être au chaud durant l’hiver, un Bordelais met au point un Igloo pour remplacer les tentes.

L’idée est de fournir aux sans-abri un toit démontable, lavable, étanche et surtout isotherme. Une température de 15 degrés Celsius à l’intérieur lorsque la température extérieure est de 0 degré.

A Paris, le Samu social n’arrive pas à traiter 80% des demandes d’hébergement des sans-abri, les igloos pourraient être une alternative temporaire.

G.S

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Précarité : Comment se sortir de la précarité grâce au social

Photo : Noël Constant dans l’enceinte du village « Noé » où des studios mobiles sont mis à la disposition des personnes rencontrant des difficultés pour se loger. 

Petit préambule à cet article qui concerne la ville de Genève (Suisse), j’invite toutes celles et ceux qui aimeraient voir publier en détail  les possibilités qui sont offertes aux plus démunis de leur ville afin d’atténuer leurs souffrances, à m’envoyer toutes les références disponibles, cela pourrait en aider plus d’un qui par manque d’information se retrouvent souvent dans des situations aux dénouements tragiques.

Merci pour eux.

G.S

La précarité devient un des problèmes majeurs en occident et une ville comme la Genève internationale ne fait pas exception à la règle ; il faut rajouter à cela que les salaires qui y sont en moyenne plus élevés que dans le reste de l’Europe  créent un appel d’air et depuis l’ouverture des frontières, le flux migratoire c’est nettement accentué.

Quels sont les démarches à effectuer dans le cas où l’on se retrouve dans une situation de précarité, sans emploi et sans domicile fixe dans une ville comme Genève ?

Ce qu’il faut savoir, c’est qu’à Genève les infrastructures sociales sont conçues de telle sorte qu’il est impossible de mourir de faim ou de maladie. Tout a été mis en place pour que repas, soins médicaux et structures d’urgences pour dormir en cas de grand froid soient accessibles à toutes et à tous et ce, sans discrimination.

La première chose à faire est de se présenter au club social de la rive droite qui vous guidera dans vos premières démarches en vous fournissant une brochure complète et détaillée de toutes les structures sociales à disposition dans le canton. (Vue les différentes cultures qui frappent à notre porte cette brochure qui aujourd’hui n’est publiée qu’en français devrait  être éditée au minimum en 4 langues : Français, Arabe, Espagnol et roumain (ndlr)).

Durant la période hivernale, un toit  vous sera proposé dans les abris de la protection civile pour une période de 30 jours (renouvelable selon disponibilité).

Les horaires : Ouverture des portes à 19:30, les personnes seront accueillies avec un repas chaud, passeront la nuit, elles auront accès aux douches, il leur sera servi un petit déjeuner et devront avoir quitté les lieux à 08:00 durant la semaine et à 09:00 le dimanche et les jours fériés.

Pour dormir il y a aussi la possibilité de se faire héberger par l’armée du salut moyennant la disponibilité ainsi qu’une participation de 5 Francs la nuit mais pour une période maximale de 10 nuits consécutives. Les horaires et le règlement sont les mêmes que ceux des abris de la protection civile.

La Coulou :

L’Association Carrefour-Rue propose aux personnes sans abri un logement d’une durée illimitée, dans un lieu de vie communautaire.

Tous les jours, les 10 à 20 résidents de la Coulou peuvent prendre un petit-déjeuner et un repas du soir gratuitement.

La résidence est gérée par les habitants avec le soutien de travailleurs sociaux, de stagiaires et de bénévoles.

Ouvert 24h sur 24, 7 jours sur 7, accueil sur rendez-vous.

D’autres structures d’hébergements sont disponibles mais ne sont traitées qu’au cas par cas dont les renseignements sont fournis par les travailleurs sociaux lors de la première entrevue, c’est la raison pour laquelle je ne les mentionnerai pas dans cet article.

Les soins :

C’est à la Rue Hugo-de-Senger, 2-4 que les premiers soins peuvent être prodigués, le CAMSCO, Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences dont les horaires sont accessibles dans le lien.

Des soins dentaires de première urgence peuvent être prodigués par l’association Carrefour-rue au Point d’eau ; c’est lors d’une première entrevue avec un dentiste qui est sans rendez-vous que ce dernier fait une évaluation des problèmes et  fixe un rendez-vous. Le Point d’eau permet également aux plus démunis d’avoir accès à des douches, un coiffeur ainsi qu’à un service de buanderie.

Les repas :

Pour les repas, les services de la ville ainsi que plusieurs associations offrent aux plus démunis la possibilité de prendre un repas dans un endroit chaud en toute sécurité.

Petits déjeuners :

Le bateau Genève propose un petit déjeuner gratuit tous les jours ouvrables. Des groupes de paroles et des ateliers sont proposés deux fois par semaine en moyenne. Les détails sont disponibles sur le site Internet.

Le club social de la rive gauche propose des petits déjeuners gratuits tous les jours ouvrables de la semaine. (Horaires et adresse sur le site Internet).

Le Phare qui est une structure rattachée à l’Armée du Salut propose un petit déjeuner tous les samedis. (Horaires sur leur site Internet)

La résidence Amitié, service rattaché à l’Armée du salut offre aux plus démunis la possibilité de prendre un petit déjeuner chaque dimanche à partir de 09:00 (Adresse sur le site Internet).

Le caré permet de prendre un petit déjeuner du lundi au vendredi, de 09:00 à 12:00. (Adresse et description sur le site Internet)

Repas de midi :

Le club social de la rive gauche propose des repas gratuits tous les jours ouvrables de la semaine. (Horaires et adresse sur le site Internet).

Le Jardin de Montbrillant de l’association Carrefour-rue propose des repas de midi gratuits, du mardi au vendredi à 11h30, ainsi que le samedi à 12h. (Horaires et adresse sur le site Internet)

Le club social de la rive droite propose des repas gratuits tous les samedis en alternance avec le club social de la rive gauche. (Horaires et adresse sur le site Internet).

Le Caré permet de se restaurer gratuitement les lundis, mardis, mercredis, jeudis et vendredis à partir de 16:00 et les samedis dès 12:00 Un coiffeur et des douches sont également accessibles dans cette structure. (Adresse et horaires sur le site Internet)

Repas du soir :

Malheureusement moins de structures proposent des repas tous les soirs néanmoins il y a des possibilités comme :

Tous les mardis soir à partir de 19:15, une équipe de bénévoles offrent un repas aux plus démunis aux pieds de la Basilique Notre-Dame à côté de la gare Cornavin.

Tous les jeudis soir un repas est offert aux plus démunis par des bénévoles de l’association « Point Chaud » à la roulotte du parc des Cropettes.

Tous les samedis soir, une collation est offerte aux plus démunis dans le temple des Pâquis. Horaires : de 17:45 environ à 20:00 environ.

Deux dimanches par mois en alternance avec le bateau Genève, L’association du Resto’Scout sert, à l’aide des routiers genevois, à manger aux plus démunis deux dimanches soirs par mois de 18h00 à 20h00 dans la roulotte du parc des Cropettes (derrière la gare Cornavin, rue de Beaulieu, à côté du Cycle de Montbrillant).

Deux dimanches par mois en alternance avec l’association Resto’Scout le Bateau Genève propose gratuitement une « Pasta Party » de 17:30 à 20:30

Parmi toutes ces associations une attire plus particulièrement mon attention et c’est l’association Carrefour-rue fondée dans les années 60 par Noël Constant  (Photo de couverture) dont je vais vous parler plus en détail.

Voilà plus de 50 ans que Noël Constant arpente les rues de Genève.

Né en 1939 à Mâcon, livré très jeune à lui-même avant d’être recueilli par les frères de Taizé , cet homme au regard doux ne connait qu’un combat : Fondateur et président de Carrefour-Rue, son association vient en aide à celles et ceux que la vie à malmenés.

Si nombre de ses activités sont aujourd’hui connues et… reconnues – de la Coulou en passant par le Hameau des chemineaux, une web radio et la publication d’un petit journal , La Feuille de Trèfle, notamment – retrouvons-le dans cet entretien d’une vingtaine de minutes et apprenons à découvrir ou redécouvrir un homme qui a sut  appréhender le social sous un angle différent.

Un article concernant le film « Une utopie en mouvement » lui sera consacré ces prochains jours.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Solidarité : Prisonniers Palestiniens en grève de la faim

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France : Après la gifle infligée à Manuel Valls, on parle de violence. Mais quelle est la vrai violence aujourd’hui ?

Après la gifle infligée à Manuel Valls par le jeune Nolan Lapie lors d’un meeting en Bretagne, l’affaire c’est emballée tant dans les médias que sur les réseaux sociaux.

Manuel Valls était l’invité de Patrick Cohen sur France Inter dans le « 07 – 09 ».

Il parle de cette gifle comme d’un geste de violence qui est intolérable en démocratie. on se souviendra de la chemise déchirée lors de l’affaire Air France.

Le premier interlocuteur à intervenir se voit coupé d’antenne alors qu’il soutenait Nolan en précisant que tous les français aimeraient faire de même. Le candidat à l’élection présidentielle visiblement en campagne sur ce plateau n’a pas hésité à faire sa propre pub.

A l’heure ou ces lignes sont rédigées, le jeune Nolan Lapie a déjà été jugé et se trouve toujours en garde à vue.

Pendant que les politiques s’insurgent contre la violence, Tatiana Ventôse, animatrice de la chaîne Youtube « Le fil d’actu » relate de son côté un tout autre aspect de la violence :

Elle dit clairement que la gifle qu’à reçu le premier ministre Manuel Valls est une caresse en comparaison de la violence que fait subir son gouvernement aux citoyens, en effet :

  • Quand une caissière se fait renvoyer car elle a fait une fausse couche,
  • Quand des gens ont froid parce qu’ils n’ont plus les moyens de se payer le chauffage,
  • Quand des gens meurent de froid dans les rues parce qu’ils n’ont plus les moyens de se loger,
  • Quand on gaz des enfants et des manifestants pacifiques parce qu’ils refont le monde lors d’un rassemblement de « Nuit debout » ce n’est pas violent peut-être ?
  • D’ailleurs le jeune Nolan Lapie n’a-t-il pas été maîtrisé d’une manière violente ?

Les 49.3 à répétition, loi travail et la régression des acquis sociaux de plus d’un siècle, n’est-ce pas de la violence ?

Les gens du pays et les élites ne vivent pas dans le même monde !

Je voudrais à présent parler d’une autre forme de violence celle là même dont certains d’entre nous somme responsables, je veux parler de l’individualisme, de l’indifférence et de la désolidarisation de plus en plus marqués à notre époque.

Quand on passe à côté d’un SDF couché par terre et visiblement mal en point alors qu’il fait très froid et que sur les dizaines de passants qui l’évitent pour ne pas lui marcher dessus, pas un seul ne s’arrête ne serais-ce que pour lui demander ce qu’il a, n’est-ce pas là de la violence ?

Quand un entrepreneur qui n’est pas en mesure de payer son assurance parce que des clients n’ont pas honoré leurs factures, que pris à la gorge parce que manque de trésorerie, il risque de voir son entreprise être mise en liquidation, quand cet entrepreneur s’adresse dans un premier temps à un de ses amis pour lui venir en aide, que cet ami réalise puis diffuse sur les réseaux sociaux une vidéo évoquant le problème, quand cet ami met au point tout un réseau permettant aux gens d’être solidaires même en versant un euro symbolique et que le montant atteint représente tout juste la moitié du montant nécessaire alors que les 4000 Euros demandés, si chacun de celles et ceux qui avaient lu cette bouteille jetée à la mer avaient fait l’effort soit de venir directement en aide à cet entrepreneur soit en partageant tout simplement le message, quand on en arrive là, ne s’agit-il pas aussi d’une forme de violence ?

A ce sujet, je tiens à préciser qu’il n’est toujours pas trop tard et que l’on peut encore intervenir pour aider cet entrepreneur, Guy Poulain.

Il n’y a qu’à cliquer ici

Stéphane Guibert / Finalscape

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France : Appel à la solidarité pour sauver une petite entreprise URGENT ! Second appel !

Un petit artisan Français a besoin d’aide !

Il ne reste plus que quelques jour à cet entrepreneur pour sauver son entreprise. Il a pu jusqu’ici  récolter un peut plus de 300 Euros sur les 3’600 qu’on lui réclame.

Nous sortons d’une période festive et comme je le disais il y a quelques billets, cela n’a pas été le cas pour tout le monde.

Même 1 Euro et la somme demandée peut être atteinte très rapidement.

Merci pour lui et merci à Patrick Jaillet pour son message de soutien.

Vous trouverez sous la vidéo les différents moyens de venir en aide à Guy Poulain

Stéphane Guibert / Finalscape

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