Ils sont des centaines, ces retraités laissés pour compte par la société et qui pour survivre doivent faire les poubelles.
Renée, (nom de substitution) qui pourrait être votre mère, votre grand-mère ou arrière grand-mère touche une retraite de 180 € par mois. Elle fait des poubelles publiques son supermarché. Elle y vient régulièrement se ravitailler pour manger et pour nourrir ses compagnons, les pigeons.
Cela jure avec le faste et le « bling-bling » que les élites toujours plus méprisantes du petit peuple exhibent sans complexe devant les caméras des médias complaisants.
Jusqu’où iront l’indécence, la provocation et l’injustice ?
À l’approche de l’hiver qui va nous tomber dessus dans quelques jours, ils sont plus de 10’000 en Suisse à dormir dans la rue, ce sont les sans-abri , ceux que l’on appelait il n’y a pas si longtemps, les clochards.
L’association « Toit pour tous » c’est donné comme mission de fournir un logement à toutes celles et ceux qui partagent cette infortune de ne pas avoir de toit sur la tête.
Il est regrettable de constater qu’aujourd’hui, les politiques manquent visiblement de volonté pour éradiquer le problème et que ce soit des associations privées qui prennent en mains la souffrances des plus démunis.
Pour qui et pourquoi vote-t-on ?
À saluer au passage l’association « Carrefour-rue » qui œuvre dans la même direction.
Merci aussi à Lux peintures pour son soutien et sa solidarité, un exemple à suivre inconditionnellement.
En 2017, ce sont des centaines de SDF qui sont décédés dans les rues de France !
Recensés par l’association « Collectif Les Morts de la Rue » et c’est sans compter celles et ceux, hommes, femmes et même enfants qui ne le sont pas, des morts, ces cabossés de la vie qui auraient certainement préféré une autre destinée. Un hommage posthume et presque hypocrite s’impose.
Ils sont chaque années de plus en plus nombreux à affronter ce tragique destin, à succomber dans une quasi indifférence.
Personne n’est à l’abri, non, vraiment personne !
Est-ce la peur du lendemain qui nous pousse à un déni incommensurable ou simplement un égoïsme alimenté par un consumérisme hors norme : « Plus je possède et plus je suis intouchable et après tout au diable les autres. »
Lors des campagnes présidentielles les politiques s’appliquent à vous dire que leur cheval de bataille ira dans le sens d’éradiquer le problème mais à chaque fois, un constat accablant ne fait que prouver leurs mensonges et leur flagrante incompétence.
Alors que l‘image d’Épinal que veut faire refléter Los Angeles : Hollywood et ses Méga Stars, richesse, abondance et consommation, c’est à Ground 0 que l’on se rend compte de l’envers ou plutôt de l’enfer du décor.
Ce sont des centaines de SDF que la société semble avoir banni, oublié, des laissés pour compte que l’individualisme lié au capitalisme d’une société moribonde, égoïste et excentrique ne peut désormais plus cacher tant le rang de ces malheureux, ces cabossés de la vie gonfle de jour en jour.
La question qui réside est :
Jusqu’où et jusqu’à quand cela sera-t-il supportable de la part du peuple ?
C’est le projet d’un Bordelais qui a imaginé un abri isotherme pour les personnes qui dorment dans la rue par ce froid.
Alors que les pouvoirs publics semblent dépassés et demeurent impuissant pour mettre à l’abri les malheureux qui n’ont pas la chance d’être au chaud durant l’hiver, un Bordelais met au point un Igloo pour remplacer les tentes.
L’idée est de fournir aux sans-abri un toit démontable, lavable, étanche et surtout isotherme. Une température de 15 degrés Celsius à l’intérieur lorsque la température extérieure est de 0 degré.
A Paris, le Samu social n’arrive pas à traiter 80% des demandes d’hébergement des sans-abri, les igloos pourraient être une alternative temporaire.
Pour le député Sylvain Maillard, la majorité des SDF qui dorment dans la rue le font par choix
Les politiques de la France en marche arrière semblent être déconnectés de la réalité. Après les propos tenus par le député sur les ondes de RFI la question a été posée à un SDF de 51 ans.
Le faussé entre la classe politique et la réalité est énorme !
Dégage toi le devenu paria, ta seule présence, la seule vision de ta misère existentielle constitue en soit une « Atteinte à l’ordre public sur la voirie… » et la milice viendra te déloger par la force. Toi le personnage pestilentiel, tu ne mérites plus le droit d’accès au panthéon consumériste, tu n’es plus digne pour cela, alors va crever ailleurs sale chien et surtout en silence et loin de nos yeux…
Merci à la société « Monoprix » pour ce message Clair et Net !
La misère française indiffère nos politiques, Macron ne voit que la détresse des migrants.
Ce malheureux fait partie de nos 140 000 SDF et de nos 9 millions de pauvres.
La préférence étrangère est devenue la norme puisqu’un sans papiers a une couverture santé à 100%, alors que 5 millions de Français n’ont pas de mutuelle et diffèrent leurs soins faute de moyens.
L’AME soigne 300 000 sans papiers pour un coût d’1 milliard par an, budget qu’Emmanuel Macron s’est empressé d’augmenter malgré les innombrables abus et fraudes que connaît cette aide médicale, largement dénoncés par certains médecins, mais volontairement ignorés par le pouvoir.
La préférence étrangère est la norme puisqu’un étranger n’a pas besoin d’avoir travaillé ni cotisé pour percevoir à 65 ans 800 euros par mois de retraite mensuelle, ou 1250 euros pour un couple, soit bien davantage que bon nombre de nos paysans qui crèvent de faim avec 350 euros par mois, en travaillant 15 heures par jour, 7 jours sur 7 et 365 jours par an, sans repos ni vacances.
Pendant que les enfants de nos paysans n’ont jamais vu la mer, sachez qu’un migrant mineur isolé coûte 50 000 euros par an au contribuable.
Ils sont 25 000 mineurs arrivés en 2017 pour un coût d’ 1,250 milliard.
La préférence étrangère est la norme puisque les migrants sont logés en priorité, alors que de jeunes couples français attendent depuis 8 ans un logement social afin d’avoir leur premier enfant.
Dans notre France de 2017, il faut mieux être clandestin que Français modeste.
En effet, nos 140 000 SDF sont abandonnés au froid et meurent par centaines chaque année dans l’indifférence générale, pendant que les migrants sont logés à l’hôtel et même dans des châteaux réquisitionnés.
Selon le ministère de l’Intérieur, entre 15 000 et 25 000 clandestins sont logés à l’hôtel !!
On se souvient que lors d’un débat entre les candidats de la campagne électorale, Léa Salamé avait évoqué le cas de 3 SDF morts de froid, et avait avancé le chiffre de 454 SDF morts dans la rue en 2016.
Sébastien, 46 ans, mort à Calais. Fred, 48 ans, mort à Arcueil et Jean, 66 ans, mort à Drancy.
En fait, ces exemples tirés des chiffres du Collectif Les morts de la rue, n’étaient que partiels et correspondaient uniquement aux morts signalés.
En 2014 ce sont 2908 SDF qui sont morts dans la rue et en 2015, ils étaient 2838 à avoir perdu la vie, abandonnés par la République.
Il faut être un clandestin pour avoir le droit d’être logé à l’hôtel aux frais du contribuable…
Emmanuel Macron, comme il fallait s’y attendre après sa campagne présidentielle tiers-mondiste, a fait le choix de faciliter l’accueil des migrants et d’augmenter de 30% le budget alloué à cette politique.
Dans le même temps il diminue de 8% le budget de la lutte contre les clandestins.
Rappelons que le nombre d’éloignements est tombé de 36822 en 2012 à 28000 en 2017, alors que les chiffres de l’asile ont doublé et que le tsunami migratoire s’amplifie.
Il suffit de voir l’explosion des camps sauvages qui transforment Paris en ville du tiers-monde et détruisent la vie des riverains, pour comprendre que l’Elysée n’a aucune intention de régler le problème.
Certains quartiers de la Ville Lumière, n’ont rien à envier à Soweto ! La presse étrangère en reste consternée et multiplie ses reportages sur cette tiers-mondisation acceptée et assumée par les politiques.
De nombreux riverains, n’en pouvant plus de vivre dans la crasse et l’odeur des bidonvilles, vendent leur appartement à perte et les petits commerçants envisagent de fermer boutique avec un chiffre d’affaires en chute libre.
Mais cette détresse 100% française n’intéresse pas les médias et nos élites, qui n’ont toujours pas compris que le raz de marée migratoire va les atteindre aussi, transformant leur quotidien en enfer. Question de temps.
Alors que l’Inde s’enrichit et devrait devenir la 5e puissance économique du monde en 2018, dépassant la France et l’Angleterre, Paris se transforme peu à peu en Calcutta des années cinquante.
C’est ça la politique de Macron qui refuse de fermer les frontières.
Pour moi qui relaye cet article, les sans papiers ne sont pas à montrer du doigt car ils profitent d’une manne qui leur est octroyée. Qui ne le ferait pas ?
C’est un système complètement décalé qui doit être mis sur la sellette.
Si l’on en croit Emmanuel Macron lors d’une allocution le 27 juillet 2017, il ne devrait plus y avoir de sans abris en France d’ici le 1er Janvier 2018.
« La première bataille, c’est de loger tout le monde dignement. Je ne veux plus, d’ici la fin de l’année, avoir des femmes et des hommes dans les rues, dans les bois ou perdus. C’est une question de dignité, c’est une question d’humanité et d’efficacité, là aussi. »
Qu’en est-il 5 jours avant le Nouvel An et l’engagement va-t-il être tenu ?
G.S
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