Ukraine, révélations explosives!

Ukraine, révélations explosives!

Lora Logan balance tout !!

Lara Logan, née le  à Durban, est une journaliste et correspondante de guerre sud-africaine. Elle travaille depuis 2002 pour CBS News, au sein de laquelle elle est correspondante en chef pour la politique internationale (foreign affairs, politique étrangère).

Elle a notamment été correspondante de guerre, embarquée aux côtés des forces armées américaines, sur les théâtres de guerre en Afghanistan et en Irak.

Mise en ligne: Stéphane Guibert

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A la question « Pourquoi ne sommes-nous pas retournés sur la Lune » Buzz Aldrin répond « Parce que nous n’y sommes pas allés »

Buzz Aldrin, né Edwin Eugene Aldrin junior le 20 janvier 1930 à Glen Ridge dans le New Jersey, est un astronaute, aviateur de l’armée de l’air américaine et ingénieur américain.

A la question posée par une petite fille : « Pourquoi ne sommes-nous pas retournés sur la Lune depuis ? »

Buzz Aldrin rétorque : « Parce que nous n’y sommes pas allés ».

Buzz Aldrin a finalement craché le morceau en parlant à une jeune enfant en affirmant que nous ne sommes pas allés sur la Lune. Sa famille cherche à relativiser en disant qu’il a une maladie mentale.

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Telford : un scandale de viols collectifs par des gangs indo-pakistanais refait surface

Une enquête devra déterminer si les institutions ont suffisamment protégé les enfants de Telford, après qu’une investigation du Sunday Mirror a accusé les policiers, la municipalité et les services sociaux d’avoir échoué à démanteler un réseau pédophile d’origine indo-pakistanaise par crainte d’être accusés de «racisme».

Comment les services sociaux, la municipalité de Telford et même les forces de police ont-ils pu fermer les yeux sur les agissements d’un réseau d’agresseurs pédophiles d’origine indo-pakistanaise pendant près de 40 ans? Dans une longue enquête parue la semaine dernière, Le Mirror estime qu’ils ont pu faire jusqu’à 1000 victimes, principalement des jeunes filles de la classe ouvrière blanche de cette ville du nord de l’Angleterre. Aujoud’hui, les institutions de cette petite ville du nord de la Grande-Bretagne sont accusées d’avoir tenté de minorer, voire d’étouffer les agissements de ces gangs criminels par peur d’être accusés de racisme.

C’est l’accusation qu’a essuyé Lucy Allan, la députée Tory (conservateurs) de la circonscription de Telford, lorsqu’elle réclamait à cor et à cri la réouverture de l’enquête sur cette affaire sordide qui avait déjà abouti à plusieurs condamnations. On lui a reproché d’attiser les tensions interraciales en pointant la responsabilité d’hommes indo-pakistanais, alors que les abus d’enfants étaient commis par des personnes de tout milieux.

Un combat de 18 mois

«À ce moment-là, je n’avais même pas mentionné la question de race, je n’étais pas assez courageuse», confessait-elle dimanche dans une interview au Telegraph . «Même moi, j’étais trop facilement prête à accepter le discours du ‘Oui, les statistiques disent que les hommes blancs commettent aussi des abus sexuels…’ Certes, les hommes blancs commettent des abus, mais cette notion de gang est associée à la culture pakistanaise. Reconnaître le problème est la première étape pour le résoudre», estime-t-elle. En effet, une enquête publiée l’année dernière par le think-tank Quilliam a relevé que 85% des hommes condamnés pour leur appartenance à des gangs de violeurs depuis 2005 étaient d’origine indo-pakistanaise.

Sur demande de Theresa May, l’enquête indépendante demandée par Lucy Allan a finalement été ouverte vendredi. Elle aura pour but d’«obtenir la vérité, montrer ce qui n’a pas fonctionné», et «tirer les leçons pour l’avenir», a déclaré un porte-parole du ministère de l’Intérieur. «C’est une affaire vraiment terrible, certains des membres les plus vulnérables de notre société étant la proie de criminels sans pitié». Mercredi, Theresa May avait appelé de ses voeux la mise en place de cette commission le plus rapidement possible. «Nous avons tous été choqués par cette affaire horrible», avait déclaré le premier ministre britannique devant les députés, soulignant la qualité de l’enquête du Sunday Mirror .

Silence des services sociaux

C’est l’aboutissement d’un combat de dix-huit mois mené par Lucy Allan. Elue en 2015, elle reçoit une première jeune femme de 24 ans qui lui dit avoir été victime d’un gang à Telford. Elle demande alors l’ouverture d’une enquête sur le modèle de celles menées à Rotherham et Rochdale, deux ville pauvres du nord de l’Angleterre où des gangs indo-pakistanais se sont rendus coupables de plusieurs centaines de viols et abus sexuels sur mineurs entre 1997 et 2013. Si le premier ministre Theresa May approuve la démarche en privé, la députée se heurte au refus du conseil local de la ville qui estime toute nouvelle enquête inutile.

Car l’affaire n’est pas nouvelle à Telford. Une opération de police menée entre 2010 et 2012, baptisée «Opération Chalice», avait déjà identifié plus de cent victimes potentielles entre 2007 et 2009, et jusqu’à 200 auteurs. Seuls neuf agresseurs ont fini derrière les barreaux. Le chef de gang, Mubarek Ali, a été condamné à 22 ans de prison. Mais ce qu’a révélé l’enquête du Sunday Mirror, c’est que les autorités avaient connaissance de ces abus de masse depuis au moins dix ans lorsque l’opération Chalice a été déclenchée. Le journal a précisé qu’il transmettrait des documents au Home Office (l’exécutif du gouvernement britannique) prouvant ces accusations. Tout aussi grave, les agissements des réseaux pédophiles auraient perduré à Telford après la clôture de cette enquête, sans que les institutions ne réagissent.

«Je suis tombée deux fois enceinte et j’ai subi deux avortements. Quelques heures après mon second avortement, j’ai été raccompagnée par l’un de mes agresseurs pour être violée par plus d’hommes.»

Une victime de 14 ans

Dans le détail, le Sunday Mirror accuse les travailleurs sociaux d’avoir été informés de ces abus sexuels dès les années 1990, et la police d’avoir mis dix ans à lancer des poursuites. Les membres du Conseil ont traité les victimes comme des prostituées, et non comme des victimes. Les autorités ont préféré taire les détails sur l’identité des auteurs issus de communautés indo-pakistanaises, par peur d’être accusées de «racisme». La police a refusé à cinq reprise d’ouvrir une enquête, jusqu’à l’intervention de Lucy Allan. Enfin, l’une des victimes a déclaré que les policiers avait tenté de la dissuader de rechercher pourquoi ses agresseurs n’avaient pas été poursuivis, car ils craignaient qu’elle ne parle au Mirror.

La vérité sur les viols de Telford et Rotherham: Les Grooming Gang.

L’affaire des viols collectifs de Telford concerne le plus grand scandale d’abus sexuels sur mineurs de Grande-Bretagne. 1 000 enfants, la plupart des jeunes filles blanches auraient été drogués, maltraités, violés et parfois tués par des auteurs très majoritairement d’origine ethnique pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane. Il y aurait plus de 200 criminels impliqués et les abus se poursuivent d’après les victimes encore en 2018. Les médias, notamment en France, ont été accusés de ne pas couvrir l’affaire à la hauteur du scandale révélé.

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Marc Granié, ancien CRS de l’Élysée témoigne à visage découvert sur les criminels au pouvoir

Lors de la seconde guerre mondiale alors que le régime de Vichy était au pouvoir on qualifiait les résistants de terroristes. Aujourd’hui, ils sont élevés au rang de héros de la nation. La France vit en ce moment des heures très graves qui s’inscriront dans son histoire.

G.S

Dernière minute : Selon Eric-Régis Fiorile, Porte parolle du CNT (Conseil National de Transition), Marc Granié vient d’être interné à l’hôpital Henry Ey, avenue de Choisy dans le 13ème arrondissement.

DERNIÈRE MINUTE : MARC GRANIE MIS EN GARDE A VUE !

« Un document vidéo avec des révélations à couper le souffle ! A voir absolument, avec les réserves de vérification habituelles que chacun se doit de faire. Mais si l’identité de cet homme est avérée, alors nous pouvons saluer son courage exceptionnel. Il y a encore des hommes dans ce pays. »

Marc Granier ancien CRS de l’Élysée fait des révélations époustouflantes sur beaucoup d’événements dramatiques survenus en France et dont les versions officielles sont constamment égratignées par celles et ceux que les médias mainstream désignent comme des « théoriciens du complot. »

Voici en résumé les propos tenus dans la vidéo.

Marc Granié cite notamment les assassinats de plusieurs hauts fonctionnaires français, celui de Coluche à qui le gouvernement de l’époque avait proposé la légion d’honneur etc… De ces policiers qui se suicident dans des circonstances étranges.

l’affaire Merah : Il faut savoir que les américains l’avait intercepté dans le pays où il s’entrainait pour le djihad, qu’après cette interpellation, les autorités américaines ont contacté la France qui a répondu : « Laissez-le ». Monsieur Merah était un agent qui travaillait pour la France et qui par la suite fut assassiné.

« Je n’ai pas donné de précisions concernant mes tentatives d’homicides maquillées en suicides ; elles sont toutes écrites, elles sont toutes minutées, avec les acteurs de ces complots et je j’ai apporté toutes ces informations à l’ambassade de Russie où j’ai été très bien reçu. Si il devait m’arriver quelque chose, il suffirait de demander à l’Ambassade de Russie pour les divulguer au grand public. »

Ces informations ont été également confiées au CNT (Conseil National de Transition)

Le 5 mai, une tentative d’offrir au peuple français la possibilité de sortir de cette gabegie politico-financière devenue aujourd’hui institutionnelle est organisée par le CNT.  L’ancien CRS donne des conseils à ces collègues en activité :

« Le 5 mai 2018 nous nous rassemblons, des généraux de l’armée, des généraux de la gendarmerie, des hauts fonctionnaires de police, des hauts magistrats qui individuellement ne peuvent rien faire et ils savent que les traitres à la Nation nous envoient dans le mur ; si le 5 mai nous ne réussissons pas, nous ne pourrons plus jamais revenir en arrière. Je leur dit, à mes collègues policiers, gendarmes et militaires, ce jour du 5 mai n’allez pas sur Paris… »

Stéphane Guibert

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L’histoire en quête de vérité : Massacre d’Oradour-sur-Glane, et si tout cela n’était pas imputable aux Allemands ?

Retour sur les faits :

Le 10 juin 1944, le village de’Oradour-sur-Glane qui se trouve à 20 kilomètres au nord-ouest de Limoges vivait une des plus sombres heures de l’histoire.

Ce sont 642 personnes, hommes, femmes et enfants furent massacrés par un détachement du 1er bataillon du 4ème régiment de Panzergrenadier Der Führer appartenant à la Panzerdivision Das Reich de la Waffen-SS. Il s’agit du plus grand massacre de civils commis en France par les armées allemandes, assez semblable à ceux de Marzabotto, ou de Distomo (ce dernier perpétré lui aussi le ), qui transposent sur le front de l’Ouest des pratiques courantes sur le front de l’Est.

C’est ce que retient l’histoire qui s’inspire de la version officielle et pourtant :

Je vous propose un document que m’a transmis un de mes contacts et qui a fait l’objet de toute mon attention car à l’heure où de nombreuses théories dites complotistes s’avèrent être vraies, ce document qui me semble primordial ne serais-ce que dans un but de comparaison ou d’analyse révèle une toute autre réalité que celle que l’histoire, peut-être manipulée, semble vouloir nous faire croire.

Un document qui remet en question la version officielle en s’appuyant sur des analyses scientifiques, des témoignages probants et qui crédibilise une probable mise en scène.

Le massacre d’Oradour-sur-Glane, et si cela n’avait été qu’une vaste fumisterie de l’histoire ?

Chercheurs de vérité, régalez-vous.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

>>>Voir aussi<<<

 

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Pharmacom : L’industrie du mensonge

Lors de cet interview de Philippe Even, Président de l’institut Necker, aux questions qui lui sont posées, ses réponses détonent comme des révélations choc.

Les sujets traités :

  • Face au manque d’innovation, quelle est la stratégie des laboratoires pharmaceutiques ?
  • Quelle est la proportion de médicaments « inutiles » aujourd’hui en France ?
  • Pourquoi est-il urgent de faire le ménage sur le marché ?

A défaut de trouver de nouvelles molécules, l’industrie pharmaceutique invente de nouvelles maladies et cela fait 30 ans que ça dure.

Cette vidéo est à voir et à partager sans modération.

Merci à mon contact B-L-F pour le partage.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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Géo-ingénierie : Aveux accablants de présentateurs météo et d’un géo-ingénieur

(Pour partager cet article : Si vous vous trouvez sur le fil d’actualité du site, veuillez cliquer sur le titre de l’article et une fois sur l’article source, cliquez sur le réseau social qui vous convient.)

Au fur et à mesure que les années passent, les masques tombent. La Géo-ingénierie n’est plus une théorie complotiste au grand dam de ceux qui s’y accrochent comme à un débris de bateau après naufrage. Les langues se délient, les témoignages se multiplient et jour après jour, le mur du mensonge s’effrite et les consciences s’éveillent.

Quel monde allons-nous laisser aux générations futures si toutefois, à force de mépriser notre maison, la terre, nous ne nous dirigeons pas vers une extinction massive.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Deux vidéos édifiantes dans ce billet :

Vidéo 1 :

Un phénomène que tout le monde peut voir, mais feint d’ignorer ou ne réalise pas. Il faut dire que tout est fait pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Pourtant, les témoignages sont multiples. On trouve ici sur la réalité de ces témoignages accablants, pertinents et inquiétants…

Sur VK

Sur Youtube

Vidéo 2 :

TF1 diffuse une vidéo qui démontre l’utilisation de géo-ingénierie en Chine pour faire neiger

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Santé publique : Lactalis aurait poussé un laboratoire à lui fournir des résultats positifs

D’après les révélations d’Europe 1 lundi 19 février, l’entreprise agro-alimentaire au cœur d’un scandale sanitaire aurait multiplié pendant des années les pressions sur le laboratoire chargé de détecter les allergènes dans ses produits.

Voilà peut-être un nouvel élément d’explication au scandale sanitaire qui touche Lactalis, géant de l’agro-alimentaire qui a commercialisé du lait infantile contaminé aux salmonelles. Europe 1 révèle ce lundi 19 février que durant des années, l’entreprise aurait exercé de fortes pressions sur le laboratoire nantais chargé de contrôler la conformité de ses produits aux normes anti-allergies. Un ancien salarié de l’officine scientifique confie même que les membres du labo se disaient « souvent entre [eux] qu’un jour, un scandale sanitaire allait arriver« .

Le labo avait pour tâche de détecter les allergènes (gluten, fruits à coque, œufs) contenus dans les produits de Lactalis. Et le mécanisme décrit par Europe 1 est aussi simple que choquant : Lactalis était un « très gros client » du laboratoire basé en Loire-Atlantique, le contrat liant les deux parties se chiffrant à « plusieurs millions d’euros« . Les analyses scientifiques rendues se devaient donc d’être « satisfaisantes » pour le géant industriel, qui aurait été contraint de procéder à la destruction de plusieurs tonnes de produits en cas de résultats négatifs. Un employé glisse ainsi avoir eu « peur de Lactalis« .

Des échantillons « passés en boucle jusqu’à ce que le résultat nous intéresse »

Pour parvenir à ces résultats satisfaisants, un salarié raconte que « des échantillons spécifiques revenaient » et qu’ils étaient « passés en boucle jusqu’à ce que le résultat nous intéresse« . Les techniciens auraient ainsi été poussés à reproduire leurs analyses jusqu’à ce que celles-ci valent feu vert sanitaire pour le groupe agro-alimentaire. Un traitement de faveur qui aurait été réservé à Lactalis, sans aucune mesure avec celui
administré aux « clients lambda« .

Or, d’après des membres du laboratoire, la multiplication des tests sur un même produit leur enlève tout intérêt scientifique. « Plus vous re-testez le même échantillon, plus on peut passer d’une barrière à une autre. C’est ce petit jeu qui permet de passer sous la barre, alors qu’on était au-dessus« , confie-t-il à Europe 1. Au point qu’un ancien employé déclare même avoir carrément demandé à Lactalis s’ils « voulaient un test négatif » : « On ne met rien dans l’échantillon, on l’analyse, et comme ça, il sera négatif« .

Depuis un an et demi, les tests de Lactalis ont été transférés dans un autre laboratoire du même groupe, situé en Italie, pour des « raisons de coûts et de stratégie« . Pas très rassurant.

Vidéo : Fin de l’émission Cash Investigation où un responsable de la multinationale Lactalis répondait aux questions d’Élise Lucet.

Source de la vidéo : Cash Investigation

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De nouveaux leaks lèvent le voile sur les affaires de Glencore au Congo

Les « Paradise Papers », nouvelle série de fuite de documents de sociétés offshore, dévoilent les dessous d’une transaction du géant minier suisse Glencore au Congo, dans laquelle est impliqué un intermédiaire israélien soupçonné de corruption.

En 2007, Glencore est entré dans une relation d’affaires avec Dan Gertler, un homme d’affaires israélien. Ce dernier était connu pour sa proximité avec feu Katuma Mwanke, un conseiller du président congolais Joseph Kabila qui contrôlait l’attribution des licences minières du pays.

Un document du Ministère public américain concernant une affaire de corruption affirme que Katuma Mwanke a accordé des avantages miniers à un « homme d’affaires israélien » contre des pots-de-vin. Si ce dernier n’est pas explicitement nommé, des indices laissent penser qu’il s’agit de Dan Gertler, rapporte la cellule enquête du Matin dimanche, qui participe aux révélations des « Paradise Papers ».

Un sulfureux négociateur

Dans un procès-verbal de la société minière Katanga, détenue à l’époque à hauteur de 8% par Glencore, les investisseurs se plaignent de la volonté de l’Etat congolais de renégocier des contrats miniers.

C’est à ce moment qu’un mandat écrit est donné à Dan Gertler afin qu’il négocie avec les autorités congolaises, qui abandonneront finalement leurs exigences. Hasard ou pas, le Ministère public américain souligne que durant les trois mois précédant ces pourparlers « un homme d’affaires israélien » a versé 18,5 millions de dollars de pots-de-vin à Katuma Mwanke.

L’homme d’affaires israélien réapparaît ensuite comme intermédiaire lors d’une discussion concernant les licences pour les mines de Katanga, pour lesquelles le Congo exigeait 585 millions de dollars, avant de revoir ses prétentions à 140 millions suite aux négociatons.

Selon une experte citée dans l’article publié par 24 heures et la Tribune de Genève, la société Katanga « a payé, pour chaque tonne de matière première disponible dans la mine, quatre fois moins que ce que la plupart des autres investisseurs dans le secteur du cuivre ont accepté de payer ».

Glencore dément tout acte délictueux

Contactée par la RTS, la société Glencore dément toute opération financière douteuse. Le géant minier a transmis un historique de ses relations d’affaires liées à Katanga. Dan Gertler rejette également toutes les accusations.

Quelques semaines après la réussite de ces négociations, Glencore a octroyé un prêt convertible en actions de 45 millions de dollars à Dan Gertler, afin que les sociétés de l’homme d’affaires deviennent les seuls actionnaires significatifs de Katanga au côté de la multinationale zougoise.

Une clause du contrat prévoyait que les fonds puissent être retirés par Glencore si les négociations avec le Congo n’étaient pas conclues dans les trois mois. Une menace qui ne sera jamais exécutée, l’Etat africain ayant accepté de signer le contrat d’exploitation en juillet 2009.

Source : Radio Télévision Suisse

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Quand la France abattait un avion italien pensant qu’il transportait Kadhafi

Cette affaire démontre à quel point les Occidentaux voyous sont stupides, tellement arrogants qu’ils pensent qu’un tel crime ne sera jamais découvert. Il est vrai qu’ils prendront des précautions : assassiner tous les témoins un à un. Après les 82 passagers, une demi douzaine d’autres cadavres n’empêcheront pas de dormir les politiciens au pouvoir et certainement pas le commandement de l’OTAN. Sans oublier les dissimulations, censures, mensonges, tromperies des autorités concernant les faits et le déroulé de l’enquête, totalement dirigée par les criminels commanditaires de l’assassinat de Kadhafi.

Malgré toutes ces preuves et ces affaires gravissimes, il y aura toujours des naïfs et des imbéciles pour continuer à croire aux versions officielles comme si ces massacres n’avaient jamais eu lieu ! Comme si ces expériences historiques capitales n’avaient servi absolument à rien…

Tragédie d’Ustica : la revanche posthume de Kadhafi 


La sombre histoire du vol Itavia 870, 82 passagers, abattus en plein vol en 1980 par des chasseurs français qui l’ont confondu avec l’avion de Kadhafi…
Dans la nuit du 27 juin 1980, le vol Itavia 870 (un DC 9 immatriculé I-TIGI) a décollé de Bologne en Italie à destination de Palerme en Sicile. Il transportait 77 passagers, 2 pilotes et 2 membres de personnel de cabine. Les passagers comprenaient 64 adultes, 11 enfants âgés de 2 à 11 ans, et deux enfants de moins de deux ans.
Comme à son habitude, le vol Itavia 870 a mis le cap sur la côte sud de l’Italie. À 20h59, il a brutalement disparu des écrans-radar des contrôleurs aériens italiens. L’équipage n’avait signalé aucun problème technique ou une quelconque situation d’urgence.
À un moment donné l’avion était là, la seconde d’après il avait disparu. les 81 passagers sont morts et les débris de l’appareil ont sombré en mer.
De prime abord, les circonstances de sa disparition semblaient inexplicables.

Le vol s’est parfaitement déroulé jusqu’à ce que l’avion explose sans faire aucun survivant. Interrogées par les médias, les autorités italiennes ont d’abord laissé entendre que le vol 870 aurait pu être victime d’un attentat terroriste. Plausible dans un premier temps, cette thèse a vite été abandonnée en l’absence de toute revendication d’un possible attentat.

Les médias sont donc retournés aux nouvelles. Comme s’ils avaient reçu des consignes du sommet de l’État, les autorités se sont tues et aucune information complémentaire officielle n’a pu être obtenue sur l’affaire. Bien entendu, cela a aiguisé la curiosité de la presse et alimenté ses soupçons selon lesquels, la réalité devait être tenue secrète. Des soupçons qui n’ont pas tardé à se confirmer lorsque toutes les portes se sont refermées les unes après les autres, plus personne ne souhaitant évoquer la question.
Plus troublant encore, les enregistrements des données radar ont disparu ou ont été détruits.
D’autres informations techniques manquaient également ou étaient devenues soudainement inaccessibles. Plus effrayant encore, des témoins-clé ont commencé à décéder dans d’étranges circonstances : d’accidents de circulation, de suicides ou encore de crises cardiaques. Il s’en est suivi une décennie de dissimulation de la part des instances supérieures d’au moins 3 gouvernements. Une dissimulation qui perdure aujourd’hui… Bref, tous les ingrédients d’un scénario hollywoodien à ceci près qu’il ne s’agit pas d’une fiction mais de la réalité.
De l’obscurité à la lumière
L’histoire du vol Itavia 870 est une longue succession de maladresses, d’erreurs, de dissimulations ayant impliqué, d’une part, 3 gouvernements, et d’autre part, un gouvernement qui leur était hostile, celui du dictateur libyen Muammar Kadhafi. Dans une large mesure, les détails de ce qui s’est passé cette nuit là demeurent mystérieux. Toutefois, des éléments de preuve sont apparus récemment qui apportent des éclaircissements sur ce secret longuement gardé. La chute du gouvernement Kadhafi en 2011 a permis d’entre-ouvrir les archives secrètes de l’Etat libyen. Là, parmi les innombrables projets terroristes, les accords internationaux et les terribles malentendus diplomatiques, on a retrouvé des informations détaillées sur la nuit du 27 juin 1980.
Les raisons de l’attaque
En 1980, la communauté internationale était mobilisée contre un gouvernement qui devenait de plus en plus agressif, sous la direction du colonel Muammar Kadhafi. Aux USA, l’administration Carter était engagée dans la course présidentielle contre Ronald Reagan, ex-acteur et ancien gouverneur de Californie. En Europe, l’OTAN était largement absorbée par la guerre froide. L’Union Soviétique venait d’envahir l’Afghanistan. Le monde semblait sur le point d’entrer en conflit.
Pour toutes ces nations, la Libye devenait un problème de plus en plus inquiétant en Méditerranée. Les forces de Kadhafi s’employaient de plus en plus activement à déstabiliser les gouvernements de la région, y compris certaines anciennes colonies françaises en Afrique du Nord. Aux yeux du gouvernement français, il était temps d’éliminer le problème Kadhafi.
Un assassinat de portée internationale
Si l’on en croit les documents découverts en Libye, l’opportunité d’assassiner Kadhafi s’est présentée dans la nuit du 27 juin 1980 alors qu’il traversait la Méditerranée en provenance d’Europe pour regagner son pays à bord de son Tupolev. Une paire de Mirages français avait été mobilisée pour une mission spéciale : intercepter et détruire en vol l’avion de Kadhafi, offrant à toutes les parties concernées, la possibilité de nier ensuite toute responsabilité dans l’affaire. Si tout allait bien, l’épave s’abîmerait en mer et le problème libyen, serait résolu une fois pour toutes.

Dès le départ, les choses ne se sont pas déroulées selon les plans. Ce qui devait être une simple interception, s’est transformé en un engagement aérien confus, impliquant des chasseurs de 4 pays. Les avions français, libyen, italiens et américains ont convergé vers un point précis au sud des côtes italiennes. C’est dans cette mêlée que s’est retrouvé le vol Itavia 870, ignorant tout du drame qui allait se jouer.

Ce que les Français ignoraient depuis le départ c’est que leur tentative d’assassinat était vouée à l’échec. D’après les documents libyens récemment découverts, Kadhafi avait été informé du complot à la dernière minute par une source des services secrets italiens, le SISMI. C’est pour cette raison qu’il a demandé à son équipage de détourner son vol vers Malte. Il était notoire qu’à l’époque, le SISMI était très influent grâce à ses contacts de haut niveau en Libye. L’Italie a conservé des relations étroites avec Kadhafi pendant de nombreuses années. C’est par exemple Bettino Craxi qui a téléphoné à Kadhafi en 1986 pour l’informer du raid imminent de F111 américains. Ce fut une nouvelle fois grâce à l’aide italienne qu’il pu quitter sa résidence quelques minutes avant l’attaque.
Au cours de cette nuit de 1980, au moment précis ou Kadhafi décida de dérouter son avion vers Malte, un MiG23 de l’armée de l’air libyenne faisait route au Nord à sa rencontre afin de l’escorter jusqu’en Libye. Dans la confusion, Ezedine Koal le pilote du MIG n’a pas reçu l’ordre de faire demi-tour et de rentrer à sa base. Au lieu de cela, il a poursuivi son vol vers le Nord au dessus de la Méditerranée, à la recherche du Tupolev de Kadhafi et a été rapidement repéré par les radars de l’OTAN. Selon les plans prévus dans cette éventualité, l’armée de l’air italienne et la Navy américaine ont immédiatement dépêché des intercepteurs alors qu’il s’approchait de l’espace aérien italien.
Soudain, un combat aérien dans la confusion
Quelques minutes plus tard, le MIG-23 libyen était en vue des côtes de Sicile. Ensemble, 3 chasseurs F-104 italiens et au moins un Corsair A-7 II (probablement un vol de deux avions) sont apparus séparément venant de l’Est. Les deux chasseurs français Mirage fonçaient en provenance du Nord avec l’intention de remplir leur mission meurtrière de telle sorte que 7 voire 9 chasseurs de l’OTAN convergeaient vers un même point dans le ciel sombre au dessus de la Méditerranée. Ignorant tout de cette concentration, le vol Itavia 870 poursuivait sa route.
C’est apparemment le MIG-23 libyen qui a aperçu le premier le DC-9 civil sur son radar. Il volait cap au Sud comme prévu. Pour le pilote libyen, il était exactement au lieu prévu du rendez-vous. Il a donc manœuvré son MIG-23 pour se placer à proximité de l’avion de ligne qu’il a vraisemblablement confondu avec le Tupolev de Kadhafi dans l’obscurité. Pour les pilotes des chasseurs français, la paire d’avions qui venait de se former correspondait à ce que prévoyait leur ordre de mission : une cible de la taille d’un avion de ligne, clairement, le Tupolev de Kadhafi, escorté par un seul chasseur libyen qui l’avait rejoint en provenance du Sud. Les deux appareils volant maintenant cap au Sud en direction de la Libye.
Aucun tir de semonce n’a été tiré. C’était supposé être un assassinat pur et simple. L’un des 2 pilotes français à lancer un missile air-air en direction de la plus grosse des cibles. Il a fait mouche et touché l’avant du vol Itavia 870 d’un tir parfait. L’avion de ligne n’avait aucune chance de s’en tirer. Il a littéralement explosé en vol. Alors qu’ils surveillaient la boule de feu qui apparaissait par intermittente dans le lointain, les deux pilotes des Mirage français ont réalisé sur leur radar embarqué que le MIG-23 libyen manœuvrait pour se placer en position de contre-attaque.
Il n’y avait donc qu’une seule chose à faire, le descendre également.
Finir le travail en descendant le MIG-23
À la vue de l’impact du missile sur l’avion de ligne tout proche, Ezedine Koal, le pilote du MIG-23 libyen s’est écarté, à la recherche d’un avion ennemi. Où qu’il pointe le nez de son appareil, son radar révélait la présence de toujours plus de chasseurs ennemis. 3 F-104S Starfighters étaient visibles d’un côté pendant qu’un ou deux Corsair A-7 de l’US Navy arrivaient d’une autre direction. 2 chasseurs français Mirage fonçaient du Nord, leurs radars déclenchant le système de réception d’alerte précoce à l’intérieur du MIG indiquant qu’ils s’apprêtaient à ouvrir le feu. Ezedine Koal était seul et en grand danger. Peu d’options s’offraient à lui en dehors d’engager le combat et de tenter de fuir plein Sud. Ses chances de survie étaient minces. Les intentions hostiles des avions ennemis ne faisaient aucun doute ; après tout ils venaient juste de descendre et dans son esprit d’assassiner le Colonel Kadhafi lui-même, l’homme qu’il était supposé escorter et protéger.
La suite fut une série confuse de manœuvres et de contre manœuvres à grande vitesse dans le ciel nocturne italien. Les chasseurs français et le libyen se sont affrontés au dessus de l’eau pendant que les appareils italiens et de l’US Navy tournaient autour. Le combat s’est déplacé vers l’Est au dessus de la terre ferme jusqu’à ce que le MIG-23 finisse par être touché où qu’il percute les montagnes invisibles plus bas. Il s’est écrasé en percutant les montagnes de Calabre à Castelsilano et Ezedine Koal n’a pas survécu.
Leur mission accomplie, les chasseurs français Mirage ont remis cap au Nord pour rentrer en France. La destruction du MIG leur garantissait qu’il n’existait aucun témoin de leur assassinat de Muammar Kadhafi.
Ce qui s’est passé ensuite et la dissimulation de l’interception
Kadhafi a survécu à la tentative aérienne d’assassinat. Il vivra jusqu’au « printemps Arabe » libyen de 2011. La France n’évoquera jamais publiquement les événements de cette nuit là. Tout comme l’Italie qui optera pour une politique de silence et de dissimulation. Observateurs extérieurs non-européens, les USA garderont également le silence. Face au silence assourdissant des autorités, les médias désigneront la disparition du Vol 870 par le Massacre d’Ustica (« Strage di Ustica » du nom d’un île proche de la mer Tyrrhénienne).
Le 18 juillet 1980 soit 21 jours après l’opération, l’épave du MIG-23 libyen a été localisée dans les montages de Sila. Le corps du pilote Ezedine Koal  encore attaché au siège éjectable, fut identifié grâce à son nom inscrit sur son casque. Les autorités italiennes se sont opposées à ce que deux reporters puissent prendre des photos de la scène. Ils furent appréhendés et relâchés en échange de la confiscation de leurs pellicules.
En dépit de ces ultimes efforts de dissimulation, la presse ne tarda pas à découvrir que le corps du pilote libyen était décomposé, confirmant que son décès remontait à 3 semaines, date de la disparition du vol 870. La concomitance des 2 évènements ne tarda pas à attiser la curiosité de la presse. Le corps du pilote fut rapatrié en Libye après avoir été enterré un moment en Italie.
D’étranges coïncidences et quelques décès inexpliqués  
La dissimulation a duré jusqu’à ce que les enregistrements radars des événements de cette nuit là disparaissent. Il aurait pu s’agir d’une coïncidence. De même les obstacles de toutes sortes et les dissimulations ont retardé l’examen des débris du DC-9 et la rédaction d’un rapport d’enquête pendant 9 ans. Un délai exceptionnellement long en matière d’accident aérien. Le rapport a conclu que « toutes les preuves examinées confirment que l’accident du DC-9 a été causé par l’explosion d’un missile près du nez de l’appareil. En l’état actuel des connaissances, il n’a pas été possible de déterminer le type, l’origine et l’identité du missile ».
La revue Aviation Week and Space Technology compléta le rapport en indiquant que les dommages causés au fuselage de l’appareil étaient compatibles avec ceux provoqués par un missile air-air. Les doutes quant à une implication militaire dans les évènements s’évanouissaient peu à peu. Mais de quelle armée pouvait-il s’agir ? Les libyens pouvaient-ils s’être rendus coupables d’un acte de terrorisme aérien air-air ? S’agissait-il de quelqu’un d’autre ? Très vite les partis politiques de gauche se mirent à affirmer que la US Navy avait abattu l’appareil accidentellement.
Des témoins-clé décèdent de manière inopinée
Plus inquiétant encore quoi qu’il pu s’agir là encore d’une coïncidence, bon nombre de ceux qui étaient de service cette nuit là et qui auraient été des témoins clé des événements, sont décédés dans d’étranges circonstances.
Pierangelo Teoldi le commandant de la base dont ont décollé les intercepteurs italiens F-104S est mort soudainement dans un accident de circulation.
Mario Alberto Dettori et Franco Parisi, deux contrôleurs
aériens ayant assisté à la scène sur leur écran-radar se sont suicidés par pendaison (choix personnel discutable compte tenu de la douleur qu’elle provoque).
L’un de leurs collègues, Maurizio Gari est décédé d’une attaque cardiaque. Il avait 37 ans.
Un 4ème contrôleur aérien, Antonio Muzio, ayant eu connaissance des faits intervenus cette nuit là a été retrouvé assassiné.
Finalement,  Mario Naldini et Ivo Nutarelli, 2 des 3 pilotes italiens ayant participé à l’interception du MIG-23, sont décédés au cours d’une collision lors d’une fête aérienne sur la base de Ramstein en Allemagne. Pour de nombreux conspirationnistes, ces morts en série ne peuvent être le fait du hasard.
Le mot de la fin sur le vol 870 ?
Une enquête formelle a finalement été lancée par un juge italien Rosario Priore qui s’est rapidement heurté aux obstacles mis en travers de son chemin par des personnalités politiques italiennes et des membres de l’OTAN. Ses conclusions ont fait état de la dissimulation mise en œuvre, et 4 généraux italiens se sont retrouvés accusés de haute trahison pour s’être opposés à l’enquête. L’accusation a finalement été abandonnée.
En juillet 2006, les fragments de l’appareil du vol 870 ont été rassemblés et livrés à Bologne depuis la base aérienne Pratica di Mare située près de Rome. Un an plus tard, en juin 2007, le fuselage reconstitué à été exposé dans le tout nouveau Musée de la Mémoire d’Ustica à Bologne. Il constitue le témoignage silencieux de ce qui a probablement été une tentative d’assassinat qui a échoué – terriblement – et provoqué la mort de 81 innocents civils et d’un pilote libyen de MIG.
C’est en 2008 que l’ancien président italien Francisco Cossiga a pris l’initiative de confirmer que le vol Itavia 870 a été descendu par des chasseurs français.
Un aveu qui a fait l’effet d’une bombe bien que les détails de l’opération n’aient pas encore été rendus publics. Peu de temps après, des réparations ont été demandées à la France. Moins de deux ans plus tard, le président Cossiga décédait d’insuffisances respiratoires.
En 2011, les tribunaux italiens ont exigé du gouvernement italien qu’il paye 127 millions de dollars de réparation aux familles des victimes. La lumière se fait peu à peu sur la véritable histoire de ce qui s’est déroulé dans le ciel au dessus de la mer Tyrrhénienne. A la suite de la publication des derniers éléments des archives gouvernementales libyennes, la seule question qui subsiste est de savoir à quel moment les autorités publiques accepteront de reconnaître leur responsabilité dans ce qui s’est passé et de confirmer ou d’infirmer la séquence des événements décrites dans les documents libyens.
32 ans constituent peut être un délai suffisant pour que la vérité soit enfin révélée.

Menadefense.net 
Traduit de l’article : « An assassination of international proportions – 27 juin 1980 and a cover-up by NATO : Civilian jet with 81 civilians shot by french Mirage instead of Qaddafi plane over Sicily » par Thomas Van Hare dans FlyHistoricWings de juin 2012. 

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