Famille Rothschild : Histoire de la dette, des impôts et des guerres

(Photo by Mario Tama/Getty Images)

Louis Farrakhan qui a prononcé ce discours le 1er. avril 1995 à Springfield (Massachusset Etats-Unis), y dénonce le système de la dette qui a soigneusement été mis en place par des banquiers internationaux pour ponctionner le peuple en combinaison avec la création des impôts.

« En Europe, un homme du nom de Rothschild, qui a clamé être juif, a déclaré qu’il se contrefichait de savoir qui est le roi ou le dirigeant tant qu’il contrôle la finance.

Rothschild avait cinq fils, il les a envoyé vers différentes contrées de l’Europe. Un en Angleterre, un en France, un en Italie, un en Autriche et un est resté avec le père en Allemagne. Ils sont tous devenu un élément de la Fondation Rothschild. Mais par la manipulation monétaire, le fils qui était en Angleterre a pris de l’ascendant et la banque d’Angleterre s’est établie, puis la banque de France, la banque, la banque d’Italie, la banque d’Autriche et enfin la banque d’Allemagne. C’était les banques centrales qui imprimaient la monnaie de ces nations qui sont à présent entre les mains d’une famille s’étant étendue non pas dans l’intention de faire du bien, mais avec celle de devenir des manipulateurs et d’avoir le contrôle de la destinée des nations du monde.

L’Europe a connu beaucoup de conflits, et les Rothschild finançaient les deux camps. Ce que vous ne comprenez pas, c’est que la guerre est une manipulation d’argent. Vous pensez que combattez pour la démocratie, une guerre pour mettre un terme à toutes les guerres laissez la paix régner sur la Terre : c’est le langage rusé que le sage et le méchant utilisent afin de piéger les pauvres et les faibles.

La fondation Rothschild est devenue si puissante que même quand l’Amérique a été établie, ils ont continué à vouloir prendre le contrôle de la banque centrale, à travers leur propre argent à l’intérieur du pays »…

(Le reste dans la vidéo)

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Telford : un scandale de viols collectifs par des gangs indo-pakistanais refait surface

Une enquête devra déterminer si les institutions ont suffisamment protégé les enfants de Telford, après qu’une investigation du Sunday Mirror a accusé les policiers, la municipalité et les services sociaux d’avoir échoué à démanteler un réseau pédophile d’origine indo-pakistanaise par crainte d’être accusés de «racisme».

Comment les services sociaux, la municipalité de Telford et même les forces de police ont-ils pu fermer les yeux sur les agissements d’un réseau d’agresseurs pédophiles d’origine indo-pakistanaise pendant près de 40 ans? Dans une longue enquête parue la semaine dernière, Le Mirror estime qu’ils ont pu faire jusqu’à 1000 victimes, principalement des jeunes filles de la classe ouvrière blanche de cette ville du nord de l’Angleterre. Aujoud’hui, les institutions de cette petite ville du nord de la Grande-Bretagne sont accusées d’avoir tenté de minorer, voire d’étouffer les agissements de ces gangs criminels par peur d’être accusés de racisme.

C’est l’accusation qu’a essuyé Lucy Allan, la députée Tory (conservateurs) de la circonscription de Telford, lorsqu’elle réclamait à cor et à cri la réouverture de l’enquête sur cette affaire sordide qui avait déjà abouti à plusieurs condamnations. On lui a reproché d’attiser les tensions interraciales en pointant la responsabilité d’hommes indo-pakistanais, alors que les abus d’enfants étaient commis par des personnes de tout milieux.

Un combat de 18 mois

«À ce moment-là, je n’avais même pas mentionné la question de race, je n’étais pas assez courageuse», confessait-elle dimanche dans une interview au Telegraph . «Même moi, j’étais trop facilement prête à accepter le discours du ‘Oui, les statistiques disent que les hommes blancs commettent aussi des abus sexuels…’ Certes, les hommes blancs commettent des abus, mais cette notion de gang est associée à la culture pakistanaise. Reconnaître le problème est la première étape pour le résoudre», estime-t-elle. En effet, une enquête publiée l’année dernière par le think-tank Quilliam a relevé que 85% des hommes condamnés pour leur appartenance à des gangs de violeurs depuis 2005 étaient d’origine indo-pakistanaise.

Sur demande de Theresa May, l’enquête indépendante demandée par Lucy Allan a finalement été ouverte vendredi. Elle aura pour but d’«obtenir la vérité, montrer ce qui n’a pas fonctionné», et «tirer les leçons pour l’avenir», a déclaré un porte-parole du ministère de l’Intérieur. «C’est une affaire vraiment terrible, certains des membres les plus vulnérables de notre société étant la proie de criminels sans pitié». Mercredi, Theresa May avait appelé de ses voeux la mise en place de cette commission le plus rapidement possible. «Nous avons tous été choqués par cette affaire horrible», avait déclaré le premier ministre britannique devant les députés, soulignant la qualité de l’enquête du Sunday Mirror .

Silence des services sociaux

C’est l’aboutissement d’un combat de dix-huit mois mené par Lucy Allan. Elue en 2015, elle reçoit une première jeune femme de 24 ans qui lui dit avoir été victime d’un gang à Telford. Elle demande alors l’ouverture d’une enquête sur le modèle de celles menées à Rotherham et Rochdale, deux ville pauvres du nord de l’Angleterre où des gangs indo-pakistanais se sont rendus coupables de plusieurs centaines de viols et abus sexuels sur mineurs entre 1997 et 2013. Si le premier ministre Theresa May approuve la démarche en privé, la députée se heurte au refus du conseil local de la ville qui estime toute nouvelle enquête inutile.

Car l’affaire n’est pas nouvelle à Telford. Une opération de police menée entre 2010 et 2012, baptisée «Opération Chalice», avait déjà identifié plus de cent victimes potentielles entre 2007 et 2009, et jusqu’à 200 auteurs. Seuls neuf agresseurs ont fini derrière les barreaux. Le chef de gang, Mubarek Ali, a été condamné à 22 ans de prison. Mais ce qu’a révélé l’enquête du Sunday Mirror, c’est que les autorités avaient connaissance de ces abus de masse depuis au moins dix ans lorsque l’opération Chalice a été déclenchée. Le journal a précisé qu’il transmettrait des documents au Home Office (l’exécutif du gouvernement britannique) prouvant ces accusations. Tout aussi grave, les agissements des réseaux pédophiles auraient perduré à Telford après la clôture de cette enquête, sans que les institutions ne réagissent.

«Je suis tombée deux fois enceinte et j’ai subi deux avortements. Quelques heures après mon second avortement, j’ai été raccompagnée par l’un de mes agresseurs pour être violée par plus d’hommes.»

Une victime de 14 ans

Dans le détail, le Sunday Mirror accuse les travailleurs sociaux d’avoir été informés de ces abus sexuels dès les années 1990, et la police d’avoir mis dix ans à lancer des poursuites. Les membres du Conseil ont traité les victimes comme des prostituées, et non comme des victimes. Les autorités ont préféré taire les détails sur l’identité des auteurs issus de communautés indo-pakistanaises, par peur d’être accusées de «racisme». La police a refusé à cinq reprise d’ouvrir une enquête, jusqu’à l’intervention de Lucy Allan. Enfin, l’une des victimes a déclaré que les policiers avait tenté de la dissuader de rechercher pourquoi ses agresseurs n’avaient pas été poursuivis, car ils craignaient qu’elle ne parle au Mirror.

La vérité sur les viols de Telford et Rotherham: Les Grooming Gang.

L’affaire des viols collectifs de Telford concerne le plus grand scandale d’abus sexuels sur mineurs de Grande-Bretagne. 1 000 enfants, la plupart des jeunes filles blanches auraient été drogués, maltraités, violés et parfois tués par des auteurs très majoritairement d’origine ethnique pakistanaise et bangladaise et de religion musulmane. Il y aurait plus de 200 criminels impliqués et les abus se poursuivent d’après les victimes encore en 2018. Les médias, notamment en France, ont été accusés de ne pas couvrir l’affaire à la hauteur du scandale révélé.

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La Russie accusée sans preuve de l’empoisonnement de l’agent double Sergei Skripal et de sa fille

Avec le temps, de nombreux False Flags qui étaient considérés comme des théories complotistes se sont avérés réels en démontant les versions officielles.

Sans vouloir en faire la démonstration ici hors mis peut-être les armes de destruction massive irakiennes mises en avant par Powell afin de justifier la guerre dans ce pays, la communauté internationale semble aujourd’hui unanime concernant l’implication de la Russie dans l’affaire de l’empoisonnement de l’ex agent Russe Sergei Skripal et de sa fille.

A la veille des élections en Russie la RTS revient sur l’évènement et Alain Jourdan journaliste à Tamédia et correspondant permanent à l’ONU déclare que dans cette affaire, sur le plan politique et ce sans vouloir blanchir la Russie, tous les coups étaient permis. Si tel est le cas cette manœuvre aurait-elle été mise en scène pour déstabiliser ou discréditer un homme pourtant certain de remporter les élections haut la main ?

Crise Anglo-russe : A qui profite la crime ?

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Source : Radio Télévision Suisse

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Géo-ingénierie : Aveux accablants de présentateurs météo et d’un géo-ingénieur

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Au fur et à mesure que les années passent, les masques tombent. La Géo-ingénierie n’est plus une théorie complotiste au grand dam de ceux qui s’y accrochent comme à un débris de bateau après naufrage. Les langues se délient, les témoignages se multiplient et jour après jour, le mur du mensonge s’effrite et les consciences s’éveillent.

Quel monde allons-nous laisser aux générations futures si toutefois, à force de mépriser notre maison, la terre, nous ne nous dirigeons pas vers une extinction massive.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Deux vidéos édifiantes dans ce billet :

Vidéo 1 :

Un phénomène que tout le monde peut voir, mais feint d’ignorer ou ne réalise pas. Il faut dire que tout est fait pour nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Pourtant, les témoignages sont multiples. On trouve ici sur la réalité de ces témoignages accablants, pertinents et inquiétants…

Sur VK

Sur Youtube

Vidéo 2 :

TF1 diffuse une vidéo qui démontre l’utilisation de géo-ingénierie en Chine pour faire neiger

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Réinformation : Cash investigation, bienvenue dans le monde merveilleux du coton

Dans le monde, le business du coton pèse près de 37 milliards d’euros de chiffre d’affaires chaque année.

En Asie, au Bangladesh, en Inde, Sandrine Rigaud est partie enquêter sur la face sombre de cet or blanc. Dans les filatures du Bangladesh notamment, des ouvrières – souvent très jeunes – vivent et travaillent dans les usines comme des prisonnières. Des situations sur lesquelles de grandes enseignes françaises semblent fermer les yeux. Un nouveau label promet aussi un coton plus équitable et respectueux de l’environnement. Mais il n’y a aucune traçabilité. Plus grave, il est en train de mettre en péril la filière du coton bio qui propose une fibre textile sans pesticides.

Coton : L’envers de nos tee-shirts (Extrait)

Coton : L’envers de nos tee-shirts (Intégrale)

De retour d’Ouzbékistan après y avoir enquêté sur les usines de coton, Sandrine Rigaud, la journaliste de « Cash Investigation » (Facebook, Twitter, #@cashinvestigati), a rendez-vous dans un café à Paris avec le patron belge d’une usine implantée sur place. Avant son arrivée, l’équipe du magazine présenté par Elise Lucet a installé quelques caméras cachées.

Elle joue le rôle d’une acheteuse française intéressée par les produits made in Ouzbékistan fabriqués dans son entreprise. « Voilà mes derniers produits. J’ai pris ‘small’. Ça devrait être bon’… », dit l’homme d’affaires en posant sur la table des échantillons 100% coton choisis à sa taille. « Oh, merci, c’est gentil », répond l’enquêtrice. Et la conversation démarre sur le travail forcé constaté en Ouzbékistan.

« Si ce n’est pas chercher des ennuis, ça… »

Le patron répond : « Invention de journalistes ! Il faut toujours faire attention avec eux. Il y en a qui sont venus en Ouzbékistan avec un visa touristique pour voir comment cela se passait… et ils se sont fait attraper. Ils sont avec un visa touristique et entrent illégalement dans une usine… et on voit qu’ils ont des appareils photo et que ce sont des journalistes ! » A noter que ce patron pense s’adresser à une cliente… qui est en fait une journaliste entrée en Ouzbékistan avec un visa touristique avant de se faire arrêter !

« Vous connaissez… Lise… euh, comment elle s’appelle ? lui demande-t-il. Une journaliste qui travaille sur France 2 ou France 3 ? Lise… Lise… Elise ou Lise ? Celle qui fait tous les grands reportages et qui est très pertinente ? Une blonde avec des cheveux très courts… » Impossible de ne pas connaître, cela paraîtrait louche : « Elise Lucet ? D’accord… Ah, oui, oui… » Le patron précise sa pensée : « Elle est très… Elle est très… Elle en a énervé plus d’un. Si ce n’est pas chercher les ennuis, ça, c’est quoi ? »

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Saint-Martin : Un témoignage qui en dit long !

Témoignage poignant de Amori résident à Saint-Martin

Nous avons du quitter notre appartement qui est foutu, maintenant il y a des squatters et c’est le bordel. On a du se réfugier dans un autre appartement car la sécurité est nulle.

Tout ce que l’on nous a dit et promis de la part de l’état et des médias, les 3/4 sont faux.

De notre côté aussi il y a des choses qui ne sont pas vraies, au niveau des corps il y  a plein de gens qui disent qu’il y en avait de partout, c’est totalement faux, qu’il y a des gens qui se font violer dans la rue c’est totalement faux, il y a peut être des histoires mais en revanche il y a un gros problème, les pillages, les coups de feu, il y a un tas de gens qui sont armés, il y a des pauvres gendarmes qui ne sont pas du tout préparés à ce genre de situation, ils sont là, ils ne savent pas quoi faire et nous on entend des choses à la radio, que notre gouvernement nous a donné ça et ça… C’est totalement faux !

Il faut arrêter d’écouter n’importe quoi, on se fait censurer…

On a rien, on a pas eu de nourriture, on a pas eu de couvertures et j’ai des enfants avec moi…

J’ai été voir un gendarme le lendemain du cyclone je lui ai dit : Ça part en sucette, donnez-nous une arme ou quelque chose…

Il me répond : Prends tout ce que tu as, si on vient te piller tu te débrouilles.

Je lui réponds : Me débrouiller comment et il rétorque : Sauve ta vie, si tu dois tuer, tues !

Côté Hollandais, ils ont tout eu dans les deux jours qui ont suivi et on pourra le prouver, on a tout, les vidéos datées, on a tout filmé, des milliers de gens ont filmé. C’est fini les bulletins de vote, on va y aller nous !

 

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Europe : Conflits d’intérêts et Corruption, ou comment les multinationales règnent sur nous

Le néolibéralisme dans toute sa splendeur !

Si vous voulez savoir comment l’Europe s’assoit allègrement sur nos intérêts ce qui suit vous concerne !

Cet article va démontrer comment des gens qui sont censé protéger nos intérêts se font acheter par des multinationales en ne visant au final que des intérêts financiers.

Nous, cinq cent millions de personnes, on devient quoi dans tout ça ?

Pour nous mettre dans le bain et pour commencer, un petit rappel avec Elise Lucet qui tente une interview avec Rachida Dati justement soupçonnée de conflit d’intérêt avec GDF Suez

vk

L’Europe est de plus en plus contestée aujourd’hui et les « Xit » de plus en plus envisagés du moins par les peuples eux-même. Bien qu’envisageable la chose est difficilement réalisable vu la réticence de Bruxelles pour des référendums populaires.

Vidéo en fin d’article.

  • Les multinationales achètent des députés pendant leur mandat.

Les premières personnes que les multinationales peuvent acheter sont les députés européens. Quand un député qui siège à Bruxelles pour l’intérêt général peut en même temps occuper un emploi privé et peut donc être à la solde d’un employeur d’une multinationale ce qui s’appelle un conflit d’intérêt. C’est un peut comme si un arbitre de foot qui doit être neutre dans son jugement travaillait pour une des deux équipes.

  • Les multinationales dictent jusqu’à 1/3 des amendements aux députés.

Le seul travail des députés européens est de modifier la loi ou déposer des amendements à la loi. Les multinationales peuvent dicter des amendements aux députés ou autrement dit, les députés déposent des copier coller des amendements dictés par les multinationales.

  • Les multinationales achètent des commissaires européens : Le pouvoir d’une promesse d’embauche.

Les entreprises ne peuvent pas directement acheter les commissaires européens mais l’astuce réside dans le fait qu’on peut leur proposer une promesse d’emploi. Jacques Abramoff, le plus grand lobbyiste américain des années 1980 à 1990 le dit lui-même : « Quand vous aurez fini de travailler pour l’administration, nous aimerions beaucoup que vous envisagiez de travailler avec nous. Au moment ou un de mes collègues ou moi avions prononcé ces mots, c’était plié. On les tenait ! Et qu’est-ce que ça veut dire ? Chaque requête venant de chez-nous ou d’un de nos clients, tout ce qu’on voulait, il allait le faire. Et mieux que ça, il allait penser à faire des choses qu’on aurait pas imaginé nous-même. »

  • Les multinationales achètes les fonctionnaires européens : Promesse d’embauche bis.

La moitié des fonctionnaires européens sont d’anciens ou futures lobbyistes privés ce qui fait donc que leurs intérêts sont excessivement mêlés.

  • Les experts indépendants sont payés par des multinationales.

Avant chaque projet de loi, la commission européenne nome un groupe d’experts. Ce groupe d’experts a un rôle très important. C’est lui qui va défricher le domaine et poser le problème que va résoudre la loi. Les multinationales se filtrent à ce groupe d’experts pour essayer de le façonner à leur guise. Ces groupes d’experts sont composés de fonctionnaires européens, de représentants d’intérêts industriels et de plein d’experts indépendants qui sont souvent des chercheurs indépendants mais ou le bât blesse c’est que très souvent ces experts sont financés par les multinationales.

  • Les multinationales financent des lobbies déguisées.

Un exemple avec l’institut européen pour l’hydratation. Cet institut a été financé à hauteur de 6.5 millions d’euros par Cocacola. Pas besoin d’en dire plus.

  • Les multinationales influencent les résultats de la science en la finançant.

Les multinationales payent directement la recherche, des universités, des chercheurs ou des programmes académiques. Quand une multinationale finance une recherche elle le fait avec son approche à elle en ne visant que ses propres intérêts.

Une vidéo à ne manquer sous aucun prétexte !

Stéphane Guibert / Finalscape / Sur VK

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