Économie : Quand les États couchent avec le monde de la finance

Pourquoi des coupes budgétaires, pourquoi s’en prend-t-on aux retraites, aux droits des chômeurs, pourquoi les primes d’assurances maladie prennent-elles l’ascenseur ? Prémisses d’un ordre mondial régi par le capital.

L’État est un appareil de contraintes au service des nouvelles classes dirigeantes et dominantes.

Nous vivons sous la dictature planétaire du capital financier et globalisé des banques et des multinationales qui imposent leurs lois à tous les États du monde et dont la surdétermination est d’imposer leurs volontés. Les États perdent leur souveraineté comme neige qui fond au soleil. C’est la logique du capital qui gouverne la planète avec toutes les conséquences désastreuses qui se répercutent sur les peuples et l’environnement.

Un ancien président de la banque mondiale déclarait que le but de l’histoire devait mener vers un gouvernement mondial sans État ou en d’autres thermes, une autorégulation du marché. Les peuples seront expulsés de leur propre histoire et la main invisible du capital gouvernera le monde selon des lois prétendument naturelles.

Deux mots pour résumer : Dictature, Esclavagisme.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Multinationales : Le pouvoir hors-les-lois.

Multinationales : Le pouvoir hors-les-lois.

Ce qui se passe depuis des décennies au nez et à la barbe des peuples n’est rien d’autre qu’un transfert du pouvoir entre les mains des banques et des multinationales !

Alain Deneault, philosophe québécois, auteur de “La Médiocratie” et “Le totalitarisme pervers” nous explique le fonctionnement des multinationales qui lancent avec la complicité de nos élites une nouvelle offensive contre la démocratie avec la merveilleuse loi « secret des affaires« .

G.S

Crédit vidéo : DataGueule

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Dette : L’insupportable pouvoir des banques et leur dictature

L’insupportable pouvoir des banques par la dette.

Comment cela marche-t-il ?

Vous demandez un crédit de 20’000 Euros à votre banque  pour l’achat d’une voiture et votre banquier vous l’accorde ; comment cela fonctionne-t-il ?

Ne croyez pas que votre banquier va gentiment mettre 20’000.- Euros en liquide sur votre compte non ! C’est par la magie d’un jeu d’écriture informatique qu’il va créditer votre compte sans pour autant sortir un sou de sa poche et c’est vous qui en remboursant laborieusement votre emprunt chaque mois allez créer l’argent en question sans oublier les intérêts faramineux que la banque ramasse au passage. Je vous parle ici de banques privées alors que normalement, la prérogative de battre monnaie appartient au peuple et à la nation et c’est d’ailleurs ce qui fait sa souveraineté.

Ce qui est en train de se passer sous notre nez et notre barbe n’est rien d’autre qu’un transfert de pouvoir entre les mains des banques et des multinationales !

Ce que font les banques privées je dis bien et le répète, les Banques Privées en  créant de l’argent et en s’enrichissant  sur votre dette n’est rien d’autre que du vol et du racket ! 

Je vous mets au défi d’essayer de faire la même chose  et vous verrez ou vous finirez…!

Le système ne peut pas perdurer ainsi éternellement et il faut s’attendre à l’éclatement d’une bulle qui selon certains économistes et ils sont de plus en plus nombreux à être de cet avis sera dévastatrice, encore bien plus que la crise des subprimes en 2008.

Je vous rappelle que Bruxelles discute très sérieusement d’un gel préventif des comptes afin d’éviter les Bank Run et qu’en cas de faillite, une banque peut désormais se saisir de vos avoirs et ce, dans un cadre tout ce qu’il y a de plus légal. De plus, la garantie que les comptes en banques d’un montant inférieur à 100’000.- Euros soit hors de danger est utopiste pour la simple et bonne raison que le fond de garantie prévu à cet effet par l’U.E n’excède pas les 65 milliards d’Euros pour toute l’Europe alors que rien qu’en France, l’épargne atteint déjà 100 milliards d’Euros.

N’oublions pas non plus cette directive européenne passée en catimini qui prévoit la fin du cash à partir de 2018 !

Il faut vraiment que nous prenions conscience que si nous ne faisons rien aujourd’hui pour résister à cette dictature qui se met en place, nous serons passible de double trahison :

La première, d’avoir trahi les générations passées en restant passifs et ainsi ruinant à néant les efforts parfois aux prix de vies qui ont permis d’obtenir les acquis sociaux qui partent aujourd’hui en poussière.

La seconde, d’avoir trahi les générations futures qui de par notre passivité les auront réduites en esclavage.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

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Médias Indépendants : L’affaire Ibtissem Mennel

Bonjour à tous.

Je tourne cette petite vidéo pour parler d’un fait d’actualité qui pourrait sembler être un détail mais qui n’en est pas un du tout. Le départ de Ibtissem Mennel d’une émission de télé-crochet sur TF1 car elle a publié, par le passé des messages qualifiés de complotistes.

Alors le complotisme, c’est la tarte à la crème. Tout comme le mot « Fake News », qui est le nouveau mot que les médias ont inventé pour disqualifier tout propos non conforme qui égratigne un tant soit peu le pouvoir. Mais moi j’ai envie de dire à nos dirigeants et aux médias : S’il n’y a pas de complots, à quoi servent donc les services secrets ? et comment sont fomentés les attentats ? Comment sont préparées les guerres ? Tout ça tomberait du ciel comme par enchantement. Non.

Il faut bien qu’à un moment donné des gens se mettent d’accord et suivent un plan. Et cela ne s’appellerait-il pas un, complot par hasard ? Le complot ce n’est pas une théorie, c’est la condition sine qua non pour qu’un attentat ou une guerre survienne.

Maintenant , ce dont on peu discuter effectivement, c’est des commanditaires des attentats. Et dire que les gouvernements pourraient vouloir créer des situations de tension, pour faire passer des lois liberticides, excusez-moi, mais c’est vieux comme le monde. C’est le fameux adage : « Diviser pour régner ».

Ce qu’a dit Ibtissem en réalité, c’est simplement l’expression du bon sens populaire. Et quand bien même ce serait faux dans tel ou tel cas particulier, bon sang, en France, en 2018, on devrait avoir le droit de dire ce qu’on veut, de réfléchir, de formuler des hypothèses, sans avoir peur que la foudre nous tombe sur la tête. C’est la base de la démocratie.

Alors voilà, ce qui se passe avec cette jeune chanteuse est un tournant, car maintenant on va fouiller dans votre passé et dès que vous aurez publier publiquement une pensée qui ne suit pas le discours officiel, pensée que d’ailleurs bien souvent, l’immense majorité des gens partagent, dès que vous aurez réfléchi en dehors du parcours fléché et bien on va vous refuser un poste, un boulot, un concours, vous licencier et peut-être même, vous tuer socialement.

C’est extrêmement grave ce qui se passe et cela nous concerne tous !

Derrière la guerre contre les « Fake News » et les soit-disant théories du complot, ce qu’ils font c’est instaurer le Ministère de la Vérité du roman de George Oewell. Ils mènent une véritable guerre contre la pensée critique, par le terrorisme intellectuel et le chantage à la déchéance sociale. L’affaire Ibtissem en est la preuve.

Ils ont rétabli le délit d’opinion et même le crime d’arrière-pensée.

La dictature n’est pas en marche, nous y sommes.

 

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Quand les élites font de leurs mensonges, notre vérité !

Ceux qui ne pensent pas comme nous ou n’écrivent pas comme nous seront réduits au silence !

Après les coupes budgétaires sur France télévision, après la censure des journalistes dans le cadre de la loi sur le secret des affaires, maintenant, Macron veut mettre en place une loi censurant les médias dissidents durant la période électorale

Elle est pas belle la démocratie ?

G.S

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Dictature en marche : Images impressionnantes de violences policières contre les Catalans se rendant aux urnes

Grosse démonstration des catalans n’ayant pour arme : Qu’une urne !

A terme, une guerre civile est à prévoir en Europe, l’Espagne sera-t-il le pays d’où tout partira ?

La violence avec laquelle les forces de l’ordre Espagnol interviennent démontre la détermination d’un pays, l’Espagne, à ne pas céder de terrain aux indépendantistes Catalans.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Plusieurs centaines de personnes ont été blessées dimanche dans des heurts quand la police a voulu empêcher la tenue d’un référendum d’autodétermination en Catalogne.

Les nuages se faisaient plus lourds sur Barcelone et les hélicoptères dans le ciel plus nombreux, quand les policiers anti-émeutes ont saisi des urnes et chargé des manifestants qui voulaient voter lors d’un référendum interdit sur l’indépendance de la Catalogne. Vers 10H00 du matin (08H00 GMT) des tirs de sommation puis des tirs de balles de caoutchouc ont claqué dans la ville, marquant un changement de climat brutal.

La journée avait commencé par d’importants rassemblements de militants qui voulaient «défendre» ce référendum. Des centaines de Barcelonais se rassemblaient devant les bureaux de vote, croisant des fêtards tardifs en talons aiguilles ou une canette à la main. L’exécutif régional avait préparé en secret pendant presque quatre semaines ce scrutin interdit par la Cour constitutionnelle, ignorant les avertissements du gouvernement de Mariano Rajoy.

A l’aube, de Gérone à Barcelone, et de Manresa à Figueras, des milliers de Catalans lançaient ainsi un défi sans précédent à l’Etat espagnol. «Votarem», (nous voterons) : c’était leur cri de ralliement.

Face à la passivité de la police catalane, les Mossos d’Esquadra, déchirée entre l’obéissance à l’Etat central et ses liens avec la population, la police nationale et la Garde civile sont passées à l’action. A Barcelone et, symbole oblige, à Gérone, le bastion du président indépendantiste Carles Puigdemont, à une centaine de kilomètres au nord. La Garde civile a encerclé le centre sportif où il devait voter, repoussant la foule non sans bousculades, puis elle a forcé les portes pour saisir les urnes, devant des militants qui entonnaient un hymne de la résistance antifranquiste, l’Estaca, le poing levé, selon des images de l’AFP.

Hymne catalan

Au même moment à Barcelone, Marc Carrasco, 52 ans, en charge du bureau de vote Ramon Llull, racontait nerveusement la scène qu’il venait de vivre. «Ils ont emporté six ou sept urnes… Ils sont entrés en défonçant la porte… Nous étions à l’intérieur en chantant l’hymne catalan et nous entendions des coups très violents sur la porte». Des images tournées par des amateurs montrent également des pompiers être frappés par des policiers alors qu’ils tentaient de protéger les manifestants (voir viédo ci-dessus).

«Ils ont pris les urnes par la force… et ils les arrachaient littéralement pendant que nous continuions à chanter «Els Segadors», l’hymne catalan, et à crier Vive la Démocratie», a-t-il ajouté. En sortant, les policiers se sont trouvés face à plusieurs centaines de militants assis qui leur ont coupé la route, et ils ont chargé, selon des témoins.

«Ce n’est pas normal dans une démocratie»

Ils ont tenté de les disperser par des tirs de sommation «mais comme ils ont vu que cela ne faisait rien, ils ont utilisé ça», a déclaré à l’AFP Jon Marauri, un secouriste de 22 ans, en montrant des balles en caoutchouc. Selon lui la rue, aux abords du centre, était pleine de gens, environ 500 personnes.

Un témoin, David Pujol, 37 ans, a montré une blessure à la jambe reçue au cours de cet affrontement et une journaliste de l’AFP a vu un deuxième blessé dans une ambulance.

«Nous étions en train d’aider un gars qui était blessé ici et à ce moment la police a de nouveau tiré des balles de caoutchouc et j’ai été blessé à la jambe», a-t-il raconté. «Je me sens très fâché, ce n’est pas normal dans une démocratie», a déclaré David Pujol, venu de l’île de Majorque.

 

 

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Espagne : «La première guerre sur internet du monde a commencé en Catalogne», s’alarme Julian Assange

Les tentatives de Madrid de blocage des applications facilitant la tenue du référendum en Catalogne constituent une véritable «guerre sur internet» selon Julian Assange, qui a lancé un appel appuyé afin de lutter contre ces mesures.

Julian Assange, le célèbre fondateur du site Wikileaks, s’est invité à sa manière dans la campagne du référendum sur l’indépendance de la Catalogne, qui doit se tenir le 1er octobre malgré son interdiction par la justice espagnole. Impitoyable défenseur de la liberté d’expression, le lanceur d’alerte s’est insurgé contre les mesures prises par Madrid pour tenter d’empêcher la tenue du scrutin, ciblant particulièrement les mesures de censure dans le domaines des télécommunications.

«La première guerre sur internet du monde a commencé en Catalogne», a écrit Julian Assange sur Twitter, le 30 septembre. «Les habitants et le gouvernement [de la région de Catalogne] utilisent internet pour organiser le référendum d’indépendance de dimanche [1er octobre], tandis que les services espagnols de renseignement gèlent les télécommunications et se livrent à la censure de centaines de sites, de protocoles, etc…», a détaillé le célèbre lanceur d’alerte.

S’appuyant notamment sur des informations relayées par le journal catalan El Nacional le 29 septembre, Julian Assange a dénoncé l’intrusion de la garde civile espagnole dans un bâtiment de télécommunications de Barcelone, qui visait à bloquer 29 applications que le gouvernement catalan comptait utiliser pour organiser le vote et compter les voix.

J’appelle tous nos soutiens et les informaticiens à révéler les méthodes de censure de la garde civile et des services de renseignement espagnols

Une mesure qui a révolté le lanceur d’alerte et contre laquelle il souhaite faire naître une mobilisation internationale : «J’appelle tous nos soutiens et les informaticiens où qu’ils soient, à nous aider à révéler, puis à contourner les méthodes de censure de la garde civile et des services de renseignement espagnols.»

Madrid, qui n’a pas autorisé le scrutin, cherche par tous les moyens à empêcher son organisation. La justice espagnole a notamment demandé au géant américain Google de désactiver une application expliquant comment et où se rendre pour voter.

Source : RT

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Europe, la dictature en marche : 38 blessés lors d’affrontements avec la police en Catalogne

Charges de la police, électeurs traînés au sol : premières images du vote en Catalogne.

Malgré l’interdiction du scrutin décrétées par Madrid, les Catalans ont gagné les bureaux de vote pour s’exprimer sur l’indépendance de leur région. La police a été déployée en masse pour tenter de déloger des électeurs qui restent déterminés.Sur Twitter, les premières images du référendum pour l’indépendance de la Catalogne, interdit par les autorités espagnoles, attestent de la tension qui règne autour de ce scrutin.

Le 1er octobre, des électeurs catalans se sont en effet massés en bloc devant les portes d’un bureau de vote, la police tentant difficilement de les en déloger.

Comme en attestent les images, les forces de l’ordre, vêtues de tenues anti-émeutes, ont été déployées en nombre dans la région.

Plusieurs charges ont eu lieu afin d’écarter les électeurs des bureaux de vote, malgré les protestations de ces derniers.

Dès 9h, le ministère espagnol de l’Intérieur a publié les photos d’urnes qui avaient été saisies, laissant présager de sa détermination à empêcher la tenue du référendum.

 

Les autorités catalanes ont de leur côté réitéré leur appel à voter sur l’indépendance de la région, assurant aux électeurs qu’ils pourraient se rendre dans n’importe quel bureau de vote ouvert en Catalogne.

Source : RT

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