Un Zoom sur le pays que j’aime, mon pays, la Suisse
Quelques vidéos sans chauvinisme sur le pays du légendaire Guillaume tell.
Je ne me suis jamais sentie aussi proche de mon pays que lorsque j’en étais loin. J’ai passé un an aux États-Unis et, souvent, le soir, je m’asseyais sur un banc pour contempler l’horizon de l’océan pensant à mon pays.
Switzerland from every angle
A closer look at the country I love, my country, Switzerland
Some videos without chauvinism about the country of the legendary William Tell.
I have never felt closer to my country than when I was far away. A year spent in the United States and often, in the evening, I would sit on a bench contemplating the ocean horizon, thinking about my country.
« Les pop-corn c’est comme l’amour, on en voudrait tous les jours »
Le titre Pop-corn et ses différentes variantes:
« Popcorn » (première version « Pop Corn« ) est un instrumental composé par Gershon Kingsley en 1969 pour l’album Music to Moog By sur le label Audio Fidelity Records. Le synthétiseur instrumental Moog est devenu un succès mondial, d’abord en 1972 lorsqu’une version de Hot Butter est sortie. Depuis lors, plusieurs versions ont été produites et publiées, notamment celles de Vyacheslav Mescherin, Anarchic System, Popcorn Makers, les Boomtang Boys, M & H Band, Crazy Frog et The Muppets.
Merci à Jean Michel Jarre et à Dreyfus Records.
« Pop-corn is like love, we want it every day »
Title Pop-corn and its different musical variants:
« Popcorn » (first version « Pop Corn« ) is an instrumental composed by Gershon Kingsley in 1969 for the album Music to Moog By on the Audio Fidelity Records label. The instrumental Moog synthesizer became a worldwide hit, first in 1972 when a Hot Butter version was released. Since then, several versions have been produced and released, including those by Vyacheslav Mescherin, Anarchic System, Popcorn Makers, the Boomtang Boys, M&H Band, Crazy Frog and The Muppets.
Many thanks to Jean Michel Jarre and Dreyfus Records.
Si tu veux faire partie de l’économie réelle de ton pays, après les études, pars en apprentissage!
En France, beaucoup de ces jeunes après la scolarité obligatoire continuent les études et finissent en Bac plus…
Parallèlement, après leurs études, un énorme pourcentage de ces jeunes finissent sans emploi, faute d’expérience ou parce qu’il n’y a tout simplement pas de travail.
En regardant la vidéo proposée dans ce post, Eliott a su le comprendre. Son métier touchant à l’art, il aura très certainement d’énormes débouchés en fin d’apprentissage et tout au long de sa carrière. Je lui souhaite tout de bon pour la suite. (Vidéo)
En Suisse, c’est tout à l’inverse de la France que les jeunes quittent l’enseignement à l’âge requis pour entrer en apprentissage.
L’émission « Un oeil sur la planète – le miracle Suisse » de France télévision (2013) vous le démontre. (Vidéo)
« Love’s Theme » est un morceau instrumental écrit par Barry White vers 1965, et enregistré et publié en single par The Love Unlimited Orchestra de White en 1973. C’est l’un des rares singles instrumentaux et purement orchestraux à atteindre la première place du classement Billboard Hot 100 aux États-Unis, ce qu’il a fait au début de 1974.
Love theme by Barry white
« Love’s Theme » is an instrumental piece written by Barry White in around 1965, and recorded and released as a single by White’s The Love Unlimited Orchestra in 1973. It is one of the few instrumental and purely orchestral singles to reach No. 1 on the Billboard Hot 100 chart in the United States, which it did in early 1974.
Joe Cocker, un personnage à part dans le monde du Blues. Par sa voix d’abord, exceptionnelle et son attitude sur scène. Mimant la gestuelle de Ray Charles à ses débuts, celui qui était caché par ses choristes pour ne pas que l’Amérique ne s’offusque face aux soubresauts tétaniques de l’artiste est devenu une légende, non sans avoir bien galéré avant de connaître la gloire. Celle-ci est arrivée en 1969 lorsque Joe Cocker décide, sur les conseils du producteur Denny Cordell, de reprendre « With a little help from my friends » des Beatles. Il enregistrera l’album juste derrière, accompagné d’un certain Jimmy Page, de Stevie Winwood et Albert Lee.
Merci à Chrystalis Records.
***** Joe Cocker *****
« N’oubliez jamais »
Joe Cocker, a character apart in the world of Blues. By his voice first, exceptional and his attitude on stage. Mimicking the gestures of Ray Charles in his early days, the one who was hidden by his choristers so that America would not be offended by the artist’s tetanic jolts has become a legend, not without having struggled a lot before knowing the glory. This happened in 1969 when Joe Cocker decided, on the advice of producer Denny Cordell, to cover « With a little help from my friends » by the Beatles. He will record the album just behind, accompanied by a certain Jimmy Page, Stevie Winwood and Albert Lee.
La chanson est écrite pour sa première fille, Josephine. Chris Rea écrira également une chanson pour son autre fille, Julia, sur l’album Espresso Logic (1993).
Chris Rea a enregistré de nombreuses versions de cette chanson, comme une version plus disco intitulée Josephine (La version française) (1987).
Josephine a notamment été samplée en 1999 par le groupe de musique électronique français Superfunk pour leur chanson Lucky Star.
En 2020, une reprise de Josephine est née d’une collaboration entre les groupes Broken Summer et Mad3 For M3 avec la chanteuse canadienne Carly Rae-Jepsen.
The song was written for his first daughter, Josephine. Chris Rea would also write a song for his other daughter, Julia, on the album Espresso Logic (1993).
Chris Rea recorded many versions of this song, including a more disco version titled Josephine (The French version) (1987).
Josephine was notably sampled in 1999 by the French electronic music group Superfunk for their song Lucky Star.
In 2020, a cover of Josephine was born from a collaboration between the groups Broken Summer and Mad3 For M3 with the Canadian singer Carly Rae-Jepsen.
En hommage à ces gosses qui voient plus loin que leurs aînés.
Que leur laisse-t-on hormis nos faux espoirs emballés proprement par des mensonges à demi-mot avoués?
Un monde en proie à l’égoïsme, la cupidité, la corruption, la pourriture ambiante, la guerre, l’injustice. Ce monde pue le cadavre en décomposition. Les artifices et lumières froides qui font les couchers de soleil de cet environnement insipides, inodore et sans couleurs camouflent une souffrance, un abandon, une solitude inoubliable et un déni indiscutable dont le commun des mortels se nourrit jusqu’à en crever.
Je pleure sur nous, je pleure pour nous.
Cette vidéo qui a été tournée par Victor Lebre alors âgé de 16 ans durant le confinement laisse transparaître le mal-être d’une génération qui, désespérée crie « Au secours! »
A toi Victor.
Message à Victor Lebre:
Je ne compte plus le nombre de fois ou j’ai essayé de te contacter pour avoir un suivi de ton histoire. J’ai même contacter la mairie de ton bled en leur demandant de me mettre en rapport avec toi, sans aucune réponse.
Si tu lis ce message, s’il te plait, contacte moi. Tu as sur ce blog tous les moyens de le faire.
Bien à toi.
Steph.
***** Their projects *****
By Victor Lebre
In tribute to these kids who see further than their elders.
What do we leave them other than our false hopes carefully packaged in half-admitted lies?
A world plagued by selfishness, greed, corruption, ambient rot, war, injustice. This world stinks of rotting corpses. The artifices and cold lights that make the sunsets of this insipid, odorless and colorless environment camouflage a suffering, an abandonment, an unforgettable solitude and an indisputable denial that ordinary mortals feed on until they die.
I cry over us, I cry for us.
This video, which was shot by Victor Lebre, then aged 16, during confinement, reveals the uneasiness of a generation who, in desperation, cry out “Help!”
To you Victor.
Message to Victor Lebre:
I’ve lost count of how many times I’ve tried to contact you to get an update on your story. I even contacted the town hall in your village, asking them to put me in touch with you, but I haven’t received a single reply.
If you read this message, please contact me. You have all the means to do so on this website.