Il faut absolument et sans réserve être solidaire et remercier ces lanceurs d’alerte qui, souvent, au péril de leur vie, nous informent et font contrepoids au système médiatique mainstream corrompu. (ndlr.)
En dénonçant les malversations orchestrées par la banque suisse UBS, elle a permis à la France de récupérer 12 milliards d’euros et de mettre la main sur 38 000 comptes offshore. Stéphanie Gibaud sort un livre, « La traque des lanceurs d’alerte » aux (éditions Max Milo), dans lequel elle raconte la vie de 50 lanceurs d’alerte, français et étrangers, qui, comme elle, subissent dans leur vie quotidienne les conséquences de leurs révélations.
Portes qui se ferment, inscription à Pôle emploi, téléphone désespérément muet, familles et amis qui leur tournent le dos… Les lanceurs d’alerte subissent tous les mêmes contrecoups de leur acte civique.
Aujourd’hui Stéphanie Gibaud n’a plus d’emploi et vit avec le RSA.
Message de Stéphanie Gibaud : « A tous ceux qui se mobilisent pour Assange et les lanceurs d alerte, petit rappel : »
Dans ma liste de contactes et je le revendique ! Oui pour sauver Assange !
Faut-il sauver le soldat Assange?
Héros pour les uns, salaud pour les autres, Julian Assange est en prison en Grande-Bretagne et fait face à une demande d’extradition américaine. Le sort du fondateur de WikiLeaks, caisse de résonance de tous les secrets du monde, n’en finit pas de diviser. Et avec lui, c’est la figure du lanceur d’alerte qui fait débat. Quelles sont les limites de la transparence? Y a-t-il des bons et des mauvais lanceurs d’alerte? Et nos démocraties ont-elles un problème avec la critique? Faut-il sauver le soldat Assange? C’est le débat d’Infrarouge, mercredi soir en direct.
Stéphanie Gibaud, cette lanceuse d’alerte dénonçant les activités frauduleuses de la banque Suisse « UBS » permettant ainsi à la France d’économiser des millions d’euros c’est pourtant retrouvée démunie et détruite. (La vérité ne rend pas si libre que ça).
Dire la vérité, c’est mettre en danger son intégrité et sa foi en la justice ; des lanceurs d’alerte tels que Stéphanie Gibaud, Julian Assange ou encore Edward Snowden pour ne parler que d’eux ont en fait les frais.
Stéphanie Gibaud nous le rappelait :
« Certains se souviennent peut être de mes vœux pour 2019. Mes pannes informatiques récurrentes viennent de faire re-apparaitre cette vidéo, qui vous concerne tous. Merci pour #Assange et pour tous ceux subissant injustice, cruauté, laxisme et cynisme de nos ‘élites. »
Stéphanie Gibaud, lanceuse d’alerte et ex-cadre de la filiale française du groupe bancaire suisse UBS, se dit «déçue» par la justice britannique, qui a décidé de laisser Julian Assange sous mandat d’arrêt. Le fondateur de WikiLeaks reste donc réfugié à l’ambassade de l’Equateur à Londres. Pourtant, souligne-t-elle, le Royaume-Uni se targue d’être «l’une des plus grandes démocraties au monde».
Stéphanie Gibaud, le combat d’une femme contre la finance opaque
Suite à une mise à jour du système Androïde, mon téléphone a commencé à déconner : Il « reboote » sans fin donc, inutilisable.
C’est après avoir retiré la carte SIM puis en la réintroduisant que mon téléphone c’est mis à surchauffer. Je ne pouvais pas le tenir dans mes mains tellement il était chaud et impossible de retirer la batterie parce que l’appareil a été conçu comme ça. Finalement, il a fondu et la carte Sim a brûlé.
Je demande à mes contacts les plus importants :
CAS de Lancy, Alexandre M… , François de Siebenthal, Stéphanie Gibaud, Peter Moore, Rares Mihai Florescu, Pierre le Corf, Didier Marouani, François Verdonnet, Vince et tous les autres, je ne peux pas tous vous citer, de faire preuve de patience.
Demain, mardi 2 juin 2020, j’aurai un nouveau téléphone et un nouveau numéro.
Je vous contacterai individuellement pour vous transmettre mes nouvelles coordonnées.