Environnement : Une brique de plus sur le mur de la honte, une brique de plus sur le mur de la destruction de l’écosystème

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On est à des années lumières du pêcheur qui se tient paisiblement et patiemment derrière sa canne à pêche, attendant avec amour et respect pour l’environnement la prise qui lui permettra de partager un bon repas en famille ou entre amis.

La pêche électrique encore une invention et une autorisation concoctée entre les lobbies de la pêche.

Nous sommes dans la 6ème extinction de masse et ce que l’on voit autour de nous, les organismes vivants qu’on connaît, sont en train de disparaître.

La pêche électrique, ce sont des chaluts qui raclent le fond et qui ont déjà un énorme impact sur l’environnement marin qui est destructeur. De plus, il y a des câbles qui distribuent de l’électricité le long de ces bateaux que l’on appelle à présent « chaluts électriques ».

Cette technique de pêche est extrêmement destructrice. Elle distribue de manière non sélective du courant électrique qui électrocute l’écosystème marin dans son ensemble et de grands poissons comme les cabillauds, dans 50 à 70% des cas, vont avoir la colonne qui se fracture. De cause à effet, les artisans, les pêcheurs côtiers du pourtour de la mer du Nord, là ou la pêche électrique est autorisée, sont les premiers témoins de ce désastre écologique et lorsqu’ils sortent en mer, ils disent :

« C’est un cimetière quand on passe derrière un chalutier électrique, il n’y a plus rien. Ils sont également en train de détruire l’emploi parce qu’il ne reste plus du tout de poissons pour les autres. ».

Quand on se dit : « On peut vider l’océan », techniquement, là on a les moyens. Et c’est exactement ce qui est en train de se passer. On c’est donné les moyens de détruire les emplois et l’environnement de façon accélérée.

Quand la catastrophe sera déclarée et s’avèrera être irréversible, il y a fort à parier que des ONG viendront avec un air culpabilisateur en disant que ce sont nos choix de consommateurs qui nous ont amenés là tout en quémandant des fonds afin de réparer nos erreurs.

Nos choix, vraiment ?

S’il y a choix, ce sont bel et bien les choix de ceux à qui profite le crime et qui nous les imposent sans nous consulter.

N’est-il pas grand temps de faire l’addition et de l’adresser aux envoyeurs, à ces pourvoyeurs de destruction massive et de mort ?

Le problème même s’il est initialement lié aux politiques corrompues entre dans un contexte d’urgence et de survie pour l’espèce humaine. Les solutions, on le sait, ne viendront pas des politiques. Il est temps de voir la chose sous un angle différent.

Il existe d’innombrables idées et inventeurs respectueux de l’environnement qui malheureusement ont été sabordés par les industries mafieuses dont le seul souci est l’argent. Je vous invite à vous poser les bonnes questions mais faites vite, car le compte à rebours touche à sa fin.

Liens dédiés :

L’argent doit être une résultante et non une finalité en soi !

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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