N’allez jamais dire à un enfant que le Père Noël N’existe pas, vous tueriez du coup l’amour pour lequel cet enfant est fait.
Le père Noël est le symbole de l’altruisme, de la bienveillance et de ce qui reste à l’humanité de son bien fondé.
Bien sur que oui que le père Noël existe. Il existe dans le cœur d’une âme pure, dans un geste de bien vouloir et de donner sans ne rien attendre en retour.
Laisser à l’enfant rêver c’est lui donner la chance de concevoir un monde sans haine ni violence.
Le père Noël existe dans le cœur d’une âme bienveillante.
Stéphane Guibert
Santa Claus exists
Never tell a child that Santa Claus does not exist, you would kill the love for which that child is made.
Santa Claus is the symbol of altruism, kindness and what remains of humanity’s fundamental goodness.
Of course Santa Claus exists. He exists in the heart of a pure soul, in an act of kindness and giving without expecting anything in return.
Letting child dream is giving to the kid the chance to imagine a world without hatred or violence.
Porque te vas est une chanson espagnole composée en 1974 par José Luis Perales (chez Hispa Vox / Polydor). Elle est interprétée initialement par la chanteuse hispano-britannique Jeanette. Son succès considérable va de pair avec celui du film Cría cuervos dont elle est le thème musical.
La chanson est connue sous le titre Porque te vas qui signifie « Parce que tu pars », alors que l’orthographe initiale est « Por qué te vas » (ou « ¿Por qué te vas? »), qui se traduit par « Pourquoi pars-tu ? ».
Elle est enregistrée en 1974 en Espagne par Jeanette, alors âgée de 23 ans. Elle est basée sur une rythmique proche du reggae, ponctuée de cymbales et d’un accompagnement de cuivres (trompettes). Cette chanson d’amour ne connaît initialement qu’un discret succès, limité au marché espagnol.
Janette « Porque te vas » Cría cuervos
Porque te vas is a Spanish song composed in 1974 by José Luis Perales (at Hispa Vox / Polydor). It is performed initially by Spanish-British singer Jeanette. Its considerable success goes hand in hand with that of the film Cría cuervos of which it is the musical theme.
The song is known as Porque te vas which means « Because you’re leaving », while the initial spelling is « Por qué te vas » (or « ¿Por qué te vas? »), which translates to « Why are you leaving « .
It was recorded in 1974 in Spain by Jeanette, then 23 years old. It is based on a rhythm close to reggae, punctuated by cymbals and an accompaniment of brass (trumpets). This love song initially had only discreet success, limited to the Spanish market.
Janette « Porque te vas » Cría cuervos
Porque te vas este o melodie spaniolă compusă în 1974 de José Luis Perales (pe Hispa Vox / Polydor). A fost interpretat inițial de cântăreața spaniolă-britanica Jeanette. Succesul său considerabil merge mână în mână cu cel al filmului Cría cuervos.
Cântecul este cunoscut sub numele de Porque te vas care înseamnă „Pentru că pleci”, în timp ce ortografia inițială este „Por qué te vas” (sau „¿Por qué te vas?”), care se traduce prin „De ce pleci”.
A fost înregistrată în 1974 în Spania de Jeanette, pe atunci în vârstă de 23 de ani. Se bazează pe un ritm apropiat de reggae, punctat de chimvale și un acompaniament de alamă (trâmbițe). Acest cântec de dragoste a avut inițial doar un succes discret, limitat la piața spaniolă.
Lorsque j’avais 14 ans, j’y ai cru et j’ai été mangé tout cru.
Vainqueur d’une tripartie francophone, j’étais promu pour une carrière de chanteur avec toutes les fioritures, les paillettes et les lumières froides que cela implique.
Cher Loan, si j’écris ces lignes sans pour autant te connaître, c’est parce que j’aimerais t’éviter ce que j’ai vécu: déception et désarroi..
Tu es beau, talentueux et cela ne fait pas l’ombre d’un doute mais écartes toi des caméras et des médias parce ce que ce qu’ils veulent, c’est te manger tout cru.
Tu rapportes tant que tu rapportes et tu tomberas dans l’oubli lorsqu’un nouveau Loan se présentera.
Saches trouver refuge dans ton ombre et émerveille les de ta lumière lorsque le moment sera venu.
Tu iras loin, très loin et reste le seul maître à bord.
Amis et amies, ce vaccin n’est pas votre ami. Il stérilise et provoque des cancers foudroyants.
Ouvrez les yeux!
Des centaines de témoignages occultés par les médias vous mettent en garde. Votre meilleure barrière contre les virus c’est votre système immunitaire. Laissez le se battre pour vous!
Astérix aux Jeux olympiques est un film franco-germano-hispano-italien réalisé par Frédéric Forestier et Thomas Langmann, sorti en 2008.
Troisième adaptation cinématographique d’Astérix en prise de vues réelles, après Astérix et Obélix contre César (1999) et Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre (2002), le film raconte les aventures d’Astérix et Obélix affrontant Brutus, fils de Jules César, aux Jeux olympiques, afin de permettre à Alafolix d’épouser la princesse grecque Irina. Après plusieurs épreuves, Brutus et Alafolix doivent s’affronter dans une course de chars pour savoir qui gagnera la main d’Irina. L’utilisation de la potion magique de Panoramix par les Gaulois puis les Romains soulève des questions de dopage.
Synopsis:
Pour ces nouvelles aventures, nos irréductibles gaulois ont fait le déplacement jusqu’en Grèce pour participer aux Jeux Olympiques. Pour les remporter et permettre au jeune Alafolix d’épouser la Princesse Irina, Astérix et Obélix devront affronter le machiavélique Brutus, fils de César, au cours d’une Olympiade.
Jennifer Rush, une voix de cantatrice dans un minois assurément agréable qu’elle sacrifia malheureusement à la suite d’une opération de chirurgie esthétique, quel dommage…
Je vous propose une superbe version importée du Japon de ce tube international : “The power of love” sorti en 1984 qui avait été repris par la chanteuse Céline Dion en 1993 et qui a selon mon goût n’a vraiment rien à voir avec l’original. Je vous laisse juge.
Une vidéo que j’ai eu beaucoup de plaisir à produire.
Je remercie particulièrement CBS RECORDS pour sa confiance.
*** Jennifer Rush ***
« The power of love »
Jennifer Rush, a singer’s voice in an assuredly pleasant face that she unfortunately sacrificed following a cosmetic surgery operation, what a pity…
I offer you a superb version imported from Japan of this international hit: « The power of love » released in 1984 which was covered by singer Celine Dion in 1993 and which, according to my taste, really has nothing to do with the original. I let you be the judge.
A video i really enjoyed to do.
I particularly thank CBS RECORDS for its trust.
*** Jennifer Rush ***
« The power of love »
Jennifer Rush, o voce de cântăreață cu o față sigur plăcută pe care a sacrificat-o din păcate în urma unei operații estetice, ce păcat…
Vă ofer o versiune superbă importată din Japonia a acestui hit internațional: „The power of love” lansat în 1984 care a fost covert de cântăreața Celine Dion în 1993 și care, după gustul meu, chiar nu are nicio legătură cu originalul. Te las să fii judecător.
Un videoclip pe care m-am distrat foarte mult să îl produc.
Mulțumesc în mod deosebit CBS RECORDS pentru încredere.
The Rose est un film américain de Mark Rydell sorti en 1979.
Le film décrit le destin tragique d’une chanteuse de rock, prisonnière de l’alcool et subissant la pression de la célébrité et des tournées. Épuisée par ce train de vie, elle choisit de donner un dernier concert dans sa ville natale, mais ne pourra pas l’achever. Le rôle principal est tenu par Bette Midler.
Synopsis:
L’action se déroule en 1969 et The Rose, une star du rock, est épuisée par la vie qu’elle mène. Elle fait donc part à son manager de son souhait de prendre une année sabbatique après un ultime concert donné dans sa ville natale en Floride. Plus intéressé par le profit que par la santé de la chanteuse, il l’en dissuade, mais Rose pense avoir rencontré l’amour en la personne de Houston Dyer et s’obstine. Mais le jour du concert, le plus important de sa carrière, elle choisit la scène plutôt que l’amour.
Bette Midler « The rose »
The Rose is a 1979 American film by Mark Rydell.
The film describes the tragic fate of a rock singer, prisoner of alcohol and under the pressure of fame and touring. Exhausted by this way of life, she chooses to give one last concert in her hometown, but will not be able to finish it. The lead role is played by Bette Midler.
Synopsis:
The action takes place in 1969 and The Rose, a rock star, is exhausted by the life she leads. She therefore informs her manager of her wish to take a sabbatical after a final concert given in her hometown in Florida. More interested in profit than in the health of the singer, he dissuades her, but Rose thinks she has found love in the person of Houston Dyer and persists. But on the day of the concert, the most important of her career, she chooses the stage rather than love.
Bette Midler « The rose »
The Rose este un film american din 1979 al lui Mark Rydell.
Filmul descrie soarta tragică a unui cântăreț rock, prins în alcool și sub presiunea faimei și a turneelor. Epuizată de acest mod de viață, ea alege să susțină un ultim concert în orașul natal, dar nu-l va putea termina. Rolul principal este jucat de Bette Midler.
Rezumat:
Acțiunea are loc în 1969 și The Rose, o vedetă rock, este epuizată de viața pe care o duce. Prin urmare, își informează managerul despre dorința ei de a lua un an sabatic după un ultim concert susținut în orașul ei natal din Florida. Mai interesat de profit decât de sănătatea cântăreței, el o descurajează, dar Rose crede că a găsit dragostea în persoana lui Houston Dyer și persistă. Dar în ziua concertului, cea mai importantă din cariera ei, ea alege mai degrabă scena decât dragostea.
Hazel O’Connor est certainement l’un des personnages les plus attachants apparus sur la scène musicale et même cinématographique ces derniers mois de 1980. Son rôle dans “Breaking glass” où elle incarne le personnage de Kate l’héroïne, est tout à fait concluant : elle fait désormais partie des talents certifiés.
Actrice émouvante et chanteuse envoûtante, Hazel O’Connor s’est largement entretenue avec nous du film, du disque et de sa carrière en général.
1980 restera une année décisive pour le cinéma musical
Si « Fame » n’a pas su faire oublier « Saturday Night Fever » ou « Grease« , l’extraordinaire « Breaking Glass » saura combler tous ceux qui n’ont pas vu « Stardust » au moment de sa sortie. Bien sûr, « Breaking Glass » n’est pas le film du siècle, mais il a au moins le mérite d’être l’un des meilleurs films musicaux de ces dernières années. Que demander de plus ? C’est souvent un grand talent que de remplacer les « effets » par… l’émotion.
Comment vous inciter à aller voir « Breaking Glass » (en sachant, d’ailleurs, que vous ne le regretterez pas !) ?
L’histoire est celle d’un groupe new-wave, de ses premiers balbutiements à sa fin… C’est-à-dire du graffiti dans le métro jusqu’à la chute de l’héroïne Kate (Hazel O’Connor), chanteuse de talent dont la voix se rapproche fortement de celle de Lene Lovich.
Dans l’ombre de la talentueuse blonde que personne ne confondra avec Debbie Harry, on retrouve Phil Daniels dont on sut apprécier l’efficacité dans « Quadrophenia » et le moins célèbre « Scum”.
Phil, au départ petit besogneux a la solde d’un directeur artistique malin, devient rapidement manager du groupe de Kate. Mais tout n’est pas rose dans le show-business britannique et Kate, manipulée par les « requins” qui l’environnent, perdra jusqu’à sa propre personnalité… n’en prenant conscience que lorsqu’il sera trop tard.
Quand a ceux qui se demandent pourquoi ce titre, « Breaking Glass« , suggérons que le symbole du disque d’or brisé dans son support de verre est une parfaite image de la fragilité de cette si attachante héroïne.
Interview…
Comment as-tu obtenu ce rôle “en or” ?
Par chance, en partie, car à l’origine le rôle devait être interprété par un homme.
Es-tu plus attirée par le métier d’actrice que par la chanson ?
Il y a un an, lorsqu’on me posait la même question, je répondais que je préférais la musique, à coup sûr. Aujourd’hui, les deux m’intéressent également dans la mesure où je peux trouver des rôles qui me conviennent. Mon prochain film devrait être pour la Paramount. J’ai écrit un scénario qui, j’espère, verra bientôt le jour.
Avec la qualité et l’intérêt de “Breaking glass”. on peut logiquement penser, surtout si le public américain l’apprécie, que tu deviendras sans doute une très grosse vedette. Es-tu prête a assumer ce statut de rock-star ?
Je pense qu’en travaillant et en gardant la tête froide, je dois pouvoir m’en sortir sans « flipper » ! A l’heure actuelle, le disque, déjà marche très bien dans certaines parties des États-Unis ou le disco marche moins. Pourtant, la new-wave n’a jamais vraiment démarré aux U.S.A. qu’à partir de »Heart of glass », titre qui n’a aucun rapport avec la new-wave.
Lorsque l’on voit « Quadrophenia », “That’ll be the day”, “Stardust” et “Breaking glass” on a l’impression que le show-business n’a pas vraiment évolué de 1960 à 1980, puisqu’on retrouve toujours les inévitables cocktails, les directeurs artistiques qui ne comprennent rien à la musique… et les petits malins qui achètent des tonnes de disques chez les disquaires pilotes pour faire monter le titre dans le hit-parade !
Effectivement, avec l’arrivée du punk, on a cru que tout allait changer. On a assisté à l’éclosion de nombreuses firmes, nouvelles, petites et dynamiques ; on croyait que tout cela allait dépoussiérer un métier sclérosé. Finalement, on repart à nouveau dans la même situation. L’état est en partie responsable de la crise du disque, en raison des taxes (TVA, droits d’auteurs, etc.) beaucoup trop élevées. C’est aberrant de voir qu’en Angleterre, un import américain coûte presque moins cher qu’un pressage national. On a cru changer le monde, mais c’est raté !
Hazel, à l’heure actuelle, te sens-tu plus proche de Kate du début du film… ou de la star déchue de la fin ?
Heureusement, je m’apparente encore au côté positif du personnage ! Je n’ai vraiment pas envie de perdre ma santé mentale comme l’héroïne du film; mais Kate est assez paranoïaque. Dès le début du film, on voit qu’elle est seule, sans amis. Cet isolement, cette solitude sont déterminants pour la déchéance de l’héroïne. En ce qui me concerne, je ne veux pas être un produit des médias; je souhaite contrôler à la fois ma musique et ma personnalité.
Clip officiel « Will you ? » Sous-titré en français
« Jealous Guy » est une chanson écrite et enregistrée à l’origine par le musicien de rock anglais John Lennon à partir de son deuxième album studio Imagine (1971). Non sorti en single du vivant de Lennon, il est devenu un succès international dans une version de Roxy Music sortie au début de 1981 ; cette version a atteint la première place au Royaume-Uni et en Australie, et a été classée dans le top 10 dans plusieurs pays européens. La propre version de Lennon a ensuite été publiée en single et cartographiée aux États-Unis et au Royaume-Uni.
Lennon a commencé à écrire la chanson en 1968, lorsque, sous le nom de « Child of Nature », elle faisait partie des nombreuses chansons présentées en démonstration par les Beatles avant d’enregistrer leur double album éponyme (également connu sous le nom de « White Album »). Les paroles ont été inspirées à l’origine par une conférence donnée par Maharishi Mahesh Yogi au début de 1968, lorsque les Beatles assistaient à sa retraite spirituelle à Rishikesh, en Inde. En janvier 1969, les Beatles (principalement John) ont brouillé la chanson lors de leurs sessions d’enregistrement Get Back / Let It Be , où elle était intitulée « On the Road to Marrakech ».
« Jealous Guy » est l’une des chansons de Lennon les plus enregistrées, avec au moins 92 reprises.
Ferry – Lennon
« Jealous Guy »
« Jealous Guy » is a song written and originally recorded by the English rock musician John Lennon from his second studio album Imagine (1971). Not released as a single during Lennon’s lifetime, it became an international hit in a version by Roxy Music issued in early 1981; this version reached #1 in the UK and Australia, and was a top 10 hit in several European countries. Lennon’s own version was subsequently issued as a single, and charted in the US and UK.
Lennon began writing the song in 1968, when, as « Child of Nature« , it was among the many songs demoed by the Beatles before they recorded their self-titled double album (also known as the « White Album »). The lyrics were originally inspired by a lecture given by Maharishi Mahesh Yogi in early 1968, when the Beatles attended his spiritual retreat in Rishikesh, India. In January 1969, The Beatles (primarily John) jammed the song during their Get Back / Let It Be recording sessions, where it was referred to as « On the Road to Marrakesh« .
« Jealous Guy » is one of the most commonly recorded Lennon songs, with at least 92 cover versions.