Une affaire de passeports : Etranges similitudes lors d’attentats

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  • Attentats du 11 septembre 2001, on retrouve le passeport de Satam Al Suqami.
  • Attentat Charlie Hebdo 7 janvier 2015, une carte d’identité au nom de Saïd Kouachi a été retrouvée à l’intérieur d’un véhicule.
  • Attentats de Paris 13 novembre 2015, découverte d’un passeport syrien aux abords de l’établissement le Bataclan.
  • Attentat de Nice 14 juillet 2016, on retrouve les papiers d’identité d’un Franco-Tunisien à l’intérieur du camion qui a foncé dans la foule.
  • Attentat de Berlin 19 décembre 2016, la police allemande a retrouvé des papiers d’identité à l’intérieur du camion qui a également foncé dans la foule.

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3 réflexions sur “Une affaire de passeports : Etranges similitudes lors d’attentats

  1. GERALDINE dit :

    c’est quelque chose qui en effet m’a interpellé depuis un moment tous ces passeports miraculeusement retrouvés dans les véhicules ayant servi aux attentats!
    On prend vraiment les français pour des cons!!

    • Thierry Theller dit :

      GERALDINE dit : « c’est quelque chose qui en effet m’a interpellé… »

      C’est aussi ce qui s’appelle avoir « quelque chose » entre les oreilles.
      Et ce « quelque chose », nous sommes de plus en plus nombreux à nous apercevoir qu’il existe non seulement en nous, mais également tout autour de nous.

      En 2017, il ne tient donc qu’à nous de précipiter -du haut des plongeoirs électoralistes-, les usurpateurs d’un système démocratique aujourd’hui ostensiblement perverti, mais aussi les escrocs politiques de tout poil, shootés au mensonge, à la corruption, ainsi qu’à la trahison permanente de leur électorat.

      Sauf à être masochiste… évidemment !

  2. Thierry Theller dit :

    SVP, ne vous moquez pas des amnésiques. C’est pas bien.

    Aujourd’hui, c’est un handicap courant chez les terroristes. Une maladie neuropathologique, probablement virale. D’origine socialiste ?

    Quoi qu’il en soit, ce virus reste à ce jour obstinément incurable.

    A quand des pièces d’identité oubliées dans les toilettes de la presse médialatrine qui, n’en doutons pas, se fera aussitôt un devoir (information oblige !) de les publier.

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