Sur le chemin de l’école, ce sont 30 secondes de film toutes bêtes mais elles montrent quelque chose trop effacée du tableau de la « guerre ». La vie. Une partie de la ville est toujours assiégée et on est toujours bombardés sur certains quartiers mais la vie est plus forte que tout, que ce soit ici à Alep ou partout en Syrie … et ce ne sont pas 100 missiles qui briseront ça, on a vu pire.
Pierre Le Corf