Genève, La Place de Bel-Air en 1833
Reliant les deux rives, le double pont de l’Île; il connaîtra maintes destructions et reconstructions au fil de son histoire. Dans le fond à gauche, le bastion de Hollande transformé en promenade après la Restauration; il laissera bientôt place à un marché couvert qui, dès 1842, deviendra le Crédit Lyonnais. Sur la Corraterie, un omnibus s’engage pour rejoindre Carouge. La Tour de l’Île arbore encore une unique horloge, en attendant l’arrivée du chemin de fer en ville dans… une vingtaine d’années! En toile de fond s’étendent les falaises de Saint-Jean.
Lithographie extraite de Genève de Jadis, Louis Rey, 1977
Remerciements à Arnaud Bosch, historien et conférencier
Geneva: Place de Bel-Air în 1833
Il relie les deux rives, le double pont de l’Ile ; elle connaîtra de nombreuses destructions et reconstructions tout au long de son histoire. Au fond à gauche, le bastion de Hollande transformé en promenade après la Restauration ; il laissera bientôt place à un marché couvert qui, à partir de 1842, deviendra le Crédit Lyonnais. Sur la Corraterie, entrez dans un omnibus pour rejoindre Carouge. Il ne reste plus qu’une heure au Tour de l’Île avant que le chemin de fer n’arrive en ville dans… vingt ans ! En arrière-plan s’étirent les falaises de Saint-Jean.
Litografia de la Geneva de Jadis, Louis Rey, 1977
Mulțumiri lui Arnaud Bosch, istoric și lector
Geneva: Place de Bel-Air in 1833
Connecting the two shores, the double bridge of the Island; it will experience many destructions and reconstructions throughout its history. In the background on the left, the bastion of Holland transformed into a promenade after the Restoration; it will soon give way to a covered market which, from 1842, will become the Crédit Lyonnais. On the Corraterie, an omnibus enters to reach Carouge. The Tour de l’Île still features a single clock, pending the arrival of the railway in the city in… twenty years! In the background stretch the cliffs of Saint-Jean.
Lithograph from Geneva by Jadis, Louis Rey, 1977
Thanks to Arnaud Bosch, historian and lecturer
Stéphane Guibert (Facebook) / Stéphane Guibert (VK)