Europe, la dictature en marche : 38 blessés lors d’affrontements avec la police en Catalogne

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Charges de la police, électeurs traînés au sol : premières images du vote en Catalogne.

Malgré l’interdiction du scrutin décrétées par Madrid, les Catalans ont gagné les bureaux de vote pour s’exprimer sur l’indépendance de leur région. La police a été déployée en masse pour tenter de déloger des électeurs qui restent déterminés.Sur Twitter, les premières images du référendum pour l’indépendance de la Catalogne, interdit par les autorités espagnoles, attestent de la tension qui règne autour de ce scrutin.

Le 1er octobre, des électeurs catalans se sont en effet massés en bloc devant les portes d’un bureau de vote, la police tentant difficilement de les en déloger.

Comme en attestent les images, les forces de l’ordre, vêtues de tenues anti-émeutes, ont été déployées en nombre dans la région.

Plusieurs charges ont eu lieu afin d’écarter les électeurs des bureaux de vote, malgré les protestations de ces derniers.

Dès 9h, le ministère espagnol de l’Intérieur a publié les photos d’urnes qui avaient été saisies, laissant présager de sa détermination à empêcher la tenue du référendum.

 

Les autorités catalanes ont de leur côté réitéré leur appel à voter sur l’indépendance de la région, assurant aux électeurs qu’ils pourraient se rendre dans n’importe quel bureau de vote ouvert en Catalogne.

Source : RT

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Une réflexion sur “Europe, la dictature en marche : 38 blessés lors d’affrontements avec la police en Catalogne

  1. Thierry Theller dit :

    LES DÉMOCRATURO-DÉFICIENTS
    Aujourd’hui, en Espagne, comme le montrent les images ci-dessus, le temps des corridas privées est révolu. C’est pourquoi, la mise à mort démocratique des peuples se pratique à ciel ouvert. C’est-à-dire dans la rue. Les sicaires oligarchiques et les ̏démocraturo-déficients ̋ du Nouvel Ordre Mondial l’ont ainsi décidé.
    Désormais, l’État de droit ce sera… la loi du plus fort.
    Sauf qu’il restait encore, simple formalité, à « rassurer » les masses moutonnantes, afin que celles-ci persistent à refuser, encore et encore, de voir ce qui se cache derrière la nouvelle réalité sociale d’une dictature qui, jusqu’alors, vautrée dans la ouate du mensonge mondialiste et de ses rêves nécrosés, s’impatiente de montrer son vrai visage. Aujourd’hui, c’est chose faite.

    À présent, fini de rigoler : déjà les rideaux de la honte sont en train de tomber et nous dévoilent ouvertement la véritable horreur d’une UE à la conscience plate, de type néo nazie, avec ses monstrueuses prédisposions aux massacres de vérités et d’évidences éthiques, sans qui, pourtant, l’histoire de l’humanité, écrite alors aux confins de l’innommable, sur le tableau noir du crime généralisé, n’aurait jamais pu parvenir au-delà du stade embryonnaire d’un scorpion aussi meurtrier qu’éphémère.

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