Économie : La fin du cash, vous n’aurez plus aucun secret pour l’État

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Quoi de plus simple, de plus pratique et de plus rassurant que de payer sans liquide.

Les moyens mis à notre disposition pour régler une addition, payer ses factures, s’offrir un cinéma etc … sont si nombreux et faciles d’accès que l’on peut se demander « pourquoi encore s’encombrer avec du cash ? »

Tous les organismes de paiement s’entendent avec les banques et leurs alliés au gouvernement pour convaincre les consommateurs de l’inutilité mais aussi et surtout de la dangerosité que le fait d’avoir du cash dans son porte monnaie nous fait encourir. Bientôt, payer en liquide sera suspect, ce qui d’ailleurs est déjà le cas aux États-Unis et dans de nombreux autres pays.

Aujourd’hui, on ne consomme plus sans présenter ce fameux bout de plastique, ce sésame qui nous ouvre toutes grandes les portes des palais de la consommation tout en nous déroulant le tapis rouge. Prendre un ticket de bus et même aller se soulager dans des toilettes publiques, par un simple effleurement de notre carte bancaire, le tour est joué et selon certains services, payer avec de la monnaie est carrément impossible.

On n’arrête pas le progrès n’est-ce pas ? Mais toutes les médailles ont un revers car si la technologie sous couvert de sécurité nous simplifie la vie, de l’autre côté du miroir, en temps réel, on connait vos moindres faits et gestes.

Pour quelqu’un qui n’a rien à se reprocher, où est le problème me direz-vous ?

Le fait d’avoir du liquide ou des métaux précieux comme l’or par exemple nous préserve un espace de vie privée auquel les banques n’ont et n’auront jamais accès et c’est bien ce qui les dérange. À votre avis, pourquoi les grands manitous de la finance mettent-ils tout en œuvre pour abolir l’argent liquide ? Par un simple jeu d’écriture, une banque peut garnir votre compte et à l’inverse peut vous le vider. Notre dépendance aux banques devient telle que leur pouvoir sur nos vies sociales, sur nos vies tout court devient total et dictatorial; il faut bien s’en rendre compte.

Tout ceci n’est pas de la paranoïa mais une triste évidence. Dans la vidéo qui suit, Charles Gave, économiste, financier et entrepreneur nous l’explique et nous met en garde.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK /

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Une réflexion sur “Économie : La fin du cash, vous n’aurez plus aucun secret pour l’État

  1. Thierry Theller dit :

    SUPPRESSION DU CASH ET VALSE DES PRIX
    En matière d’escroquerie bancaire, légalement homologuée par des lois liberticides, les bankstères apatrides, et leurs complices politiques de tous bords, n’ont pas leur pareil pour estourbir financièrement tout citoyen peu au fait de l’entourloupe que ces derniers ne cessent de lui préparer.
    La dernière en date, étant la suppression du cash. C’est-à-dire, la suppression des espèces sonnantes et trébuchantes.
    D’autant que, pas piquée des hannetons – et portée par le génie de la malfaisance -, cette nouvelle “saloperie” politique, en forme d’authentique purulence ploutocratique, n’a, en effet, rien d’anodin.

    De quoi s’agit-il ? Tout bonnement d’un système – à double détente – où, d’un côté, les cartes de crédit deviendront non seulement le seul sésame capable d’ouvrir portes et couvercles des Mangeoires Multinationales (appelées communément grandes surfaces), mais, aussi, de l’autre, battre la mesure de la valse… des prix affichés.

    Comment ? Élémentaire, dirait le cher Watson ! Et aussi malodorant qu’un vase de nuit jamais nettoyé qui, incompréhensiblement, continue pourtant de faire les délices des coprophages politiques stipendiés, au seul service de leurs maîtres mondialistes.

    Concrètement, sous la loi du racket bancaire, toujours en vigueur, rien n’interdit, ni n’interdira en effet, de taxer, au maximum possible, l’utilisation de cartes de crédits devenues alors, pour les petits comme pour les grands commerces, le seul moyen de comptabiliser leurs recettes.

    À ceci près, que ce surplus de taxes n’aura pour résultat que celui de surcharger davantage encore le prix de revient de leurs marchandises. Marchandises qui, par un effet de dominos, seront alors d’autant plus chères. Voire, inaccessibles. Notamment, pour les “ Riens”, les “Fainéants” et les “Alcooliques”.

    Question : à qui profite le crime ?

    Dès lors, et dans ces conditions, secouer le cocotier des cancrelats maçonnico-voyoucratiques est tout, sauf un luxe.

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