Mise à jour : jeudi 23 mai 2019 – 23:30 –
On protège nos enfants mais si une fois on ouvrait les yeux et si l’on prenait la peine de se regarder dans le miroir en se posant cette simple question : Quel est le monde que je lègue à mes enfants ?
Guerres :
Les premières victimes sont toujours les enfants !
Effondrement de notre environnement :
Les premières victimes seront forcément nos enfants et ensuite nos petits enfants. Que penseront tous ces gens du passif que nous laissons derrière nous et ce, malgré tout l’amour que nous pouvions leur apporter ? À votre avis, nous remercieront-ils ou nous maudiront-ils ? Je pencherais personnellement pour la seconde possibilité mais bon, nous ne serons plus là pour le voir n’est-ce pas ? Et le principal ne réside-t-il pas dans le fait de satisfaire son égo en tant que petites gens que nous sommes pour la plu part d’entre nous ? Tout cela est si facile dans le fond.
Nous évoluons dans une société qui est faite de telle manière qu’elle nous empêche de penser et d’avoir le recul nécessaire pour nous poser les bonne questions. Toujours plus vite et toujours plus. Une société malade et autodestructrice dans laquelle la plu part d’entre nous se sentent dans leur élément. Cela fait peur, vraiment très peur !
Jiddu Krishnamurti disait : « Ce n’est pas un signe de bonne santé que d’être bien adapté à une société profondément malade. »
Nous en sommes vraiment arrivés là et ce n’est que peu de le dire ; la majeure partie des individus peuplant notre planète aujourd’hui sont profondément inadaptés à la continuité de la vie, ils sont même nuisibles.
Mère Nature est intelligente et je lui fait confiance, elle saura faire une sélection naturelle le moment venu et ce moment fatidique ne serait tarder.
Afin d’illustrer ce billet, je vous propose une chanson qui n’e date pas d’hier puisqu’elle est sortie en 1988 mais demeure on ne peut plus d’actualité. On la doit à l’interprète-compositeur Allemand Frank Duval.
Dans les années 80, l’alarme environnementale était clairement lancée et beaucoup d’artistes y dévouaient leur talent. Malheureusement, 30 ans après, le bilan est très lourd.
“Children of our time” (Enfants de notre temps), chanson sous-titrée en français qui nous parle de ces enfants de notre époque à qui nous n’aurons pas laissé la chance de vivre dans un monde viable et l’héritage que nous leur léguons est une montagne de difficultés. Sauront-ils les surmonter ?
Stéphane Guibert / Finalscape
Du même artiste : « Galaxy Zena »