François Asselineau : Taxes sur les carburants, la grogne des Français est justifiée

Mise à jour : samedi 27 octobre 2018 – 19:10 –

Pour le Président de l’UPR, François Asselineau, qui est aussi tête de liste pour les européennes, le gouvernement se trompe de cible : « Cette grogne est juste parce que le but est de rééquilibrer le budget en taxant les français plutôt que de lutter contre l’évasion fiscale »

Cette évasion fiscale a été légalisée en Europe par l’article 63  du TFUE qui autorise la libre circulation des capitaux.

Voir aussi >>>

Président de l’UPR, François Asselineau plaide pour une sortie pure et simple de la France des Traités sur l’Union Européenne. Il sera à nouveau tête de liste pour les élections européennes de mai prochain.

G.S / FINALSCAPE

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Politique : François Asselineau sera à Genève le vendredi 7 septembre 2018

Petit rappel pour celles et ceux que cela intéresse, François Asselineau sera en Suisse du 7 au 9 septembre 2018.

François Asselineau, président-fondateur du parti politique UPR, candidat à la présidentielle de 2017 et seul parti politique à prôner la sortie de l’UE, de l’OTAN et de l’euro en passant par l’article 50 du traité sur l’Union Européenne.

>>>Source : UPR<<<

G.S / Finalscape

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Médias : Quand Vincent Lapierre tente des interviews aux abords du nouveau siège de l’UPR

Pas évident pour Vincent Lapierre de faire son travail de journaliste lors de l’inauguration du nouveau siège de l‘UPR qui se déroulait à Paris, à l’occasion du 75e anniversaire de la 1re réunion du conseil national de la résistance.

Pour l’UPR qui est très actif sur Internet, qui a fait du Frexit son cheval de bataille et qui le 27 mai dernier inaugurait son nouveau siège dans le XIème arrondissement de Paris, le journaliste Vincent Lapierre était sur place pour interviewer les adhérant et les sympathisants de ce parti politique qui n’a obtenu que 0,9% lors de la présidentielle de 2017.

Bien que Vincent et son équipe aient été le seul média à couvrir l’événement, les responsables leur ont clairement fait entendre qu’ils n’étaient pas les bienvenus même sur la voie publique. Sur le site officiel de l’UPR qui annonçait l’inauguration, il était pourtant mentionné que tout le monde était invité.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK / MondiAspora

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Syrie : François Asselineau appel à la destitution du Président Macron

François Asselineau Président du parti Politique UPR accuse Macron d’ingérence

Monsieur Macron a décidé seul d’une action qui risque de nous entrainer vers une guerre mondiale sur l’affirmation d’une action criminelle sans aucune preuve sur une affirmation qui a potentiellement été inventée de toutes pièces par Washington en violant la charte de l’Organisation des Nations Unies.

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Réforme de la SNCF : « Si on privatise, ce sont les catégories populaires qui en pâtiront », selon François Asselineau , président de l’UPR

François Asselineau qui était présent à la manifestation du 22 mars à Paris concernant la privatisation de la SNCF répondait au micro d’un journaliste en disant que l’UPR était le seul parti qui prônait la sortie de l’Euro, de l’Europe et de l’OTAN afin de redonner aux Français la maîtrise de leur avenir tout en ajoutant que l’anéantissement des services publics découlait directement des traités européens.

L’UPR  propose de ne pas modifier le statut de la SNCF car si l’on va vers la privatisation de ce service public, en se référant à ce qui c’est passé en Grande-Bretagne, le passe Navigo coûte actuellement 75 Euros, l’équivalent en Angleterre coûte lui 400 Euros. Voyons ce qu’a donné la privatisation des autoroutes où l’on a vu flamber les tarifs et c’est toujours les catégories populaires de la population qui en payent le prix.

Selon le journaliste, il s’agit de la première grande apparition du président de l’UPR depuis le premier tour de l’élection présidentielle il lui demande alors si il s’agit du retour de François Asselineau.

François Asselineau rétorque que son parti a toujours été présent et n’a cessé de se développer depuis la présidentielle. Le nombre d’adhérents, plus de 30’500 aujourd’hui est en constante augmentation. L’UPR sera d’ailleurs présent aux prochaines élections européennes de 2019 qui occasionnera un réel débat sur l’appartenance de la France à l’Union européenne.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

 

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Politique : Les crimes de haute trahison et de complot contre la sûreté de l’État retirés de la constitution Française en catimini

L’incrimination de « complot contre la sûreté de l’État » a été retiré de la constitution de la République par la loi constitutionnelle numéro 93-952 du 27 juillet 1993, et dans la foulée de la ratification du traité de Maastricht.

Soit dit en passant, le crime de haute trahison – du président de la République- a été opportunément supprimé de la Constitution de la République française, article 68, par la loi n°2007-238 du 23 Février 2007, peu avant l’élection de Sarkozy.

Pendant qu’on y est, cet article 68 contenait une autre incrimination, elle aussi évacuée, depuis plus longtemps encore : le complot contre la sûreté de l’état, de la part de membres du gouvernement.

Faut-il maintenant s’attendre à une prochaine loi constitutionnelle qui supprimera de l’article 1er le mot « indivisible » ? Comme çà la boucle est bouclée et personne n’aura rien vu.

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François Asselineau : Un homme dit tout ce que tout le monde pense tout bas

Pour François Asselineau, Président de l’UPR, le but des euro-atlantistes est de fragmenter la France, de dissoudre l’État-nation, de diviser pour mieux régner, de nous lier pieds et poings afin de nous soumettre en esclavage au profit des oligarques et des marchés financiers.

Au fil des ans, depuis 2005 date du référendum où les français avaient refusé l’adhésion à l’espace économique européen et suite au mortifère traité de Lisbonne en 2007 où Sarcozy souttenu par le PS y avait fait entrer le pays  par la petite porte, la situation n’a cessé de se dégrader tout en faisant reculer la démocratie mettant en place une forme de dictature molle.

François Asselineau, candidat à la présidentielle de 2017 et seul parti prônant la sortie de l’Europe, de l’euro et de l’OTAN, systématiquement ostracisé par les grands médias aurait-eu-t-il raison ? Un retour en arrière est-il possible ?

Stéphane Guibert / Finalscape / VK / MondiAspora

Sur VK : François Asselineau : Un homme dit tout ce que tout le monde pense tout bas.

Entretien complet sur Youtube :

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Suisse : L’UPR, parti anti Europe, anti OTAN et anti Euro a le vent en poupe

Ce 28 février 2018, le quotidien de Suisse romande « Le Matin » – lu par plus de 270 000 personnes – a accordé un entretien sur 2 pages à François Asselineau.
Il est à noter qu’aucun média français n’a jamais égalé cette performance depuis la création de l’UPR, il y a 11 ans, même pendant la présidentielle.
Il est surement à considérer qu’il s’agit là d’un indicateur certain quant à la situation de la liberté d’opinion en France.
Nous invitons nos sympathisants et adhérents à partager cet article à leur connaissance et à remercier le journal pour leur souci du pluralisme et de la démocratie !

François Asselineau… Ce nom ne vous dit rien? Il s’agit de celui d’un ex- «petit» candidat de la dernière présidentielle française «en train de devenir grand» et qui cite souvent la Suisse en exemple.

Ce haut fonctionnaire de 60 ans avait fait le buzz pour avoir mouché Emmanuel Macron lors du grand débat en lui lançant: «Vous, de toute façon, vous êtes toujours d’accord avec tout le monde!» À l’époque, certains s’étaient moqués de son penchant à citer doctement les articles des traités européens.

Lequel se révèle au final plutôt efficace: bien que boudé des grands médias de son pays, l’Union Populaire Républicaine, le parti présidé par François Asselineau, connaît une croissance impressionnante ces derniers mois. Il vient de dépasser les 30 000 adhérents, ce qui en fait le cinquième parti de France.

Quant à son site Internet, il est le plus consulté des partis politiques français. Faut-il y voir la preuve que son programme mantra «Sortir de l’UE, de l’euro et de l’OTAN», préalable indispensable – d’après lui – à tout changement véritable, fait son chemin chez les Français? L’intéressé veut y croire. Entretien.

● Pourquoi vantez-vous si souvent la Suisse?

Car votre pays, qui est le plus démocratique qui soit et ouvert sur le monde, prouve que ne pas appartenir à l’UE n’est pas synonyme d’isolement. Les Suisses méritent l’admiration du monde. Ils ont refusé d’entrer dans l’UE et ce vote a été respecté, contrairement à ce que l’on a vécu en France après le vote sur la Constitution européenne de 2005 (ndlr: refusée à 55%). La Suisse cumule les succès. Les médias m’y semblent plus libres d’exprimer la diversité des opinions qu’en France. Le niveau et la qualité de vie y sont élevés. Votre pays figure d’ailleurs systématiquement sur le podium du classement de l’Indice de développement humain (IDH).

● Vos opposants ne partagent pas toujours cette analyse…

Des européistes, connaissant mal la Suisse, me rétorquent souvent avec mépris qu’elle ne vit que sur les banques. La réalité est que ce pays, contrairement au nôtre, soigne ses industries dans l’horlogerie, l’optique et la pharma notamment. Sans parler du tourisme et des services. Mieux encore: la Suisse, l’Islande et la Norvège, soit les trois pays d’Europe occidentale qui ont refusé d’intégrer l’UE, sont au sommet du classement IDH! La Suède, le Danemark et le Royaume-Uni, qui ont refusé l’euro, sont parmi les plus dynamiques économiquement de l’UE!

● La Suisse est liée à l’UE par des accords bilatéraux et les pressions européennes se renforcent. Serons-nous un jour contraints d’intégrer l’UE?

Les accords bilatéraux sont utiles, mais le peuple doit suivre de près ce qui en est fait car votre pays compte également des élites mondialisées qui veulent imposer l’Europe dans son dos. Il ne faudrait pas que la démocratique Suisse, poussée par un grand frère aux méthodes de voyou dont les dirigeants n’ont été élus par personne, se retrouve demain à devoir respecter les contraintes européennes sans participer aux décisions. Si j’étais Suisse, je serais donc très vigilant. La Suisse garde le pouvoir de faire prévaloir ses intérêts nationaux. La France, ligotée aux intérêts divergents des 27 autres membres de l’UE, ne le peut plus!

● Pour vous, réformer l’Europe est impossible. Pourquoi?

«L’autre Europe» revendiquée de toutes parts par les tartuffes, les incompétents ou les «idiots utiles» est irréaliste car modifier le moindre mot des traités européens exige l’unanimité des 28 membres et des 28 peuples dont les intérêts s’opposent dans tous les domaines. La France est par exemple contributrice nette (c.-à-d. qu’elle verse plus d’argent à l’UE qu’elle n’en reçoit) et souffre de la directive des travailleurs détachés. La Bulgarie, elle, en bénéficie et touche plus qu’elle ne verse. La seule solution raisonnable est de quitter l’UE comme l’a fait le grand peuple britannique en activant l’article 50. Je relève au passage que contrairement à ce qu’avaient claironné les prophètes de l’Apocalypse, le Royaume-Uni se porte bien. Le taux de chômage y est même à son plus bas depuis 1975 (4,2%)!

● À vous entendre, la Suisse ferait donc tout juste?

Non. Le fait qu’elle soit membre du Partenariat pour la paix, une structure otanienne dont le nom est digne de la novlangue de 1984, m’étonne. Si j’étais Suisse, j’en serais scandalisé. La Suisse agit ainsi en contradiction totale avec la neutralité qui fait sa force. Elle se retrouve embrigadée dans la géopolitique américaine de «choc des civilisations» ou à envoyer des soldats au Kosovo. C’est contraire à toute son histoire et à ses intérêts. Par contre, sa démocratie directe et notamment ses référendums populaires me semblent un exemple à suivre.

● Comme le prétendent le Prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz, ou l’historien Emmanuel Todd, pour vous aussi, l’euro est condamné. Pourquoi?

L’euro se porte très mal, notamment du fait des déficits italiens, mais les spécialistes le cachent au grand public. Il faudrait tout un article pour l’expliquer. Vincent Brousseau, notre spécialiste à l’UPR qui a travaillé 15 ans à la BCE, le fait très bien. Disons seulement que l’euro est une monnaie dont le taux de change vis-à-vis du dollar n’est pas assez cher pour l’économie allemande mais l’est trop pour la française et la plupart des autres de la zone. Ce qui y creuse le chômage et les déficits commerciaux. Résultat: la Bundesbank ne cesse d’accumuler des créances pourries sur le sud de l’Europe. Ces dernières dépassent désormais les 900 milliards. Quand la barre des 1000 sera franchie, les Allemands seront contraints de trancher sous peine de chuter comme en 1923. Comme Stiglitz, je suis convaincu que les premiers États partis s’en sortiront le mieux.

● Qu’impliquerait la fin de l’euro pour la Suisse?

Votre franc jouerait à plein son rôle de valeur refuge. Il hausserait fortement. Les importations deviendraient meilleur marché et les exportations en pâtiraient. Ça risquerait de secouer mais bien moins que dans l’UE. De toute façon, la réalité des faits ne nous laisse pas le choix: l’euro va s’effondrer et l’UE avec !

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Politique : Tous complotistes ?

À PARTAGER 

Bien que ne faisant pas de politique, je soutiens inconditionnellement François Asselineau qui se bat pour que le peuple de France retrouve son autonomie et qu’à terme il puisse reprendre son destin en main.

D’actes uniques en règlements, de règlements en directives, de directives en jurisprudence, la construction européenne se fait sans les peuples, elle se fait en catimini, elle se fait dans le secret des cabinets, dans la pénombre des commissions et dans le clair obscure des cours de justice.

Vous les peuples êtes évincés et destinés à devenir de la chair à canon, de la chair à produire, les esclaves modernes sans retour possible.

Réveillez-vous !

G.S

Ces extraits d’archives sont rarement relayés dans les médias car ils pourraient remettre en cause la stratégie politico-médiatique de la classe dirigeante de notre pays. Tenir ces propos aujourd’hui est considéré comme complotiste par l’inquisition médiatique :

Aujourd’hui, ces gens seraient tous des complotistes.

  • Charles de Gaulle, conférence de presse à l’Elysée le 15 mai 1962.
  • Philippe Seguin, Assemblée Nationale le 05 mai 1992.
  • Jacques Chirac, assises nationales RPR le 31 mars 1979.
  • Georges Marchais, Cartes sur table, émission du 21 janvier 1980.
  • Jean-Pierre Chevènement, Polémiques, émission du 05 mai 1996.
  • Marie-France Garaud, Ce Soir Ou Jamais, émission du 10 mai 2013.
  • François Mitterrand, texte Le Dernier Mitterrand de Geroges-Marc Benamou, 27/01/1997.

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