Traités européens :  On en voilait pas, ils nous ont été imposés et en sortir est impossible.

Traités européens :  On en voilait pas, ils nous ont été imposés et en sortir est impossible.

Politiquement parlant, l’Europe est une voie sans issue !

« Dans le cadre d’y voir claire même si il fait nuit »

Parmi les dix commandements de l’UE il est inscrit :

  • Manger des OGM tu devras !
  • Baisser ton salaire tu subiras !
  • Vendre ton patrimoine au plus offrant il sera !
  • Renoncer à ta culture et tes origines il t’en coûtera !
  • Retraité et misérable tu finiras !
  • Faire un trait sur ta souveraineté tu consentiras !

Et le plus beau reste à venir !

Stéphane Guibert / Finalscape

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L’arnaque de l’union européenne

L’arnaque de l’UE après la ratification du traité de Lisbonne par Nicolas Sarkozy en 2007

Et pour rappel :

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Crédit vidéo : La vrai démocratie >>>

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Manifestations en France : Les Gilets jaunes ne ciblent pas les bonnes personnes

Image : Ce sondage représentatif remonte à 2015. Il est clair qu’aujourd’hui le camp du « Non » a nettement progressé. (G.S)

UNION EUROPÉENNE

Une vidéo qui explique clairement d’où vient le problème en France

La vidéo est très claire et explicite. Elle explique à celles et ceux qui ne l’auraient pas encore compris que manifester contre les pantins qui sont au pouvoir ne sert strictement à rien car ils ne font qu’appliquer les directives de Bruxelles.

Ce qu’il faut aussi et surtout rappeler c’est que lors du référendum de 2005 où les français votèrent à plus de 54% contre l’adhésion du pays à l’EEE, deux ans plus tard, en 2007, Sarkozy ratifia le traité de Lisbonne ce qui par forfaiture fit intégrer  ou si vous préférer, avaler la France par l’Union européenne.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Ecologie : le gouvernement se moque t’il des français?

Ecologie: le gouvernement se moque t’il des français?

CETA, on ne peut pas faire une chose et son contraire.

François Asselineau qui n’est plus à présenter revient sur l’ambiguïté de la présence de Greta Thunberg et du vote favorable pour le CETA à l’Assemblée nationale le même jour.

En deux mots :

Entre l’Union Européenne et l’écologie, il faut choisir et selon François Asselineau, l’Union européenne a déjà ratifié le CETA qui est appliqué à 95% et le vote de l’Assemblée nationale ne fait que se conformer à la volonté de l’UE.

G.S / FINALSCAPE

Crédit vidéo : Sud radio >>>

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Pierre Hillard : Le divorce de la France avec l’Europe, l’euro et l’O.T.A.N

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Le divorce de la France avec l’Europe, l’euro et l’O.T.A.N

Docteur en science politique et (spécialiste du Mondialisme), monsieur Pierre HILLARD soutient officiellement le programme de François ASSELINEAU pour une libération nationale de la France en sortant de L’UE, de l’euro et de L’O.T.A.N.

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Suisse VS UE : L’Union européenne n’accorde pas l’équivalence boursière à la Suisse

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Le chantage ne prend pas, la guerre économique est déclarée entre l’ue et la Suisse !

L’Union européenne ne reconduira pas l’équivalence boursière, temporairement accordée à la Suisse jusqu’à fin juin. Le conseiller fédéral Ignazio Cassis a confirmé cette décision jeudi à la radio alémanique SRF. La Confédération a mis en place des rétorsions.

Les banques et les intermédiaires financiers basés dans l’Union européenne ne pourront plus traiter directement des actions cotées sur les Bourses suisses à partir du 1er juillet, alors qu’ils génèrent plus de la moitié des échanges sur les marchés d’actions helvétiques.

En réponse, le Département fédéral des finances (DFF) a annoncé jeudi soir l’activation de la mesure visant à protéger l’infrastructure boursière suisse, en raison de l’absence de prolongation d’équivalence de la part de l’Union européenne (UE).

Les plates-formes de négociation ayant leur siège dans l’UE se voient ainsi interdire « de proposer ou de permettre la négociation de certains titres de participation de sociétés ayant leur siège en Suisse », et ce à dater de lundi (1er juillet) prochain.

« La mise en œuvre de la mesure sera accompagnée et surveillée de près par les autorités suisses », prévient le DFF.

Une solution temporaire ?

Ignazio Cassis a indiqué espérer que ces mesures ne seront qu’une solution temporaire. Le chef du Département des affaires étrangères parle d’un malentendu, l’Union européenne accusant la Suisse de jouer la montre. « Nous ne pouvons pas simplement décider au Conseil fédéral et dire ‘c’est comme ça et pas autrement' », a ajouté le Tessinois à la radio SRF.

Bruxelles pose comme condition à la prolongation de l’équivalence des progrès dans les discussions sur l’accord-cadre plus large entre l’UE et la Suisse, qui n’a pas encore été entériné par Berne.

>> L’analyse: « la fin de l’équivalence boursière est un cap sérieux. Une période glaciaire s’est ouverte aujourd’hui »

Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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Suisse-UE: le Conseil fédéral refuse de signer l’accord-cadre et demande des précisions à Bruxelles

Bilatérales : Les relations entre la Suisse et l’Union européenne (UE) restent dans l’impasse. Le Conseil fédéral refuse de signer l’accord-cadre négocié en l’état. Il veut le soutien de la population, donc une votation populaire, pour le faire.

L’avenir des relations entre la Suisse et l’UE reste incertain. A l’issue de la consultation nationale, le Conseil fédéral renonce à signer dans l’immédiat le projet d’accord-cadre négocié. Il veut d’abord demander des précisions à Bruxelles.

Le gouvernement maintient son « appréciation globalement positive » du projet d’accord, mais il veut tenir compte de trois préoccupations des acteurs politiques et économiques suisses. Elles concernent les aides d’Etats, la protection des salaires et la directive sur la citoyenneté européenne qui élargit l’accès aux prestations sociales.

Dans une lettre adressée au président de la Commission européenne Jean-ClaudeJuncker, le gouvernement insiste sur sa volonté de consolider et développer les relations bilatérales, mais il relève qu’il doit avoir le soutien de la population. Or, une votation sur l’accord-cadre est quasi certaine.

Voter sur la libre-circulation

Le gouvernement met aussi en avant ses prochaines échéances, en particulier la votation sur l’initiative de l’UDC pour résilier la libre circulation des personnes qui n’aura pas lieu avant 2020. Vendredi, il a d’ailleurs transmis au Parlement le message appelant à rejeter un texte remettrait en cause la voie bilatérale.

En attendant, le Conseil fédéral se dit prêt à « engager le dialogue avec la Commission européenne ». Avant de transmettre l’accord institutionnel au Parlement, il estime nécessaire de clarifier que les dispositions sur les aides d’Etat n’auront pas d’effet sur l’accord de libre-échange de 1972 et d’apporter « une sécurité juridique sur le niveau de protection des salaires suisses ».

Enfin, la Suisse précise qu’une éventuelle reprise de la directive sur la citoyenneté européenne ne pourra se faire qu’au moyen de négociations entre les parties. Aucune disposition de l’accord institutionnel ne pourra être interprétée comme une obligation pour la Suisse de reprendre ladite directive et ses développements.

Les discussions avec Bruxelles seront délicates. L’UE qui réclame depuis dix ans ce texte afin de garantir une meilleure harmonisation des droits suisse et européen a exclu toute renégociation. De nouvelles négociations institutionnelles ne sont pas exclues, mais elles ne pourraient avoir lieu avant 2020 et rien ne garantit que l’UE se fonderait sur l’actuel projet d’accord. M. Juncker quittera en outre ses fonction fin octobre.

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SUISSE VS UE : Pierre-Yves Maillard, le nouvel eurosceptique

L’europhile de jadis ne cache plus son opposition à une UE devenue trop néolibérale à son goût. Mais c’est sur lui que reposent tous les espoirs des milieux patronaux pour sauver la voie bilatérale avec l’UE.

C’est ce vendredi 7 juin en principe que le Conseil fédéral devrait prendre position sur l’accord institutionnel avec l’UE. Avant cette décision, on ne parle pourtant que d’un autre acteur: Pierre-Yves Maillard. Mercredi soir sur le plateau d’Infrarouge de la RTS, le nouveau président de l’Union syndicale suisse (USS) s’est affiché aux côtés de la vice-présidente europhobe de l’UDC Céline Amaudruz. L’ancien conseiller d’Etat vaudois, pro-européen convaincu dans les années 1990, a-t-il viré de bord? Ou son opposition intransigeante à l’accord-cadre ne constitue-t-elle qu’une posture ponctuelle?

Crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

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La Suisse bientôt une province européenne ?

« Avec le Brexit, on voit concrètement comme ça se passe quand un pays n’est pas d’accord avec l’Union européenne, » selon Céline Amaudruz. La vice-présidente de l’UDC et conseillère nationale met en garde contre une signature « alors qu’on ne peut pas négocier » avec l’UE.

Secouée par le Brexit, défiée par la montée des souverainismes, l’Union européenne est plus mouvante que jamais. C’est dans ce contexte que la Suisse doit se déterminer sur l’avenir de sa relation avec Bruxelles.

C’est tout l’enjeu de l’accord global qu’exige l’Europe pour pérenniser nos rapports. Un contrat qui fait peur en Suisse, à gauche comme à droite.

Alors que faire? Signer? Renégocier? Résister?

L’émission complète >>>

Source et crédit vidéo : Radio Télévision Suisse

Voici un avis que je partage à 100%

Tant que l’EU aura cette attitude intolérable de donneuse de leçon, on ne négocie pas car négocier ce n”est pas se soumettre, c’est s’écouter, partager et surtout se respecter.
Actuellement l’EU veut nous mettre sous sa tutelle, on l’a vu avec la Bourse, avec son intolérable attitude à nous imposer sa Loi sur les armes, sur les échanges d’étudiants, etc…..
Collaborer oui mais pas se soumettre.
JAMAIS!

Stéphane Guibert / Finalscape

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Se rebeller contre un gouvernement qui dépend d’une autorité supranationale, quelle perte de temps et d’énergie !

Les Français représentés par le mouvement des Gilets jaunes ne cessent de scander au fil de leurs actes des slogans « anti Macron » mais est-il nécessaire de rappeler que depuis la forfaiture de 2007 ou fut ratifié par Nicolas Sarkozy avec la complicité du PS. alors dirigé par François Hollande le mortifère traité de Lisbonne, le gouvernement doit se plier aux ordres de l’empire ?

Le slogan « Macron dégage » doit en faire rire plus d’un dans l’enceinte des hémicycles bruxelloises. Pendant qu’en France la police casse du manifestant se goupillent dans les couloirs obscures du parlement européen des lois liberticides et permissives qui ne profitent qu’à celles et ceux qui ont conçu ce système mortifère.

Les Français ont la mémoire courte ; alors pour rappel, quelques vidéos qui remettront les pendules à l’heure :

Le 29 mai 2005, les Français votent à 55% contre le Traité de Constitution européenne.

Placés sous les projecteurs, les tenants du «oui» ont été soutenus par une presse largement acquise au traité, tandis que les tenants du «non» ont été mis à l’écart des plateaux de télévision et des tribunes des journaux.

Malgré cette campagne médiatique partisane, le «non» l’emporte, et les Français sont traités de «populistes».

Trois ans plus tard, faisant fi du vote populaire, Nicolas Sarkozy modifie la Constitution et fait voter la loi qui permet de ratifier le Traité de Lisbonne, copie conforme de la Constitution européenne rejetée lors du référendum. Un déni de démocratie qui marque d’une rupture entre les Français et les élites politiques et médiatiques.

Forfaiture par le biais du mortifère traité de Lisbonne en 2009 !

Le traité de Lisbonne régit actuellement le fonctionnement de l’Union européenne. Adopté en 2009 après le rejet du traité établissant une constitution pour l’Europe (TECE), il adapte en profondeur les règles des anciens traités pour permettre une meilleure coordination à 27 Etats membres (aujourd’hui 28). Ainsi, le traité de Lisbonne rénove l’architecture des institutions, assouplit la prise de décision et renforce la représentation extérieure de l’Union.

Jacques Chirac qui en 1979 dénonçait une construction Européenne de l’impuissance, une Europe ouverte à toutes les crises du monde, une Europe non Européenne et dominée par des intérêts Germano-américains, une Europe du chômage importé, une Europe mollusque, sans corps et sans dessein véritable, une Europe ou les multinationales dictent leurs lois aux états et qui retourna sa chemise comme une crêpe avant le référendum de 2005.

Mise en ligne : Stéphane Guibert pour Finalscape

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