Mon cœur, c’est droit vers la Russie ; qu’il s’envole et c’est sans appel !
On c’est foutu de leur gueule en les traitant de « Russkoffs » on les a humilié, on les a rabaissé et pourtant ils ont plus de mille ans d’histoire à nous enseigner.
Les « Ruskoffs » comme vous le dites en occident sont tout simplement et tout bonnement le peuple qui vous a permis de vous construire une histoire. Une simple recherche sur google vous le démontrera bandes d’ignares !
Idées reçues et idées préconçues, comme les gens peuvent être crédules ! Il y a clairement des cadavres dans les placards en Russie mais regardez-vous dans un miroir avant de juger de l’occident !
Ils n’ont pas forcément été tout « clean » à Moscou mais qui peut se venter de l’avoir été ? Il faudrait peut-être arrêter vos conneries et surtout vos mensonges en occident !
Mon cœur est Slave, il appartient à cette culture ancestrale issue des pays de l’est et je vous aime infiniment toutes et tous.
À vous, peuples de l’est !
Merci de m’accueillir et tu peux y aller que je te déclare ma flamme !
Des steppes à la toundra, je suis conquis et amoureux !
Un peuple accueillant des régions fantastiques, des paysages de toute beauté, c’est presque le paradis sur terre.
La Russie, c’est des millénaires d’histoire, de culture et un sacré enseignement que nous devons en tirer.
J’ai une âme slave qui depuis la nuit des temps n’a de cesses que d’aimer ce pays dans lequel je finirai mes jours, j’en suis persuadé.
La beauté de ses pleines et dans un cœur d’oiseau, le survol de ses vallons.
Que Dieu bénisse la Russie.
Steppe, c’est aussi la musique d’un compositeur Français, René Aubry qui doit avoir une approche plus ou moins similaire à la mienne concernant ce pays.
Si vous ne le connaissez pas, je vous invite à le découvrir en l’écoutant.
Merci au label : « Ici D’ailleurs » pour son aimable autorisation.
Many thanks to the label « Ici D’ailleurs » for the kindly permission.
La Russie préfère «maman» : Poutine rejette l’emploi des termes «parent 1» et «parent 2» et c’est tant mieux !
Merci à RT pour le partage (G.S)
Vladimir Poutine a commenté le remplacement des termes «père» et «mère» par «parent 1 et 2», phénomène observé dans certains pays occidentaux, et a dit espérer que cela n’arriverait jamais dans son pays. Lors d’une discussion sur l’identité nationale russe, le président Vladimir Poutine a fermement rejeté l’idée de remplacer les rapports de filiation traditionnels par des catégories plus «progressistes», utilisées par certaines administrations en Occident, notamment en France. «Dans certains pays, ils [les mots « père » et « mère »] ont été remplacés par « parent numéro un » et « parent numéro deux ». J’espère que cela ne se produira jamais ici», a déclaré le 29 novembre le chef d’Etat russe lors d’une réunion du Conseil pour les relations interethniques, organe consultatif du Kremlin.
« Nous pouvons affirmer avec certitude que plusieurs centres de Casques Blancs étaient contrôlés par des groupuscules terroristes ou des formations militaires illégales. »
À l’ambassade de la fédération de Russie à Paris, TV Liberté interviewait le directeur de l’ONG « Fondation des études de la démocratie » et membre de la chambre civile de la fédération de Russie, Maxime Grigoriev dans le cadre d’une conférence sur le thème : « Crise humanitaire en Syrie, vérité et désinformation« .
Stéphane Guibert / Finalscape
Voir aussi :
Témoignages à l’Onu sur les Casques blancs : « Trafiquants d’organes, terroristes & pillards »
Les ‘Casques blancs’ n’étant pas un groupe de secouristes, mais une branche du terrorisme djihadiste, ils devraient être qualifiés d’organisation terroriste, a plaidé l’envoyé russe, lors de la présentation des témoignages sur leurs méfaits à l’ONU.
Encensés en Occident, qualifiés de secouristes humanitaires volontaires, les Casques blancs collaborent en réalité avec le terrorisme islamiste en Syrie. D’après Maxime Grigoriev, directeur de la fondation russe pour l’étude de la démocratie, les Casques blancs prélèvent des organes sur les victimes qu’ils prétendent ‘sauver’, mettent en scène de fausses attaques chimiques et autres sous l’œil des caméras, et pillent les corps et les maisons des Syriens tués et blessés dans la guerre.
En 2018, au siège de l’ONU à New York, Grigoriev a présenté les résultats de l’enquête de la fondation sur les Casques blancs. L’envoyé russe auprès de l’ONU, Vassily Nebenzia, a déclaré que les preuves montrent la dangerosité de ce groupe.
« Les Casques blancs méritent de figurer sur la liste des terroristes reconnus par les Nations Unies, » a déclaré Nebenzia.
Au lieu de volontaires, presque tous les membres des Casques blancs étaient des employés rémunérés, a expliqué Grigoriev. Il y a aussi ‘des preuves indéniables’ montrant que le groupe recevait des ordres écrits de Jaysh al-Islam, le groupe terroriste islamiste le plus malfamé pour son occupation de Douma.
C’est dans cette banlieue de Damas que les Casques blancs ont mis en scène l’attaque chimique ayant servi de prétexte aux tirs de missiles français, britanniques et étasuniens contre le gouvernement syrien en avril dernier.
« La parodie d’attaques chimiques était l’élément essentiel de l’activité des Casques blancs, a témoigné Grigoriev. Il a ajouté que le groupe s’impliquait aussi régulièrement dans « la fabrication de fausses informations et dans l’organisation de mises en scène de sauvetages. »
Il a cité un exemple précis qui s’est passé dans un lieu d’Alep appelé Jisr al-Haj, où les militants ont mis le feu à des ordures, apporté des corps de la morgue locale et filmée une mise en scène de sauvetage des Casques blancs. Grigoriev a cité un membre des Casques blancs, qui a témoigné que tous ceux qui participaient recevaient une prime de 50 dollars.
Interrogés dans le cadre de l’enquête, de nombreux résidents locaux ont parlé de personnes ‘secourues’ par les Casques blancs qui finissaient par mourir, avec des organes internes manquant. Parmi les témoins interrogés, un ancien membre d’Ahrar al-Sham a dit que son commandant, Shadi Kadik, aussi connu sous le nom d’Abou Adel Al-Halabi (d’Alep), avait reconnu l’existence de prélèvements d’organes. À Alep seulement, le nombre total de ces cas se monte à « au moins plusieurs centaines », a témoigné Grigoriev.
Au lieu de porter secours aux civils et aux enfants, les Casques blancs pillaient les maisons endommagées par les combats et le corps des morts. Ils obligeaient les enfants à sortir des écoles et des jardins d’enfants pour y installer des cabinets médicaux.
« Selon une grossière estimation, sur 26 centres opérant à la Ghouta orientale, dix se trouvaient dans des écoles et un dans un jardin d’enfants, » a dit Grigoriev en citant le témoignage d’un journaliste syrien de la région.
Le traitement de l’explosion meurtrière, survenue le 8 août dans une base russe du Grand Nord, semble poser des difficultés à certains médias. BFMTV a par exemple confondu ce drame avec une autre explosion survenue en Sibérie quelques jours plus tôt.
Voilà plusieurs année que je publie et partage sur les réseaux sociaux. Je voulais, par le biais de ce modeste billet, remercier VK et la Russie pays auquel ce réseau social est rattaché.
Ce sont des centaines de vidéos (jamais censurées), des centaines d’articles que cette plateforme me permet de partager, c’est également mon amour inconditionnel dédié à ce pays et que je peux sans aucun complexe dévoiler.
Alors que l’occident s’affaire par des moyens propagandistes, mensongers et peu scrupuleux de traîner la Russie dans la boue en la qualifiant de dictature, (mais de qui se moque-t-on ?) le peuple Russe vote haut la main pour un président, Vladimir Poutine et ce, alors qu’en Europe et en France tout particulièrement, les démêlés électoraux demeurent troubles et confus.
Je ne partagerai pas ce post sur Facebook car il est sujet à censure mais croyez-moi si je vous dit mon amour pour ce grand et puissant pays qu’est la Russie.
Merci donc à VK pour ses bons et loyaux services et merci à la Russie pour sa beauté et sa culture ancestrale.
Le 27 juin, la Russie a été touchée par de fortes inondations dans la région d’Irkoutsk, aux alentours du lac Baïkal. Au moins sept personnes sont mortes et neuf sont portées disparues, dont un enfant, l’état d’urgence a été déclaré dans cette région.
Russie: 12 morts, neuf disparus après des inondations dans la région du lac Baïkal
Douze personnes sont mortes et neuf sont portées disparues après des inondations dans la région russe d’Irkoutsk, proche du lac Baïkal, ont annoncé ce lundi les autorités russes.
«A l’heure actuelle, selon les données du ministère de l’Intérieur, 12 personnes sont mortes et environ neuf ont disparu», a déclaré le vice-premier ministre russe Vitali Moutko au cours d’une réunion avec le premier ministre, Dmitri Medvedev. Selon Vitali Moutko, 751 personnes ont été blessées et 153 hospitalisées après ces inondations. «Ces chiffres changent constamment», a-t-il ajouté, précisant que quatre hameaux étaient toujours totalement coupés du monde mais que les services de secours avaient pu y acheminer des couvertures de survie et de la nourriture. De fortes pluies se sont abattues sans discontinuer la semaine dernière sur la région d’Irkoutsk, un territoire de Sibérie bordé notamment par le lac Baïkal. Les intempéries ont fait déborder le lac et provoqué la crue de la plus grande rivière de la région, l’Angara.
De retour du sommet du G20 à Osaka (Japon), le président russe Vladimir Poutine a fait étape dans la région et visité les zones sinistrées samedi, appelant les autorités locales et les services de secours à tout faire pour reloger rapidement les sinistrés. Selon les services d’urgence de la région, cités par l’agence de presse Ria Novosti, 6.700 logements dans lesquels vivent environ 32.700 personnes ont été inondés.
L’eau a commencé à descendre mais de nouvelles chutes de pluie sont attendues à partir du 6 juillet, a précisé Vitali Moutko.
La Russie mise au ban et privée du droit à la libre expression ?
Couvrant la mobilisation des Gilets jaunes le 25 mai dernier, un reporter de RT France avait été frappé à coups de matraque par un policier. Le ministère russe des Affaires étrangères appelle les autorités françaises à respecter les journalistes.
Le ministère russe des Affaires étrangères est revenu ce 5 juin sur le cas du journaliste web de RT France Frédéric Aigouy, matraqué par les forces de l’ordre le 25 mai dernier alors qu’il couvrait une manifestation de Gilets jaunes dans la ville de Toulouse.
«Nous sommes dans l’ensemble préoccupés par les cas de plus en plus fréquents de violence policière en France contre les journalistes au cours des actions de protestation», a déploré Maria Zakharova, porte-parole du ministère. «Nous tenons à souligner que, dans tous les cas, les victimes portaient les brassards « presse » des journalistes», a-t-elle rappelé, citée par RIA Novosti. Et de poursuivre, jugeant «inacceptables» les situations dans lesquelles des journalistes sont pris pour cibles : «Nous appelons les autorités françaises à prendre des mesures pour garantir une protection supplémentaire des représentants des médias qui couvrent ces manifestations.»
Maria Zakharova a en outre affirmé la volonté de Moscou de suivre ce dossier. «Nous attendons des informations officielles de la part des autorités françaises», a-t-elle encore noté.
Lors de l’acte 28 des Gilets jaunes, un journaliste du site web de RT France a été témoin d’une interpellation sur le boulevard Lazare Carnot. Positionné sur le trottoir, notre reporter était en train de filmer la scène quand il a été chargé par un membre des forces de l’ordre, probablement un commissaire divisionnaire. Ce dernier lui a asséné des coups de matraque au niveau des jambes.
Une vidéo démontre que notre journaliste s’est signalé en tant que tel, en répétant au policier : «Presse ! Presse !»
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