Economie : Dix ans après la crise, où en est la Grèce ?

Economie : Dix ans après la crise, où en est la Grèce ?

Olivier Delamarche, économiste et chroniqueur sur la chaîne Russe : « RT » nous met les points sur les « I »

La faute à l’euro !

Il y a 10 ans, le 14 janvier 2010, en Grèce, Georges Papandréou, premier ministre de l’époque annonçait un plan d’austérité…

Prémices d’une crise grave pour le pays. Le ministère grec des Finances estime aujourd’hui que le taux de chômage pourrait reculer à 15,6% l’année prochaine contre 17,4% cette année. Si ces indicateurs sont encourageants, peut-on dire que la situation économique de la Grèce s’est amélioré depuis 2010 ? Dans quelle situation le pays se trouve-t-il et quel est désormais sa place dans l’Union Européenne ?

Voici les questions qui vont nous occuper dans cette émission. Pour en parler, Estelle Farge et Olivier Delamarche reçoivent Nathalie Janson, économiste, spécialiste de la crise grecque.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Stéphanie Gibaud : La traque des lanceurs d’alerte

Stéphanie Gibaud : « La traque des lanceurs d’alerte »

Stéphanie de Muru reçoit la lanceuse d’alerte Stéphanie Gibaud.

Rappel (2017) :

Il faut absolument et sans réserve  être solidaire et remercier ces lanceurs d’alerte qui, souvent, au péril de leur vie, nous informent et font contrepoids au système médiatique mainstream corrompu. (ndlr.)

En dénonçant les malversations orchestrées par la banque suisse UBS, elle a permis à la France de récupérer 12 milliards d’euros et de mettre la main sur 38 000 comptes offshore. Stéphanie Gibaud sort un livre, « La traque des lanceurs d’alerte » aux (éditions Max Milo), dans lequel elle raconte la vie de 50 lanceurs d’alerte, français et étrangers, qui, comme elle, subissent dans leur vie quotidienne les conséquences de leurs révélations.

Portes qui se ferment, inscription à Pôle emploi, téléphone désespérément muet, familles et amis qui leur tournent le dos… Les lanceurs d’alerte subissent tous les mêmes contrecoups de leur acte civique.

Aujourd’hui Stéphanie Gibaud n’a plus d’emploi et vit avec le RSA.

Message de Stéphanie Gibaud : « A tous ceux qui se mobilisent pour Assange et les lanceurs d alerte, petit rappel : »

Source et Crédit Vidéo : RT France

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Frédéric Taddéï : « Il n’y a pas de vrai débat à la télévision française et ça n’a l’air de gêner aucun journaliste »

Source de l’image

Frédéric Taddéï : « Il n’y a pas de vrai débat à la télévision française et ça n’a l’air de gêner aucun journaliste »

Le journaliste Frédéric Taddéï anime l’émission « Interdit d’interdire » sur la chaîne Russe RT.

Frédéric Taddeï anima pendant des années Ce soir ou jamais sur France Télévisions en plus des débats et interviews du soir sur Europe 1. La radio, il continue. Mais de place à la télé, il n’en a plus, la faute à sa liberté de ton.

Il est interviewé sur France Inter par une journaliste déchaînée peu de temps avant le lancement de son émission « Interdit d’interdire » sur le média Russe : RT.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape (novembre 2019)

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Gilets jaunes : La liberté d’expression matraquée

Ce n’est plus un secret en France ; la liberté d’expression n’a plus droit au chapitre et à plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un média Russe.

Un journaliste de RT France, Frédéric Aigouy victime d’une intervention de la police lors de l’acte 46 à Toulouse.

Vidéo :

Frédéric Aigouy, journaliste du site web de RT France, a été pris pour cible par deux policiers alors qu’il filmait une opération de dispersion lors de la manifestation des Gilets jaunes.

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Ecologie : Quand l’hôpital se fout de la charité !

Arrêté anti-pesticides suspendu par la justice : le maire de Langouët s’exprime sur RT France

Le tribunal administratif de Rennes a ordonné, le 27 août, la suspension de l’arrêté pris par le maire de Langouët (Ille-et-Villaine), Daniel Cueff, visant à interdire l’épandage de pesticides à moins de 150 mètres des habitations et locaux professionnels de sa commune. Suite à sa décision, l’élu avait reçu de nombreux soutiens politiques, dont celui, un peu gêné, d’Emmanuel Macron. Interrogé par RT France, il avoue ne plus comprendre «grand-chose à la politique gouvernementale». Il estime avoir exercé le droit à la protection garanti par la Constitution.

Crédit vidéo : RT France

 

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Gilets jaunes : L’homme qui aurait été étranglé par un agent de la BAC à Nantes livre sa version des faits

L’individu dont l’interpellation violente à Nantes avait suscité l’indignation, a été retrouvé. Bruno Kaïk, 51 ans, témoigne de son hospitalisation après avoir été retrouvé inconscient sur la voie publique. Sa version contredit celle de la police.

On peut désormais mettre un nom sur le visage de cet homme, maintenu au sol par un agent de la BAC qui le tient par le cou sur un cliché pris le 3 août, en marge d’une manifestation contre les violences policières organisée à Nantes, après la mort de Steve Maia Caniço le soir de la fête de la musique. Bruno Kaïk, 51 ans, traducteur de langue anglaise et habitant de La Rochelle a en effet livré son témoignage au site CheckNews de Libération, qui a pu le retrouver.

Contacté par la cellule du quotidien, le Service d’information et de communication de la police (Sicop) avait affirmé, le 5 août, que Bruno Kaïk avait «jeté une bouteille en verre contre un policier». Un acte que reconnait le principal intéressé. «J’ai jeté cette bouteille en verre vide, alors que j’étais à une trentaine de mètres des policiers, dans leur direction. Effectivement, elle a éclaté devant les policiers, à quelques mètres d’eux, mais c’était plus symbolique qu’autre chose. Il n’y avait aucune intention de blesser. Dans tous les cas, leur réaction a été complètement disproportionnée», explique-t-il à CheckNews.

Lire aussi : Nantes : manifestation en hommage à Steve et contre les violences policières

Bruno Kaïk «violemment strangulé jusqu’à l’étouffement» ?

Mais surtout, il conteste la version du Sicop selon laquelle son hospitalisation après l’interpellation serait due au fait «qu’il était incommodé par les gaz lacrymogènes». «A l’abri des camions, où j’ai été traîné ensuite, j’ai reçu d’autres coups. J’ai été violemment strangulé jusqu’à l’étouffement par un membre de la BAC. Avant de m’évanouir et de rester inconscient pendant plusieurs minutes», réplique Bruno Kaïk, toujours auprès de Libération. C’est d’après lui la violence des agents de la brigade qui aurait conduit à sa prise en charge par les pompiers.

Après son interpellation filmée dans un contexte tendu, une autre vidéo montre Bruno Kaïk suffoquer, menotté, au pied d’un agent.

Hospitalisé au CHU de Nantes pendant plusieurs heures, le quinquagénaire a transmis au site du quotidien son rapport d’observation médical dans lequel il est fait état que celui-ci a été retrouvé «inconscient sur la voie publique», ce qui l’a conduit à être «amené par les pompiers en urgence». Autre point de divergence, donc, puisque les forces de l’ordre affirmaient l’avoir amené elles-mêmes à l’hôpital.

Le document précise par ailleurs l’absence de «prise de toxiques» pouvant être à l’origine de sa perte de connaissance. Bruno Kaïk confirme : «Ce qui a conduit à mon inconscience, ce sont bel et bien les maltraitances policières».

Bruno Kaïk rapporte à CheckNews vouloir porter plainte contre «toute la chaîne de commandement, de l’officier de la BAC jusqu’au président de la République, qui est le chef des armées et a autorisé ces dérives».

Si l’AFP, de son côté, avait noté, citant le Sicop, que le certificat médical produit mentionnait «0 jour d’ITT», l’interpellé explique au quotidien : «Je ne suis pas salarié, je n’ai donc pas demandé d’arrêt de travail.» Ce père de famille se définit comme «fervent adepte de la non-technologie», assurant qu’il n’avait pris part à aucune manifestation des Gilets Jaunes. «Je suis en train de devenir une figure de la contestation, mais ce n’était pas du tout l’objectif», conclut-il, toujours auprès de CheckNews.

Après plusieurs heures d’hospitalisation, Bruno Kaïk a ensuite été placé en garde à vue durant 24 heures, puis relâché. Une enquête préliminaire se poursuit.

Source & Crédit vidéo : RT France

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Paris donne des leçons à Moscou sur la manière de gérer les manifestations. C’est l’hôpital qui se fout de la charité

Les différentes armes de maintien de l’ordre à travers le monde : qui utilise quoi ?

Paris a fait part de sa «préoccupation» après l’interpellation d’environ 800 personnes à Moscou lors d’une manifestation non-autorisée le 3 août dernier et demande la libération immédiate des personnes incarcérées. Mais Moscou, faisant référence à la crise des Gilets jaunes et ses nombreux blessés, considère que Paris devrait «balayer devant sa porte».

Plus de détails avec Kyrill Kotikov.

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Irak, Libye, Syrie & Iran : La vérité

Caroline Galactéros était sur le plateau de l’émission « Interdit d’interdire« .

« C’est très facile d’aller dire que Bachar el-Assad a 400’000 morts sur la conscience, nous aussi ! Nous avons armé, soutenu, entraîné, formé toutes ces espèces de milices qui sont des succésdanés de ce qu’il y a de pire, des gens qui ont fait s’effondrer les tours du World Trade Center tout ça ! On a la mémoire extrêmement courte (…) »

Crédit vidéo : RT Ftance >>>

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