Quand la France abattait un avion italien pensant qu’il transportait Kadhafi

Cette affaire démontre à quel point les Occidentaux voyous sont stupides, tellement arrogants qu’ils pensent qu’un tel crime ne sera jamais découvert. Il est vrai qu’ils prendront des précautions : assassiner tous les témoins un à un. Après les 82 passagers, une demi douzaine d’autres cadavres n’empêcheront pas de dormir les politiciens au pouvoir et certainement pas le commandement de l’OTAN. Sans oublier les dissimulations, censures, mensonges, tromperies des autorités concernant les faits et le déroulé de l’enquête, totalement dirigée par les criminels commanditaires de l’assassinat de Kadhafi.

Malgré toutes ces preuves et ces affaires gravissimes, il y aura toujours des naïfs et des imbéciles pour continuer à croire aux versions officielles comme si ces massacres n’avaient jamais eu lieu ! Comme si ces expériences historiques capitales n’avaient servi absolument à rien…

Tragédie d’Ustica : la revanche posthume de Kadhafi 


La sombre histoire du vol Itavia 870, 82 passagers, abattus en plein vol en 1980 par des chasseurs français qui l’ont confondu avec l’avion de Kadhafi…
Dans la nuit du 27 juin 1980, le vol Itavia 870 (un DC 9 immatriculé I-TIGI) a décollé de Bologne en Italie à destination de Palerme en Sicile. Il transportait 77 passagers, 2 pilotes et 2 membres de personnel de cabine. Les passagers comprenaient 64 adultes, 11 enfants âgés de 2 à 11 ans, et deux enfants de moins de deux ans.
Comme à son habitude, le vol Itavia 870 a mis le cap sur la côte sud de l’Italie. À 20h59, il a brutalement disparu des écrans-radar des contrôleurs aériens italiens. L’équipage n’avait signalé aucun problème technique ou une quelconque situation d’urgence.
À un moment donné l’avion était là, la seconde d’après il avait disparu. les 81 passagers sont morts et les débris de l’appareil ont sombré en mer.
De prime abord, les circonstances de sa disparition semblaient inexplicables.

Le vol s’est parfaitement déroulé jusqu’à ce que l’avion explose sans faire aucun survivant. Interrogées par les médias, les autorités italiennes ont d’abord laissé entendre que le vol 870 aurait pu être victime d’un attentat terroriste. Plausible dans un premier temps, cette thèse a vite été abandonnée en l’absence de toute revendication d’un possible attentat.

Les médias sont donc retournés aux nouvelles. Comme s’ils avaient reçu des consignes du sommet de l’État, les autorités se sont tues et aucune information complémentaire officielle n’a pu être obtenue sur l’affaire. Bien entendu, cela a aiguisé la curiosité de la presse et alimenté ses soupçons selon lesquels, la réalité devait être tenue secrète. Des soupçons qui n’ont pas tardé à se confirmer lorsque toutes les portes se sont refermées les unes après les autres, plus personne ne souhaitant évoquer la question.
Plus troublant encore, les enregistrements des données radar ont disparu ou ont été détruits.
D’autres informations techniques manquaient également ou étaient devenues soudainement inaccessibles. Plus effrayant encore, des témoins-clé ont commencé à décéder dans d’étranges circonstances : d’accidents de circulation, de suicides ou encore de crises cardiaques. Il s’en est suivi une décennie de dissimulation de la part des instances supérieures d’au moins 3 gouvernements. Une dissimulation qui perdure aujourd’hui… Bref, tous les ingrédients d’un scénario hollywoodien à ceci près qu’il ne s’agit pas d’une fiction mais de la réalité.
De l’obscurité à la lumière
L’histoire du vol Itavia 870 est une longue succession de maladresses, d’erreurs, de dissimulations ayant impliqué, d’une part, 3 gouvernements, et d’autre part, un gouvernement qui leur était hostile, celui du dictateur libyen Muammar Kadhafi. Dans une large mesure, les détails de ce qui s’est passé cette nuit là demeurent mystérieux. Toutefois, des éléments de preuve sont apparus récemment qui apportent des éclaircissements sur ce secret longuement gardé. La chute du gouvernement Kadhafi en 2011 a permis d’entre-ouvrir les archives secrètes de l’Etat libyen. Là, parmi les innombrables projets terroristes, les accords internationaux et les terribles malentendus diplomatiques, on a retrouvé des informations détaillées sur la nuit du 27 juin 1980.
Les raisons de l’attaque
En 1980, la communauté internationale était mobilisée contre un gouvernement qui devenait de plus en plus agressif, sous la direction du colonel Muammar Kadhafi. Aux USA, l’administration Carter était engagée dans la course présidentielle contre Ronald Reagan, ex-acteur et ancien gouverneur de Californie. En Europe, l’OTAN était largement absorbée par la guerre froide. L’Union Soviétique venait d’envahir l’Afghanistan. Le monde semblait sur le point d’entrer en conflit.
Pour toutes ces nations, la Libye devenait un problème de plus en plus inquiétant en Méditerranée. Les forces de Kadhafi s’employaient de plus en plus activement à déstabiliser les gouvernements de la région, y compris certaines anciennes colonies françaises en Afrique du Nord. Aux yeux du gouvernement français, il était temps d’éliminer le problème Kadhafi.
Un assassinat de portée internationale
Si l’on en croit les documents découverts en Libye, l’opportunité d’assassiner Kadhafi s’est présentée dans la nuit du 27 juin 1980 alors qu’il traversait la Méditerranée en provenance d’Europe pour regagner son pays à bord de son Tupolev. Une paire de Mirages français avait été mobilisée pour une mission spéciale : intercepter et détruire en vol l’avion de Kadhafi, offrant à toutes les parties concernées, la possibilité de nier ensuite toute responsabilité dans l’affaire. Si tout allait bien, l’épave s’abîmerait en mer et le problème libyen, serait résolu une fois pour toutes.

Dès le départ, les choses ne se sont pas déroulées selon les plans. Ce qui devait être une simple interception, s’est transformé en un engagement aérien confus, impliquant des chasseurs de 4 pays. Les avions français, libyen, italiens et américains ont convergé vers un point précis au sud des côtes italiennes. C’est dans cette mêlée que s’est retrouvé le vol Itavia 870, ignorant tout du drame qui allait se jouer.

Ce que les Français ignoraient depuis le départ c’est que leur tentative d’assassinat était vouée à l’échec. D’après les documents libyens récemment découverts, Kadhafi avait été informé du complot à la dernière minute par une source des services secrets italiens, le SISMI. C’est pour cette raison qu’il a demandé à son équipage de détourner son vol vers Malte. Il était notoire qu’à l’époque, le SISMI était très influent grâce à ses contacts de haut niveau en Libye. L’Italie a conservé des relations étroites avec Kadhafi pendant de nombreuses années. C’est par exemple Bettino Craxi qui a téléphoné à Kadhafi en 1986 pour l’informer du raid imminent de F111 américains. Ce fut une nouvelle fois grâce à l’aide italienne qu’il pu quitter sa résidence quelques minutes avant l’attaque.
Au cours de cette nuit de 1980, au moment précis ou Kadhafi décida de dérouter son avion vers Malte, un MiG23 de l’armée de l’air libyenne faisait route au Nord à sa rencontre afin de l’escorter jusqu’en Libye. Dans la confusion, Ezedine Koal le pilote du MIG n’a pas reçu l’ordre de faire demi-tour et de rentrer à sa base. Au lieu de cela, il a poursuivi son vol vers le Nord au dessus de la Méditerranée, à la recherche du Tupolev de Kadhafi et a été rapidement repéré par les radars de l’OTAN. Selon les plans prévus dans cette éventualité, l’armée de l’air italienne et la Navy américaine ont immédiatement dépêché des intercepteurs alors qu’il s’approchait de l’espace aérien italien.
Soudain, un combat aérien dans la confusion
Quelques minutes plus tard, le MIG-23 libyen était en vue des côtes de Sicile. Ensemble, 3 chasseurs F-104 italiens et au moins un Corsair A-7 II (probablement un vol de deux avions) sont apparus séparément venant de l’Est. Les deux chasseurs français Mirage fonçaient en provenance du Nord avec l’intention de remplir leur mission meurtrière de telle sorte que 7 voire 9 chasseurs de l’OTAN convergeaient vers un même point dans le ciel sombre au dessus de la Méditerranée. Ignorant tout de cette concentration, le vol Itavia 870 poursuivait sa route.
C’est apparemment le MIG-23 libyen qui a aperçu le premier le DC-9 civil sur son radar. Il volait cap au Sud comme prévu. Pour le pilote libyen, il était exactement au lieu prévu du rendez-vous. Il a donc manœuvré son MIG-23 pour se placer à proximité de l’avion de ligne qu’il a vraisemblablement confondu avec le Tupolev de Kadhafi dans l’obscurité. Pour les pilotes des chasseurs français, la paire d’avions qui venait de se former correspondait à ce que prévoyait leur ordre de mission : une cible de la taille d’un avion de ligne, clairement, le Tupolev de Kadhafi, escorté par un seul chasseur libyen qui l’avait rejoint en provenance du Sud. Les deux appareils volant maintenant cap au Sud en direction de la Libye.
Aucun tir de semonce n’a été tiré. C’était supposé être un assassinat pur et simple. L’un des 2 pilotes français à lancer un missile air-air en direction de la plus grosse des cibles. Il a fait mouche et touché l’avant du vol Itavia 870 d’un tir parfait. L’avion de ligne n’avait aucune chance de s’en tirer. Il a littéralement explosé en vol. Alors qu’ils surveillaient la boule de feu qui apparaissait par intermittente dans le lointain, les deux pilotes des Mirage français ont réalisé sur leur radar embarqué que le MIG-23 libyen manœuvrait pour se placer en position de contre-attaque.
Il n’y avait donc qu’une seule chose à faire, le descendre également.
Finir le travail en descendant le MIG-23
À la vue de l’impact du missile sur l’avion de ligne tout proche, Ezedine Koal, le pilote du MIG-23 libyen s’est écarté, à la recherche d’un avion ennemi. Où qu’il pointe le nez de son appareil, son radar révélait la présence de toujours plus de chasseurs ennemis. 3 F-104S Starfighters étaient visibles d’un côté pendant qu’un ou deux Corsair A-7 de l’US Navy arrivaient d’une autre direction. 2 chasseurs français Mirage fonçaient du Nord, leurs radars déclenchant le système de réception d’alerte précoce à l’intérieur du MIG indiquant qu’ils s’apprêtaient à ouvrir le feu. Ezedine Koal était seul et en grand danger. Peu d’options s’offraient à lui en dehors d’engager le combat et de tenter de fuir plein Sud. Ses chances de survie étaient minces. Les intentions hostiles des avions ennemis ne faisaient aucun doute ; après tout ils venaient juste de descendre et dans son esprit d’assassiner le Colonel Kadhafi lui-même, l’homme qu’il était supposé escorter et protéger.
La suite fut une série confuse de manœuvres et de contre manœuvres à grande vitesse dans le ciel nocturne italien. Les chasseurs français et le libyen se sont affrontés au dessus de l’eau pendant que les appareils italiens et de l’US Navy tournaient autour. Le combat s’est déplacé vers l’Est au dessus de la terre ferme jusqu’à ce que le MIG-23 finisse par être touché où qu’il percute les montagnes invisibles plus bas. Il s’est écrasé en percutant les montagnes de Calabre à Castelsilano et Ezedine Koal n’a pas survécu.
Leur mission accomplie, les chasseurs français Mirage ont remis cap au Nord pour rentrer en France. La destruction du MIG leur garantissait qu’il n’existait aucun témoin de leur assassinat de Muammar Kadhafi.
Ce qui s’est passé ensuite et la dissimulation de l’interception
Kadhafi a survécu à la tentative aérienne d’assassinat. Il vivra jusqu’au « printemps Arabe » libyen de 2011. La France n’évoquera jamais publiquement les événements de cette nuit là. Tout comme l’Italie qui optera pour une politique de silence et de dissimulation. Observateurs extérieurs non-européens, les USA garderont également le silence. Face au silence assourdissant des autorités, les médias désigneront la disparition du Vol 870 par le Massacre d’Ustica (« Strage di Ustica » du nom d’un île proche de la mer Tyrrhénienne).
Le 18 juillet 1980 soit 21 jours après l’opération, l’épave du MIG-23 libyen a été localisée dans les montages de Sila. Le corps du pilote Ezedine Koal  encore attaché au siège éjectable, fut identifié grâce à son nom inscrit sur son casque. Les autorités italiennes se sont opposées à ce que deux reporters puissent prendre des photos de la scène. Ils furent appréhendés et relâchés en échange de la confiscation de leurs pellicules.
En dépit de ces ultimes efforts de dissimulation, la presse ne tarda pas à découvrir que le corps du pilote libyen était décomposé, confirmant que son décès remontait à 3 semaines, date de la disparition du vol 870. La concomitance des 2 évènements ne tarda pas à attiser la curiosité de la presse. Le corps du pilote fut rapatrié en Libye après avoir été enterré un moment en Italie.
D’étranges coïncidences et quelques décès inexpliqués  
La dissimulation a duré jusqu’à ce que les enregistrements radars des événements de cette nuit là disparaissent. Il aurait pu s’agir d’une coïncidence. De même les obstacles de toutes sortes et les dissimulations ont retardé l’examen des débris du DC-9 et la rédaction d’un rapport d’enquête pendant 9 ans. Un délai exceptionnellement long en matière d’accident aérien. Le rapport a conclu que « toutes les preuves examinées confirment que l’accident du DC-9 a été causé par l’explosion d’un missile près du nez de l’appareil. En l’état actuel des connaissances, il n’a pas été possible de déterminer le type, l’origine et l’identité du missile ».
La revue Aviation Week and Space Technology compléta le rapport en indiquant que les dommages causés au fuselage de l’appareil étaient compatibles avec ceux provoqués par un missile air-air. Les doutes quant à une implication militaire dans les évènements s’évanouissaient peu à peu. Mais de quelle armée pouvait-il s’agir ? Les libyens pouvaient-ils s’être rendus coupables d’un acte de terrorisme aérien air-air ? S’agissait-il de quelqu’un d’autre ? Très vite les partis politiques de gauche se mirent à affirmer que la US Navy avait abattu l’appareil accidentellement.
Des témoins-clé décèdent de manière inopinée
Plus inquiétant encore quoi qu’il pu s’agir là encore d’une coïncidence, bon nombre de ceux qui étaient de service cette nuit là et qui auraient été des témoins clé des événements, sont décédés dans d’étranges circonstances.
Pierangelo Teoldi le commandant de la base dont ont décollé les intercepteurs italiens F-104S est mort soudainement dans un accident de circulation.
Mario Alberto Dettori et Franco Parisi, deux contrôleurs
aériens ayant assisté à la scène sur leur écran-radar se sont suicidés par pendaison (choix personnel discutable compte tenu de la douleur qu’elle provoque).
L’un de leurs collègues, Maurizio Gari est décédé d’une attaque cardiaque. Il avait 37 ans.
Un 4ème contrôleur aérien, Antonio Muzio, ayant eu connaissance des faits intervenus cette nuit là a été retrouvé assassiné.
Finalement,  Mario Naldini et Ivo Nutarelli, 2 des 3 pilotes italiens ayant participé à l’interception du MIG-23, sont décédés au cours d’une collision lors d’une fête aérienne sur la base de Ramstein en Allemagne. Pour de nombreux conspirationnistes, ces morts en série ne peuvent être le fait du hasard.
Le mot de la fin sur le vol 870 ?
Une enquête formelle a finalement été lancée par un juge italien Rosario Priore qui s’est rapidement heurté aux obstacles mis en travers de son chemin par des personnalités politiques italiennes et des membres de l’OTAN. Ses conclusions ont fait état de la dissimulation mise en œuvre, et 4 généraux italiens se sont retrouvés accusés de haute trahison pour s’être opposés à l’enquête. L’accusation a finalement été abandonnée.
En juillet 2006, les fragments de l’appareil du vol 870 ont été rassemblés et livrés à Bologne depuis la base aérienne Pratica di Mare située près de Rome. Un an plus tard, en juin 2007, le fuselage reconstitué à été exposé dans le tout nouveau Musée de la Mémoire d’Ustica à Bologne. Il constitue le témoignage silencieux de ce qui a probablement été une tentative d’assassinat qui a échoué – terriblement – et provoqué la mort de 81 innocents civils et d’un pilote libyen de MIG.
C’est en 2008 que l’ancien président italien Francisco Cossiga a pris l’initiative de confirmer que le vol Itavia 870 a été descendu par des chasseurs français.
Un aveu qui a fait l’effet d’une bombe bien que les détails de l’opération n’aient pas encore été rendus publics. Peu de temps après, des réparations ont été demandées à la France. Moins de deux ans plus tard, le président Cossiga décédait d’insuffisances respiratoires.
En 2011, les tribunaux italiens ont exigé du gouvernement italien qu’il paye 127 millions de dollars de réparation aux familles des victimes. La lumière se fait peu à peu sur la véritable histoire de ce qui s’est déroulé dans le ciel au dessus de la mer Tyrrhénienne. A la suite de la publication des derniers éléments des archives gouvernementales libyennes, la seule question qui subsiste est de savoir à quel moment les autorités publiques accepteront de reconnaître leur responsabilité dans ce qui s’est passé et de confirmer ou d’infirmer la séquence des événements décrites dans les documents libyens.
32 ans constituent peut être un délai suffisant pour que la vérité soit enfin révélée.

Menadefense.net 
Traduit de l’article : « An assassination of international proportions – 27 juin 1980 and a cover-up by NATO : Civilian jet with 81 civilians shot by french Mirage instead of Qaddafi plane over Sicily » par Thomas Van Hare dans FlyHistoricWings de juin 2012. 

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Syrie, les enfants damnés : Les atrocités dépassent l’entendement ! Quand est-ce que l’humanité se réveillera-t-elle ?

Une vidéo qui tourne sur le web démontrerait des enfants qui seraient mis à mort et dont les organes seraient récupérés afin d’alimenter un vaste trafic.

Attention, ceci est à prendre au conditionnel ! Source non fiable.

Mise à jour concernant cette vidéo : 17:57

INTOX : Cette vidéo tourne sur les réseaux sociaux depuis quelques jours avec pour titre : « Trafic d’organes d’enfants en Syrie ». FAUX. La vidéo a été filmée le 15 décembre 2015 dans un hôpital de fortune d’Idlib, suite à un bombardement qui a fait 6 morts et 15 blessés. La petite fille est à ce jour encore vivante et nous allons la visiter dans les prochains jours pour le prouver.

Voici le lien Youtube de la vidéo originale publiée par l’agence de presse SMART, en date du 25 décembre 2015.

>>>Agence de presse Smart<<<

L’agence de presse Smart titre cette vidéo en disant que des avions Russes ont commis un massacre dans le village de Algosabih Brive Idlib au sud.

6 civils tués et 15 autres blessés. D’autres personnes sont encore piégées sous les décombres, à la suite d’un raid mené par des avions de combat russes sur le village Algosabih dans la campagne du sud de Idlib, selon le correspondant de « Smart »

Mais aussi :

L’esclavage sexuel chez des enfants pouvant avoir à peine 6 ans est monnaie courante.

Préambule du reportage signé : Envoyé spécial

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

Petites filles issues des minorités vendues ou échangées comme esclaves sexuelles, petits garçons embrigadés de force pour devenir d’impitoyables soldats mis en scène dans des vidéos de propagande… Daech instrumentalise systématiquement les enfants. Qu’adviendra-t-il d’eux ? Un reportage d' »Envoyé spécial ».

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Révélations : La vérité sur l’Arabie saoudite

Décapitations en public, crucifixions, police religieuse omniprésente, opposants politiques fouettés et emprisonnés, telle est la face cachée et secrète de l’Arabie saoudite. Secrète, car le pays est verrouillé: le tourisme y est interdit, et les journalistes sont contrôlés en permanence. L’un d’entre eux a pu réaliser sous couverture un reportage inédit et édifiant sur l’un des pays les plus puissants, les plus secrets et répressifs au monde.

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Après le scandale des droits sexuels et la sexualité procréative à partir de 10 ans, celui du sexe et de la pornographie dans les livres scolaires

Incroyables révélations de la part d’élèves et de parents d’élèves.

L’éducation française rabaissée au point de proposer à ses élèves des cours de sexualité via des livres très explicites.

Ce qui fait vraiment frissonner dans ce constat c’est que certains parents déclarent que finalement, puisque les enfants on accès au pornographie via Internet, cela n’est qu’un juste réalignement de nos mœurs.

Depuis au moins deux décennies, tous les hommes politiques au pouvoir de gauche comme de droite cautionnent un mouvement d’envergure que rien ne semble arrêter; mouvement aujourd’hui amplement amplifié par Najat Vallaud-Belkacem.

La situation est-elle meilleure dans l’enseignement catholique sous contrat ? Certainement pas !

Ce document dévoile à quel point notre société part à la dérive et le mot « URGENT » n’a plus de sens tant le phénomène est grave.

Dans les années 90, suite à des scandales de pédophilie, le fait de donner la main à un enfant pour traverser la route pouvait être suspect. Aujourd’hui, toutes les dérives sont autorisées.

Parallèlement souvenons-nous de ceci :

L’ONU demande les droits sexuels et la sexualité procréative à partir de 10 ans !

Voici un document à glacer le sang !

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Syrie : Quand les informations d’un reportage du service publique ne collent pas à la réalité

Dans ce Reportage diffusé sur France 2 le 29 novembre 2011 mais qui demeure d’actualité vue le contexte géopolitique actuel est rempli d’incohérences. Le reportage de Martine Laroche Joubert a également été diffusé sur France 24, une chaîne émettant dans tout le monde arabe.

Dans la version de France 2, il est dit qu’après avoir pénétré en Syrie en traversant des bois et s’être équipé de motos, c’est au matin que l’équipe de journalistes arrivent dans la ville de Homs. Sur France 24, on nous dit que c’est finalement après deux jours de route que les journalistes arrivent à Homs.

Lors d’une manifestation, France 2 diffuse des images toujours dans le cadre de ce reportage qui montrent des manifestants scandant des slogans tels que « Non à la guerre entre communauté ». Ce rassemblement avait eu lieu le 25 novembre 2011 dans le quartier de Khalidiya dans la ville de Homs. Les slogans scandaient en fait : « Pour la lettre A, Aarour ! » Adnan Aarour est un salafiste et ancien Frère musulman exilé en Arabie Saoudite. Il est très connu dans le monde Arabe pour ses prêches et émissions radio -TV contre les chiites. De plus, si l’on cherche sur Youtube des manifestations ayant eu lieu au même endroit quelques jours plus tôt, on tombe sur des images qui montrent le portrait de Nasrallah (leader chiite) brûlées au même endroit dans le quartier de Khalidiya dans la ville de Homs.

Certains manifestants de ce quartier hâtisent donc bel et bien la haine entre communauté contrairement à ce qui est sous-entendu dans le reportage.

Lors d’une manifestation, Martine Laroche Joubert commente en disant :

« Soudain, des tirs… Un char de l’armée s’approche, des snipers postés sur les toits tirent dans tous les sens. »

Martine Laroche Joubert nous parle d’un tank, de l’armée et de snipers que l’on ne voit évidemment pas, pourtant le montage de cette scène contient de sérieuses anomalies…

Le reste du documentaire dans la vidéo.

Cette vidéo qui remonte à 2011 et qui démontre très clairement l’ambiguïté en matière d’information  pourrait nous pousser à nous dire ou à nous demander, 7 ans après : A quel point nous dit-on la vérité (pour le verre à moitié plein) et, à quel point est-ce qu’on nous ment (pour le verre à moitié vide)

Stéphane Guibert / Finalscape /VK

Cette vidéo met en lumière les anomalies du reportage « Au cœur de la révolution syrienne » réalisé par Martine Laroche Joubert et Christophe Kenck et diffusé sur France 2, le 29 Novembre 2011.

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France & Casseroles au cul : Un statut particulier du candidat pointe son nez !

Information à prendre au conditionnel !

Un Statut particulier du candidat en France permettrait à toutes celles et ceux qui se présentent lors d’une élection d’être intouchable concernant les éventuelles casseroles qu’ils traineraient derrière eux.

Il est pas beau le monde comme ça ?

Je n’ai pas plus d’infos pour le moment hors mis la source ici présente mais comme il n’y a pas de fumée sans feu, attendons-nous à une nouvelle bombe !

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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France : L’assemblée vote une loi qui protège la corruption !

France : Les députés votent une loi qui protège les corrompus. Les délits occultes ne pourront plus être poursuivis après 12 ans. Quand le passé gêne, oublions le !

L’assemblée nationale et le sénat ont voté une loi qui permettrait aux politiciens et aux  dirigeants d’entreprises qui commettraient des actes répréhensibles par la loi tels qu’abus de bien sociaux, corruption etc…  de ne plus être passibles de poursuites judiciaires passé un délai de 12 ans.

Tant que les gens seront anesthésiés par des débilités du genre « Pokémon Go », « les anges de la réalité » ou toutes autres niaiseries destinées à les tenir à carreaux, tant que les gens auront leur confort qui est un confort relatif d’ailleurs, tant que les gens auront la possibilité d’avoir le dernier « I Phone » à la mode, tant qu’ils auront l’impression, je dis bien l’impression d’être libres et tant que le gouvernement se servira de ces illusions pour manipuler le peuple à sa guise, pourquoi ce dernier cesserait-il de se servir ?

Tant que des attentats commis sous fausses bannières seront perpétrés et faisant ainsi remonter les élites dans les sondages et tenant ainsi la population en respect par le biais de la peur et que cela fonctionnera, pourquoi ces élites se feraient-elles du mouron ?

Cela n’est-il pas génial pour eux ?

Quel bel exemple de démocratie n’est-il pas ?

Vous votez pour un maître tous les cinq ans, vous vous faites littéralement D… Le C… chaque fois et vous en redemandez en votant pour le parti adverse dont le programme au final n’est qu’un copié collé du gouvernement sortant dont seules les promesses électorales non tenues font la différence et vous vous laissez avoir à chaque fois.

Regardez le peuple de Roumanie qui à moins 15 degrés dans les rues durant une semaine réussit à déstabiliser puis renverser un gouvernement corrompu.

En France, l’affaire Théo qui met le feu aux poudres ne sert que les intérêts médiatiques; un mini attentat justifiant l’embrasement des banlieues. Mais ne soyez pas dupes amis français, ce scénario savamment orchestré par les médias Mainstream n’est destiné qu’à vous embrumer l’esprit, vous monter les uns contre les autres et apparemment ça marche vu ce qui se passe en ce moment!

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

LES RASSEMBLEMENTS DIMANCHE 19 FEVRIER CONTRE LA CORRUPTION :
A Angers Place du Ralliement à 15h
A Bourg-en-Bresse Place de la mairie à 15h
A Lyon Place Bellecour à 15h
Orléans à 15h Place du Martroi.
A Clermont-Ferrand à 15h Place de Jaude.
A Paris : Place de la République à 15h
A Toulouse : Place du Capitole à 15h
A Marseille : Devant la mairie
A Rennes : Place de la mairie à 15h
A Bordeaux : Place de la République à 15h
A Montpellier : Place de la Comédie à 15h
A La Rochelle Samedi 18 février à 16h Place de Verdun
A Rouen : Place de l’hôtel de ville à 15h
A Bordeaux : Place de la République à 15h
A St-Omer : Grandplace de St-Omer à 15h
A Sens à 11 h Place de la République
A Toulon à 15h Place de la liberté

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France : C’est officiel, vous êtes en dictature car le glas de la démocratie à sonné !

L’imposture politique dévoilée !

Ce qui est incroyable dans tout cela c’est que très peut de citoyens se sentent concernés.

Le régime actuel le reconnait lui-même, en matière de répression du droit d’expression, la France est le pays qui l’applique de la matière la plus ferme au monde.

Si vous vous sentez concerné, n’hésitez pas à regarder cette vidéo et si vous pensez que ce qui y est dit est vrais, partagez sans modération.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Attentat : Etranges révélations sur l’explosion au Stade de France

Retour sur l’histoire :

« Kamikazes » du Stade de France : le témoin-clé avait été pistonné par le pouvoir socialiste

Exclusif. Panamza s’est procuré un courrier de 2014 adressé par le député PS Olivier Faure à Christian Eckert, secrétaire d’État au Budget, en faveur de Bley Mokono, premier «témoin miraculé» des attentats du 13 novembre.

Souvenez-vous : le 3 mars, Panamza publiait une enquête consacrée aux protecteurs haut-placés (François Hollande, Manuel Valls, Claude Bartolone, entre autres) du premier « témoin miraculé » des évènements survenus le 13 novembre dans l’agglomération parisienne : Bilal Bley Mokono, 39 ans, « conseiller technique » au ministère de l’Intérieur depuis janvier 2016.

Le 19 mars, au lendemain de l’annonce de l’arrestation de Salah Abdeslam, le « rescapé » a été sollicité par France 2, France 3, BFM TV et I-Télé pour faire connaître, la démarche ostensiblement boîtante (comme l’ont souligné des internautes sceptiques), son « soulagement ».

 

Deux jours plus tard, il était de nouveau invité par la chaîne BFM TV, au micro de Nathalie Lévy, pour dénoncer les « lourdeurs administratives » endurées par les familles de victimes.

Le 23 mars, il affirma au Parisien -premier média à l’avoir complaisamment exposé, dès le 14 novembre- un propos inédit : il aurait non seulement été le seul témoin à avoir vu -avant les explosions- deux des trois « kamikazes » présumés mais, nouvelle allégation, leur chauffeur Salah Abdeslam.

« J’ai raconté ça aux policiers quand j’ai été entendu.

L’un d’eux m’a dit :ferme les yeux et balaie la scène dans ta tête.

J’ai revu cette voiture noire et le regard de l’homme maghrébin qui était dedans.

Pour moi, c’était Salah Abdeslam »

Depuis le retour médiatique de Mokono, Panamza a obtenu auprès d’une source de nouveaux éléments d’information au sujet de ce personnage influent et redouté dans le Val-d’Oise, à la fois proche des barons socialistes et de l’opposition iranienne adoubée par l’axe Washington-Tel Aviv.

Le 26 juin 2014, le député PS Olivier Faure (proche de François Hollande) a adressé une lettre à Christian Eckert, secrétaire d’État au Budget. La requête singulière du parlementaire en une phrase manuscrite : « Merci de regarder ou faire regarder ce que tu peux faire pour aller vers la mise en place d’un échéancier ».

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