Coup de gueule : Salaires, sous-traitance et maltraitance, François Ruffin se lâche en plein hémicycle

Coup de gueule : Salaires, sous-traitance et maltraitance, François Ruffin se lâche en plein hémicycle

« Bien sûr que je m’énerve ! »

En Marche vide mon texte sur les femmes de ménage, change son titre, n’en garde rien, et il faudrait que j’approuve cette mascarade ?
Ils ne changeront jamais. Et elles continueront à se lever à 4h du matin, à travailler 3 heures pour trente euros…

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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François Asselineau : Nous ne voulons pas du Nouvel Ordre Mondial

François Asselineau : « Nous ne voulons pas du Nouvel Ordre Mondial »

Alors que le Nouvel Ordre Mondial est en train de se profiler clairement, lors de la dernière campagne présidentielle en France, François Asselineau président et fondateur de l’UPR clamait sa volonté contre le Nouvel Ordre Mondial.

Il est étonnant que cet homme politique, pro Frexit et si populaire sur les réseaux sociaux soit si peu représenté par les médias mainstream.

Je pense que la France a loupé une coche en n’élisant pas François Asselineau et souhaite à mes amis Français de rattraper le coup lors des prochaines élections, si toutefois élections il y a…

J’ai la chance d’avoir eu l’opportunité de rencontrer François Asselineau à Genève dans le cadre d’une conférence et je peux assurer en mon âme et conscience qu’il s’agit d’une personne cultivée. Il est érudit, il connait son dossier sur le bout des doigts et il est bien en avant dans la maîtrise de ce dont il parle contrairement aux dirigeants actuels. J’ai de la peine à comprendre le choix de certains français notamment lors des dernières élections. Cela me dépasse et c’est clairement surréaliste.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Politique : Asselineau, un complot russe !

Politique : Asselineau, un complot russe !

Présidentielle 2017, petit rappel :

Marie-Anne Cohendet, une agrégée qui sévit à l’université Panthéon-Sorbonne, livre ses états d’âme à une semaine du premier tour de la présidentielle, le dimanche 16 avril sur CNEWS.

Anti-complotiste déclarée, elle tente pourtant de nous persuader que la notoriété de François Asselineau sur Internet a été fomentée par la Russie de Poutine ! Cohendet, ou l’histoire d’une chasseuse de complotistes qui devient conspirationniste.

On aura tout vu !

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Politique : La France sonne le glas du contrat social

Politique : La France sonne le glas du contrat social

Jean-Jacques Rousseau se retournerait dans sa tombe.

Du contrat social ou Principes du droit politique est un ouvrage de philosophie politique pensé et écrit par Jean-Jacques Rousseau, publié en 1762. L’œuvre a constitué un tournant décisif pour la modernité et s’est imposée comme un des textes majeurs de la philosophie politique et sociale, en affirmant le principe de souveraineté du peuple appuyé sur les notions de liberté, d’égalité, et de volonté générale.

Vidéo :

«Vous êtes une chambre d’enregistrement»

François Ruffin

Extrait de la séance publique à l’Assemblée nationale du 28 janvier 2020.

 

Voir aussi : À l’occasion du tricentenaire de la mort de Jean-Jacques Rousseau : Le nez dans le ruisseau » >>>

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

 

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POLITIQUE : Comment Macron va tricher aux municipales

POLITIQUE : Comment Macron va tricher aux municipales !

Coup d’effaceur sur les communes de moins de 9’000 habitants

Le ministère de l’intérieur chargé d’organiser les élections municipales a décidé de changer les règles pour calculer le score de chaque partis politique au soir des résultats et il a sorti : l’effaceur.

96% des communes ne seront pas prises en compte dans les résultats nationaux ce qui pourrait bien grossir les scores du partis présidentiel.

Seules les communes de 9’000 habitants et plus seront prises en compte et non plus à partir de 1’000 habitants comme aux dernières municipales.

C’est un électeur sur deux don le vote ne comptera pas dans la moyenne nationale cette année.

Le député Olivier Marleix, Député (LR) D’EURE-ET-LOIR y voit une manœuvre intéressée :

« On présentera le vote des français qui arrange le gouvernement. »

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

 

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POLITIQUE : Dire tout et son contraire

En Mars 2019 l’actuel locataire de l’Elysée était farouchement opposé à augmenter l’âge légal de la retraite

« Tant qu’on a pas réglé le problème du chômage dans notre pays, franchement, ça serait assez hypocrite de décaler l’âge légal. Je veux dire, quand aujourd’hui, on est peu qualifié, quand on vit dans une région qui est en difficulté industrielle, quand on est soit-même en difficulté qu’on a une carrière fracturée… Bon courage déjà, pour arriver à 62 ans ! C’est ça la réalité de notre pays ! Et alors on va dire non ! non ! Il faut aller maintenant à 64 ans ! Vous savez déjà plus comment faire après 55 ans ! Les gens vous disent, les emplois, c’est plus bon pour vous ! C’est ça la réalité ! C’est le combat qu’on mène ! On doit d’abord gagner ce combat avant d’aller expliquer aux gens, mes bons amis, travaillez plus longtemps ! C’est le délai légal ! Çà serait hypocrite. »

Décembre 2019, le discours de l’époque est déjà bien lointain !

Démographie, chômage et économie il faut reformer certes mais ce qu’il faut dans un premier temps changer, c’est  le logiciel actuel qui est devenu complètement obsolète.

Stéphane Guibert / Finalscape

Oui Monsieur Macron, c’est la logique même mais alors pourquoi avez-vous changé votre fusil d’épaule ? (G.S)

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Les politiques ne travaillent plus pour l’intérêt général mais pour les intérêts du secteur privé

Laurence Ferrari dézingue sévèrement Jean-Paul Delevoye !

Les politiques ne travaillent plus pour l’intérêt général mais pour les intérêts du secteur privé

«Toutes les planques de la République y sont passées !»

Laurence Ferrari : Extrait de l’émission «Punchline» diffusée sur CNews le 16 décembre 2019.

Crédit vidéo : C News

Coup de théâtre lundi midi ! Alors qu’un douzième jour de grève se levait sur la France, Jean-Paul Delevoye, l’homme de la réforme des retraites, démissionnait à la suite des polémiques le concernant. Sur CNews, Laurence Ferrari s’est agacée d’un tel « amateurisme » de la part de ce dernier.

« Personne n’est épargné du devoir de respecter les règles et les principes de transparence et de moralité par rapport à l’argent public. Quel qu’il soit« , disait Jean-Paul Delevoye à Jean-Pierre Elkabbach le 9 juin 2017 lors d’une interview matinale sur CNews. Une séquence rediffusée par Laurence Ferrari ce lundi en fin d’après-midi dans son émission Punchline sur la même chaîne. « Quel qu’il soit ! C’est vrai que ces déclarations ont une drôle de résonance aujourd’hui ; transparence, moralité…« , a repris Laurence Ferrari, quelque peu agacée, avant de s’indigner contre le ‘Monsieur retraites’ du gouvernement qui a démissionné ce lundi matin, poussé par la sortie par la non-déclaration de ses nombreux mandats et fonctions…

« Il connaît par coeur la vie politique »

« On ne va pas dire qu’on le compare à Jérôme Cahuzac mais il y a un peu de ça. Alors effectivement il est peut-être de bonne foi au moment où il répond aux questions de Jean-Pierre Elkabbach, mais c’est un élu ultra expérimenté. C’est pour ça qu’il a été choisi Jean-Paul Delevoye. Il connaît par coeur la vie politique, il connaît par coeur les obligations liées à la vie politique. Et donc là effectivement on a un peu du mal à saisir cette – peut-être – suffisance de sa part, à penser que l’on peut éventuellement ne pas remplir correctement un formulaire. Ça fait vraiment mauvaise image pour ce gouvernement« , s’est exprimé Damien Fleurot, l’un des chroniqueurs de l’émission, laissant ainsi la présentatrice rebondir de plus belle.

« Toutes les planques de la République y sont passées ! »

« Alors vous dîtes que c’est un homme politique qui connaît la musique : effectivement, il a été élu conseiller général pour la première fois en 1980, ça fait donc 39 ans qu’il est payé par nos impôts ! Il a été maire pendant 30 ans, sénateur pendant 10 ans, président de l’association des maires de France, président du CESE – Conseil Économique et Social. Toutes les planques de la République y sont passées. (…) La déclaration du patrimoine n’est toujours pas faite… Comment un tel amateurisme est envisageable ? Franchement, moi je ne comprends pas, je ne comprends pas !« , s’est exclamée Laurence Ferrari, l’une des journalistes télé les plus influentes de 2019, visiblement remontée et prête à mettre son avis sur la table, quitte à déranger.

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Société : L’ultra libéralisme permet à l’ultra riche de se gaver pendant que toi, tu galères un mois entier pour un grain de riz

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Société : L’ultra libéralisme permet à l’ultra riche de se gaver comme jamais pendant que toi, tu galères un mois entier pour un grain de riz et encore …

L’injustice sociale est abjecte. Elle pousse les gens au cannibalisme et à des dérives que l’on ne peut même pas nommer tellement elles sont sordides.

Ils sont rares ces gens qui nous sortent nos quatre vérités, tellement rares d’ailleurs qu’un clin d’œil devrait leur être consacré régulièrement et en voici un :

Je ne fais pas de politique mais à partir du moment où une intervention ou un commentaire me semblent coïncider à mes convictions, je les partage.

PHILIPPE POUTOU : « Avec ce gouvernement c’est jamais le moment du progrès social, c’est jamais le moment d’augmenter les retraites. Il faut que ça pète. Il a toujours fallut des grèves pour arracher des acquis sociaux. Descendons dans la rue le 5 Décembre pour dire Stop ! »

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Société : « Benalla casses-toi de mon bar »

« Benalla casses-toi de mon bar »

Alexandre Benalla pris à partie dans un bar de Saint-Denis

Des clients n’ont pas apprécié la venue d’Alexandre Benalla, ancien collaborateur d’Emmanuel Macron, dans un café du centre-ville de Saint-Denis. S’en sont suivi des échanges tumultueux dont un extrait est diffusé dans cette vidéo.

VIDEO. Les trois amis dyonisiens aimeraient en savoir un peu plus sur la stratégie politique de celui qui, à l’approche des municipales, s’intéresse de près à cette ville populaire du 93.

Long manteau noir déboutonné, coude posé sur le zinc, lumière blafarde : l’homme qui vient d’entrer dans ce café populaire du centre-ville de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), à deux pas de la basilique, tente de se fondre dans le décor. Mais son arrivée « en fanfare » a quelque peu compromis le scénario.

« Nous étions tranquillement en train de boire un verre quand un homme annonce l’arrivée d’Alexandre Benalla comme on présente un prince en son royaume » détaille à « l’Obs » Colette, Dyonisienne depuis cinq ans.

Ce qui devait être une simple visite de campagne à l’approche des municipales de 2020 se transforme en un spectacle où les insultes fusent :

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