Le scandale de l’accord Europe/Mercosur par Natacha Polony
La mondialisation ravage l’économie locale et va laisser les éleveurs et les agriculteurs français sur le bord de la route alors que parallèlement, c’est l’industrie allemande qui va remporter le jackpot !
Michel Onfray qui était invité chez Natacha Polony ne mâche pas ses mots lorsqu’il dresse le bilan du quinquennat de l’actuel locataire de l’Elysée.
Qu’a fait Macron de ses pleins pouvoirs ? C’est un personnage qui attaque les journalistes sur la question des sources, il s’en prend aux médecins en leur demandant, concernant les Gilets jaunes, de faire des fiches pour la police, les fake news qui sont élargies du fait que l’on ne pense pas comme lui etc … La France, pays des droits de l’homme serait-elle devenue une dictature ?
À quelques Quinquennats de là, deux discours qui se ressemblent, celui du regretté Daniel Balavoine qui mettait en garde les politiques de l’époque en déclarant que le désespoir était mobilisateur mais dangereux et celui de la journaliste Natacha Polony, qui nous dresse une analyse crue mais ô combien réaliste sur l’état de la politique et le désespoir des Français qui exaspérés à force de na pas être entendus sont au bord de basculer dans la violence.
Stéphane Guibert / Finalscaspe
Et pour les plus jeunes d’entre vous, une des plus belles chansons de Daniel Balavoine : « Tous les cris les S.O.S »
Amateurs de séries à l’eau de rose, ce message est pour vous et vous êtes prévenus, sortez vos mouchoirs !
Voilà ce que l’on appelle « LA COM » et il y en a qui tombent encore dans le panneau !
Ce qu’il faut bien se dire, c’est qu’au dessus de sa tête reposent des milliards d’intérêts et que tous les coups sont permis pour endormir les plus crédules d’entre nous tout en s’assurant qu’ils ne se réveillent pas !
« Nous sommes dans une phase de colère qui est en train de déborder. »
Le peuple revendique son droit à être souverain et c’est le premier point qu’il faudrait entendre car les représentants ne sont que des représentants, ils sont censés représenter les citoyens …
Il n’est pas illégitime de vouloir réformer la langue française, mais le problème vient-il vraiment de la difficulté de celle-ci ? Pour Natach Polony, c’est l’‘enseignement de la grammaire (donc la logique de l’apprentissage de la langue) qui est à repenser.
Même si le correcteur d’orthographe automatique de notre smartphone nous piège parfois, on ne peut que constater au fil du temps la dégradation que subit la langue de Molière.
J’écris beaucoup et de manière à ce que mes textes soient accessibles au plus grand nombre. J’ attache également une très grande importance à l’orthographe, à la conjugaison et à la grammaire de mes billets même si cela n’est pas toujours évident car le français regorge de nuances, d’exceptions et de contradictions. Une faute d’inattention n’est pas exclue non plus mais en règle générale je relis souvent mes articles en les améliorant.
Au fur et à mesure que notre société s’émancipe, parallèlement, notre langue perd en vitalité et en qualité. La simplification de l’orthographe voulue par les élites mondialistes qui nous gouvernent aujourd’hui semble vouloir selon moi, nous ramener à l’époque où les nobles dominaient et les gueux qui, illettrés pour la plupart, n’étaient là que pour servir sans mot dire.
L’histoire se répète inlassablement. Qu’en est-il du côté de l’allemand, du côté de l’anglais ou du côté de l’espagnol pour ne citer que ces trois langues, je n’en sais rien mais il y a fort à parier que les tendances soient parallèles.
Natacha Polony revient sur un personnage haut en couleur, François Asselineau qu’elle décrit comme ayant une originalité que ne possèdent aucun des dix candidats à la présidentielle de 2017.
La distinction entre ce qu’est un président de la république et ce que doit être ensuite un programme législatif. François Asselineau s’inscrit dans le cadre de la 5ème république avec l’idée que le Président est le garant de la souveraineté de la nation et qu’en arrière plan, c’est au gouvernement d’assumer et de mener la politique de la nation.
Pour celles et ceux qui ne connaitrait pas encore François Asselineau, et oui il y en a, cette vidéo leur permettra de faire la connaissance avec un personnage dont la vraie démocratie a besoin pour survivre.
Guibert Stéphane
François Asselineau invité par Natacha Polony (.tv) 24/11/2017
Le bitcoin qui c’est envolé durant toute l’année 2017, plus de 1000% et qui a subi son plus important krash avant les fêtes de fin d’année est l’enjeu de toutes les convoitises au point que Goldman Sachs propose à ses clients d’investir dessus. N’oublions pas que c’est à Goldman Sachs que nous devons les fonds pourris de la Grèce, cette même banque qui investissait les yeux fermés dans les subprimes. C’est en tous cas le signe que les vautours dénués de tous scrupules et de vision à long terme sont sur le coup.
Cette monnaie virtuelle créée pour des échanges loin de tous contrôles est devenue l’objet d’une bulle spéculative.
Le bitcoin fonctionne sur un système de création de monnaie à partir d’algorithmes qui tiennent compte de toutes les transactions déjà effectuées et est appelé « Blockchain ». I faut savoir aussi que ces algorithmes consomment autant d’énergie que la Hongrie toute entière.
Une monnaie est censée s’appuyer sur une économie qui génère de la richesse ou sur un métal précieux que l’on considère comme une réserve et la monnaie est l’apanage d’un état lui permettant de contrôler les acteurs économiques, de maîtriser plus ou moins sa politique budgétaire d’où l’enjeu que constitue la souveraineté monétaire parce que elle seule permet de relancer par un peu d’inflation une économie fatiguée, de freiner les surchauffes, de favoriser le crédit ou l’épargne… Ors, même si le Bitcoin est encore marginal, il est le premier pas vers le contournement des états en matière de monnaie.
Les monnaies locales dont certaines connaissent un véritable engouement, même si elles veulent également s’affranchir du système bancaire, contrairement au Bitcoin, elles le font au nom d’une économie réelle, de proximité. Les monnaies virtuelles sont au contraire une façon d’ajouter de la spéculation en s’affranchissant de tous contrôles. Il ne s’agit à aucun moment de retrouver une autonomie des citoyens dans leurs échanges mais au contraire de mêler Wall Street et la Silicon Valley pour faire en sorte que les états ne puissent plus réguler d’aucune manière les mouvements de capitaux.
Même si la bulle du Bitcoin devait exploser, ça ne résoudra pas le problème à long terme parce qu’une autre viendra très vite prendre sa place.
Le saumon est un poisson que beaucoup de gens apprécient sur le plan gastronomique et au niveau de la santé car sa graisse est riche en oméga 3. Il y a quelques années encore, les saumons pullulaient de telle sorte qu’en Norvège par exemple, les ouvriers se plaignaient d’en avoir tous les jours à la cantine de leur entreprise.
Suite à des pêches intensives, à des maladies causées par des pollutions de toutes sortes, ce poisson se raréfie à tel point qu’aujourd’hui il est considéré comme un met de luxe que l’on sert en principe lors de grandes occasions. Afin de parer à ce problème de rareté, la pêche traditionnelle ayant été interdite, l’homme a pensé de créer des fermes d’élevage dont la Norvège est le premier producteur mondial.
Afin de répondre à une demande toujours plus grandissante de saumon à bas prix, ces fermes entassent des milliers d’individus qui ne peuvent évoluer comme dans leur milieu naturel et dont l’eau est souillée par leurs déjections ce qui détruit totalement la flore et la faune marine locale.
Ce phénomène de surpopulation a favorisé l’apparition d’un parasite appelé Le pou de mer. Et pour luter contre ce parasite, la Norvège qui ne fait pas partie de l’Union européenne utilise un produit, le Diflubenzuron qui est interdit dans la zone européenne.
Pour des raisons sanitaires, en 2013, le gouvernement norvégien a conseillé à sa population et plus particulièrement aux bébés et aux femmes enceintes de ne pas consommer de saumon plus de 2 fois par semaine car il y avait des risques alors que ce met est le plat national.
Selon Anne Libe Bjorke, pédiatre en Norvège :
« Nous savons que ces poissons gras contiennent des éléments polluants extrêmement dangereux particulièrement pour le développement cérébral. En consommer augmente aussi les risques de cancer, de diabète et d’obésité. Ce qui est sûr c’est que vous ne devez pas en manger si vous êtes un enfant en bas âge ou une jeune femme, vous ne devez pas manger ce type de nourriture polluée tant que vous n’avez pas eu d’enfant et vous ne devez pas en donner à votre enfant. »
Retrouvons Natacha Polony pour une explication plus détaillée.