Politique : Mentir aux français est nécessaire pour leur donner de l’espoir

Mise à jour : vendredi 5 avril 2019 – 15:55 –

Gilets jaunes, vous avez encore du pain sur la planche j’en ai bien peur !

Incroyable ou presque mais vrai !

Après Sibeth Ndiaye qui assumait de mentir pour protéger le Président, voilà désormais un député « En Marche », Patrick Vignal qui trouve parfaitement normal de « ne pas dire la vérité » pour donner de l’espérance aux français.

Mais jusqu’où ira la débandade ? Bienvenue dans le monde des « Bisounours ».

G.S / FINALSCAPE

Lors d’un débat sur Cnews portant sur les propos polémiques tenus dans le passé par la nouvelle porte-parole du gouvernement, un député LREM a estimé que les dirigeants ne devaient «pas dire la vérité» car la population avait besoin d’«espérance».

Un poisson d’avril ? Invité le 1er avril sur Cnews, le député LREM de la 9e circonscription de l’Hérault, Patrick Vignal, a affirmé trouver tout à fait normal que la nouvelle porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye, ait affirmé en 2017 à L’Express : «J’assume parfaitement de mentir pour protéger le président». Pour le parlementaire, s’offusquer que celle qui doit, selon la définition même donnée par l’exécutif sur son site internet, «défendre, expliquer, promouvoir l’action conduite par le gouvernement», ait admis mentir intentionnellement pour défendre le chef de l’Etat, est problématique.

On va être très clair : s’il faut dire la vérité aux Français, ça veut dire dix ans de sang et de larmes

Après que Clément Viktorovitch, politologue et chroniqueur média s’intéressant à l’analyse des discours politiques, rappelait la sortie de Sibeth Ndiaye, et sa justification – à savoir que la phrase en question avait été sortie de son contexte – Patrick Vignal a souhaité mettre un terme au débat. A l’interrogation : «Est-ce normal de nommer un porte-parole gouvernemental qui a confié utiliser le mensonge pour défendre le président de la République», le législateur a fortement réagi.

Vous voulez que je parle de dossiers importants ? De terrorisme ? Vous voulez dire la vérité aux gens ?

«On va être très clair : s’il faut dire la vérité aux Français, ça veut dire dix ans de sang et de larmes», débute l’ancien adjoint au maire de Montpellier. «Vous voulez que je parle de dossiers importants ? De terrorisme ? Vous voulez dire la vérité aux gens ? Sur le chômage ?», poursuit encore Patrick Vignal.

«Le problème de la politique c’est pas de mentir, c’est de faire des choses», selon le député

Selon lui, l’important est en effet aujourd’hui de «donner une vision d’espérance aux Français». «Le problème de la politique c’est pas de mentir, c’est de faire des choses», illustre-t-il enfin à l’appui de son propos. Partant, Clément Viktorovitch a répliqué se réjouir que «la clarté soit faite ». «Vous venez d’expliquer que non seulement le mensonge ne vous choquait pas en politique, mais que de surcroît il était justifiable quand il s’agissait de donner de l’espoir aux Français plutôt que de leur dire la vérité. […] On voit quel est votre logique politique !»

Une séquence que le chroniqueur a posté sur son compte Twitter, accompagné du commentaire : «Après [Sibeth Ndiaye] qui assumait de mentir pour protéger le président, voilà désormais un député En Marche [Patrick Vignal] qui trouve parfaitement normal de « ne pas dire la vérité » pour « donner de l’espérance aux français ». Très tranquillement. Mais sinon, tout va bien…»

 

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Éducation Nationale : Une loi passée en catimini prévoit la censure des professeurs (Vidéo)

L’ÉTAT VEUT FAIRE TAIRE LES PROFS

Un enseignant s’insurge contre le projet de loi sur l’école !

Ce que prévoit le projet de loi sur l’école, ce n’est rien d’autre que la CENSURE des professeurs et l’INTERDICTION de toute parole critique à l’égard du fonctionnement de l’institution scolaire.

La vidéo invite à une mobilisation contre ce projet de loi et à faire entendre la voix de la SOLIDARITÉ avec le personnel éducatif !

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Arnaud Montebourg ballance tout sur l’Europe

Excellente interview d’Arnaud Montebourg qui dénonce une gestion déloyale de la France et de tous les pays de la communauté européenne.

Tout y passe dans cette interview, démantèlement du pays, le fait de faire payer les frais de la crise aux classes les plus défavorisées et ce mot de la fin : « Vous ne croyez pas qu’il y a un peu de laisser-aller dans ce bazar ? »

Un Arnaud Montebourg qui redonne à la classe politique un peu de crédibilité.

Stéphane Guibert / Finalscape

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Que l’on ne me parle plus de constitution française car elle n’existe plus depuis 2017 (Vidéo)

Un petit rappel pour celles et ceux, politiques ou journalistes qui parlent de la séparation des pouvoirs et de constitution :

Avant toute chose, je vous propose de commencer par la fin :

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.

Que c’est-il passé ?

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1er. janvier 2017.

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

“Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.”

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PRIVATISATION DES BARRAGES : LE CASSE DU SIÈCLE

Source de l’image

« La privatisation des péages, c’est de la gnognote à côté de celle des barrages »

Bien comprendre ce qui se trame est à la portée de tous !

Gilles Balbastre, co-réalisateur du film « Les nouveaux chiens de garde » dénonce l’immense arnaque de la privatisation de tous les barrages hydro-électriques français d’ici 2020 voulue par le régime actuel.

Privatiser le service public c’est donner les pleins pouvoirs aux industriels. Imaginez vous un blackout électrique ! Cela permettrait aux multinationales et à leurs actionnaires de mettre autant de zéros qu’ils le désirent après la virgule.

Privatiser un pays comme le font la Grèce et la France par exemple, c’est jeter en pâture à une oligarchie assoiffée de pouvoir, d’argent et de sang comme cela est le cas en ce moment avec le mouvement « Gilets jaunes » des nations entières.

Il faut bien prendre conscience de ce qui lentement et sournoisement se déroule sous nos yeux égarés par des artifices savamment orchestrés ; il s’agit d’un asservissement mondialisé des populations au nom du néolibéralisme, ce rouleau compresseur sans âme qui ira jusqu’au bout, jusqu’à sa propre destruction tant qu’il aura une miette à se mettre sous la dent !

Un mal autodestructeur et absolu qui n’aura de cesse que d’enfler avant d’éclater !

À présent, il y a celles et ceux qui sont éveillés et qui lutent au péril de leur statut social et parfois même de leur vie comme c’est le cas avec les lanceurs d’alerte, il y a celles et ceux qui, satisfaits par leur sort ne regardent pas là où ça dérange et il y a celles et ceux que la dictature nourrit.

Une belle image de notre civilisation !

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Macron a liquidé l’imprimerie qui fabriquait nos passeports, cartes grises… et billets !

Un fleuron de la France en liquidation judiciaire éclaire ; cette imprimerie avait 400 ans !

L’imprimerie Arjowiggins, de Crèvecœur (cela ne s’invente pas) près de Jouy-sur-Morain  (Seine-et- Marne), est en liquidation judiciaire. Un savoir-faire de 400 ans rayé d’un trait de plume par Bruno Le Maire… Notre patrimoine qui part en fumée, les ouvriers désespérés qui brûlent les rouleaux de papier à filigrane, les machines qui vont être vendues à l’étranger ou en Europe, les détenteurs d’un savoir unique qui vont se retrouver au chômage…

Et c’est un drame pour les 240 ouvriers, et les 500 autres emplois dépendant de l’imprimerie dans la région.

Mais c’est aussi un drame national puisque c’est de là que sortait le papier pour vos passeports, vos cartes grises… papier hautement sécurisé, anti-fraude. Et liquidation d’autant plus incompréhensible qu’il y avait, qu’il y a des clients assurés, le renouvellement de passeports, cartes grises etc. étant un puits sans fond. Le carnet de commandes était plein. D’autant que cette imprimerie fabrique le papier des billets pour pas mal d’autres pays ! Le papier-monnaie  pour les billets d’Arabie saoudite et d’Israël, par exemple, sortait de Crèvecœur !

Dorénavant vos cartes grises seront… fausses puisque imprimées sur du vrai-faux papier, sans le filigrane historique. Et tellement faciles à imiter, histoire de nous voir noyés sous de faux passeports dorénavant fabriqués à l’étranger, en Espagne, par exemple !

Ce papier  qui disparaît, c’est du papier très sensible, et la sécurité était intense, dans cette imprimerie, proche de la défense militaire. D’ailleurs, on n’entre pas dans cette imprimerie comme dans un moulin… il y a du grillage partout, c’est comme des installations militaires. Installation proche de l’installation d’une centrale nucléaire…

Pour Pierre Jovanovic, interrogé dans la vidéo ci-dessous par Martial Bild, ce n’est pas un hasard s’ils ont coulé cette imprimerie ; elle  avait tout ce qu’il fallait pour imprimer, aussi, les nouveaux francs si la France décidait de sortir de la zone euro. Pour Jovanovic, en liquidant cette imprimerie, on supprime à la France toute possibilité de revenir en arrière. Je ne vois pas, comme Jovanovic, de rapport avec les européennes ; même si Macron subissait une défaite cuisante aux élections de mai prochain, cela ne changerait rien, il serait toujours président jusqu’en 2022, et cela n’amènerait en rien une sortie de la France de l’UE. Ce sont deux choses différentes. Mais il n’a pas tort sur le fond. La montée des populistes les inquiète tant qu’ils sont capables de pratiquer la politique de la terre brûlée préventivement, pour compliquer toute sortie de l’euro, dans 3 mois, 3 ans ou plus tard. Macron en est capable. Cela fait partie de ses obsessions, supprimer toute possibilité de sortir de l’UE et de l’euro.

Pierre Jovanovic nous fait remarquer une anomalie criante. Cette imprimerie, d’intérêt public s’il en est,  n’a jamais été nationalisée ! Au contraire. Elle appartenait au groupe Sequana (banque Worms) qui l’avait vendue à un fonds d’investissement suisse qui avait promis d’investir, de mettre plusieurs millions d’euros sur la table, euros qui ne sont jamais arrivés… Or, l’État était devenu actionnaire majoritaire dans la banque Worms en 2012…

La liquidation judiciaire a été délibérément et formellement organisée par l’État français, par Bruno Le Maire, ministre de l’Économie de Macron… une liquidation décidée et actée en 5 minutes. Du jamais vu de mémoire d’homme… Une liquidation, comme le rappelle Jovanovic, ça dure, on temporise, on commence par licencier, par chercher des solutions, ça peut durer des mois, voire des années. Dans le cas qui nous occupe, 5 minutes.  Et que les services sociaux s’occupent des employés mis à la rue. Les caisses de l’imprimerie ont été soigneusement vidées avant que la liquidation ne soit annoncée…

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Politique : Les brigands sont au pouvoir

Agnès Saal, haut fonctionnaire, jugée puis condamnée en 2015 pour détournement de fonds public  avec 3 mois de prison avec sursis, 4’500 € d’amende, 3’000 € de dommages-intérêts ainsi que 6 mois de suspension.

Elle a été ensuite réintégrée puis promue. D’une part, on la nomme haut fonctionnaire de plus, on la nomme rétroactivement pour avoir une promotion financière qui élève son salaire à plus de 6’000 €, cela lui permettant de bénéficier d’une retraite plus élevée.

Cela démontre l’environnement d’Emmanuel Macron dans lequel de nombreuses personnes sont inquiétées puis ni vu, ni connu reviennent au pouvoir sur la pointe des pieds. C’est ce que l’on appelle la politique de l’ancien monde, celle  des copains et des coquins.

Stéphane Guibert / Finalscape

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La dette ne sert qu’à enrichir les banques

Est-il nécessaire de rappeler que depuis le Traité de Maastricht en 1991, le financement de l’État par la banque de France a été interdit. La France comme tous les pays de la zone Euro doivent se financer auprès des banques privées avec des taux d’intérêts élevés. Pour rembourser les intérêts de cette dette, la France doit emprunter à nouveau, c’est le serpent qui se mord la queue.

Stéphane Guibert / Finalscape


Et pour rappel :

La dette : Ce qui fait marcher l’économie aujourd’hui, c’est la dette. 

Comment cela marche-t-il ?

Vous demandez un crédit de 20’000 Euros à votre banque  pour l’achat d’une voiture et votre banquier vous l’accorde ; comment cela fonctionne-t-il ?

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Gilets jaunes : La France et l’Union européenne en résumé

Au fur et à mesure que le mouvement des Gilets jaunes progresse, les consciences se réveillent et les infos, (les vraies) font surface et circulent.

Pourquoi tant d’impunité vis à vis de la répression et des violences commises par les forces de l’ordre ?

Parce que depuis le 1er janvier 2017, le pouvoir judiciaire, l’un des trois pouvoirs est passé sous le contrôle du pouvoir exécutif, ce qui donne à ce dernier une totale impunité. Ce décret porte le numéro : 2016-1675.

Pourquoi les forces de l’ordre tuant des manifestants ne sont-elles pas inquiétées, jugés et condamnés par un tribunal ?

Parce que la peine de mort a été réinstaurée partout en Europe en cas d’émeutes ou d’insurrections.

Texte du journal européen disponible ici >>>

Téléchargeable ici >>>

La France est-elle une démocratie ?

Non ! Parce selon l’article 16 de la charte des droits de l’homme, un pays qui n’assure pas la séparation des trois pouvoirs n’a point de constitution et par définition, un pays n’ayant pas de constitution n’est pas une démocratie.

En France, nous parlons de monarchie ou de dictature « molle » mais pas de démocratie.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Société française : À 80 ans, elle fait les poubelles pour se nourrir et nourrir ses pigeons

Ils sont des centaines, ces retraités laissés pour compte par la société et qui pour survivre doivent faire les poubelles.

Renée, (nom de substitution) qui pourrait être votre mère, votre grand-mère ou arrière grand-mère touche une retraite de 180 € par mois. Elle fait des poubelles publiques son supermarché. Elle y vient régulièrement se ravitailler pour manger et pour nourrir ses compagnons, les pigeons.

Cela jure avec le faste et le « bling-bling » que les élites toujours plus méprisantes du petit peuple exhibent sans complexe devant les caméras des médias complaisants.

Jusqu’où iront l’indécence, la provocation et l’injustice ?

Stéphane Guibert / Finalscape

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