Environnement : La face cachée des énergies vertes
Ces 5 derniers jours, nous recevons une pluie de réactions concernant le documentaire « La face cachée des énergies vertes » diffusé sur Arte et une vidéo du même ton de France Info. Etant donné l’ampleur de notre enquête réalisée pour « A Contresens », nous répondons à vos sollicitations avec cette vidéo.
Ce documentaire de Guillaume Pitron et Jean-Louis Pérez manque effectivement d’objectivité, utilise des sources qui ne sont plus d’actualité et délivre un message qui crée beaucoup de confusion.
Les informations que vous trouvez dans la vidéo ci-dessous peuvent être vérifiées avec notre application Prove-It app sur le Play Store ou l’Apple Store.
Couvrir les autoroutes suisses de panneaux solaires et remplacer à terme le parc nucléaire, c’est l’ambition de la société zougoise Servipier. Un projet pilote pourrait voir le jour d’ici 2020 en Valais, a appris la RTS.
Servipier a signé le 22 août une convention avec l’Office fédéral des routes (OFROU). Cette étape était cruciale en vue de la mise à l’enquête, espérée ces prochains mois, de ce premier projet. Dans l’idéal, les travaux pourraient débuter à l’automne 2019 et durer huit mois. Leur coût est estimé à 50 millions de francs, entièrement financés par le secteur privé.
Concrètement, il s’agit d’ériger une structure métallique au-dessus de l’autoroute A9 à Fully, en Valais, sur pas moins de 1,6 kilomètre. Celle-ci serait ensuite recouverte de près de 37’000 panneaux solaires, qui permettrait de produire 19 GWh par an, soit la consommation d’environ 20’000 personnes.
L’ensoleillement généreux du Valais semble avoir été un critère important dans le choix de Servipier, tout comme la présence d’un long bout droit d’autoroute à Fully. Par ailleurs, la vallée du Rhône étant propice à la production d’énergie éolienne, les infrastructures pourraient également récupérer cette énergie. Enfin, la proximité d’installations hydroélectriques permettrait de créer des synergies.
Sécurité des usagers assurée
Avec ce concept, Servipier a des ambitions mondiales. Rien qu’en Suisse, selon la société zougoise, il serait possible d’exploiter de la sorte quelque 750 kilomètres d’autoroutes. Deux autres projets sont au stade du développement en Suisse alémanique et n’ont pas encore été présentés à l’Office fédéral des routes, note l’entreprise.
Interrogé par la RTS, Jean-Bernard Duchoud, vice-directeur de l’OFROU, confirme l’intérêt de la Confédération. Selon lui, il s’agit d’un projet novateur qui s’inscrit parfaitement dans le cadre de la stratégie énergétique 2050. Le tronçon sera mis à disposition par Berne, mais aucune subvention n’est prévue. La procédure de mise à l’enquête sera de l’ordre du canton.
Selon l’OFROU, les garanties nécessaires en termes de sécurité des usagers de la route ont été fournies. Le directeur de Servipier Laurent Jospin, ingénieur établi à La Chaux-de-Fonds, précise d’ailleurs que c’est la raison pour laquelle les coûts du projet sont aussi élevés.
Azère, Suisse, la plus grande centrale à pallets d’Europe.
Markus et Albert, deux amis de longues dates, ce sont mis en quête de remplacer les millions de litres de mazout nécessaires à la chauffe de la station par des pellets produits dans la région.
Nikola Tesla, l’un des inventeurs les plus extraordinaires de tous les temps est né dans la nuit du 9 au 10 juillet 1856 à Smiljan (Croatie) dépendant alors de l’Empire austro-hongrois. Il mourut pauvre, quasiment oublié, le 7 janvier 1943.
Entre temps, il fut l’un des chercheurs les plus attachants, les plus inspirés, l’un des esprits les plus féconds de toute l’humanité, et sans doute le plus « fou » au sens noble du terme.
Auteur de près de 1000 brevets traitant de l’énergie électrique, de sa production et de sa conservation, récipiendaire de quatorze doctorats des universités du monde entier et maîtrisant 12 langues, cet homme qui éclaira le monde, s’éteignit après avoir connu tour à tour la gloire, la fortune, la jalousie, l’incompréhension, les moqueries et le discrédit.
Sa vie de géant de la science, fut celle d’un météore, d’une étoile filante, d’un astre éblouissant disparaissant dans un trou noir. Après avoir illuminé la terre, éclairé les hommes, cet inventeur et prophète, mourut à la lueur sinistre d’une guerre sans merci, avec le sentiment pathétique de voir son œuvre pillée, profanée et pour l’essentiel : incomprise.
Comprenons bien une chose, Tesla est loin d’être le seul inventeur de génie à avoir fini dans l’oubli. Tous les grands inventeurs œuvrant pour l’intérêt des peuples ont subi un sort plus ou moins similaire.
Tous les conflits, toutes les famines sont directement liés aux intérêts de lobbyistes, de spéculateurs et de familles riches, peut voir pas scrupuleux du tout.
En revanche, la fabuleuse invention qu’est l’Internet nous permet aujourd’hui d’ouvrir tout grand les yeux, de nous éveiller et de nous émanciper afin de sortir de cette arnaque qu’est devenue notre société.
Qu’attendons-nous ?
Pour terminer et pour complément d’info, je vous renvois sur l’article publié sur ces pages concernant la prohibition du chanvre :
Un exemple concret d’énergie transmise sans fil. (La vidéo vient des pays de l’Est.
Un autre essai.
Un très bon document sur Nicolas Tesla où on fait le lien entre ses inventions et le projet H.A.A.R.P. Ce document qui est en espagnol est sous-titré en français.
Mis au point par la firme Phillips le moteur Stirling, révolutionnaire, non polluant et très économique dort encore dans les cartons.
Ce moteur qui accepte tous les carburants ne pollue presque pas et sa consommation est inférieure de moitié aux moteurs actuels. Le moteur Stirling est un moteur à air chaud dont le brevet a été déposé par le révérant écossais Robert Stirling en 1816, soit 50 ans avant le moteur à 4 temps et 80 ans avant le moteur Diesel.
Ce moteur fonctionne grâce un système de pompage d’air.
Le moteur Stirling a un rendement de 40% contre un rendement 20% pour les moteurs à 4 temps ou les moteurs Diesel.
Le moteur Stirling ne réclame qu’une source de chaleur et n’importe quel combustible convient mais le carburant le plus omniprésent et surtout gratuit est le soleil bien sûre.
L’étude de ce projet a démarré en 1938 dont l’objectif était de fabriquer des groupes électrogènes pour les radios et les télévisions. Mais en 1950, l’invention du transistor permet de construire des radios fonctionnant sur piles consommation oblige.
Désormais, la firme Philips ne se penche plus que sur des applications telles que les réfrigérateurs ou la pompe à chaleur.