Coupures dans les budgets au nom de la récession, une manière de conjuguer économies avec censure.
La journaliste Elise Lucet une fois de plus mise sur la sellette pour avoir dévoilé la vérité.
Des dizaines d’heures de reportages, des risques inconsidérés, des données sensibles dévoilées au grand public, public qui reste trop souvent sans réagir, inerte, sans même reconnaitre la manne en réinformations qui s’offre à lui…
On est dans quel monde là ?
Je vais vous le dire :
« Elise Lucet est de nouveau mise en examen ? C’est… On est dans un monde, c’est une petite réaction directe. Bon, de toute façon tout le monde sait que j’aime Elise Lucet. Il faut lui apporter un soutien permanent, parce que c’est pas quand on ne l’aura plus qu’on dira, du temps où le service public avait Cash Investigation et tout ça… On aime bien pleurer et regretter au passé, souvent.
Là, il y a quelque chose qui se fait et qui est formidable au présent et il faut l’utiliser comme une arme politique au présent. Mais on est dans un monde, où, souvent, le vice est récompensé et la vertu punie. Et, là, ils ont honte de rien. Ils ont honte de rien ces multinationales. Il faut pas seulement qu’ils gagnent sur le terrain financier, avec 1% de l’humanité qui détient plus de richesses que le 99% restant, mais il faut qu’ils gagnent aussi sur le terrain de l’esprit. Il faut qu’ils nous imposent le silence. »
Dans le monde, le business du coton pèse près de 37 milliards d’euros de chiffre d’affaires chaque année.
En Asie, au Bangladesh, en Inde, Sandrine Rigaud est partie enquêter sur la face sombre de cet or blanc. Dans les filatures du Bangladesh notamment, des ouvrières – souvent très jeunes – vivent et travaillent dans les usines comme des prisonnières. Des situations sur lesquelles de grandes enseignes françaises semblent fermer les yeux. Un nouveau label promet aussi un coton plus équitable et respectueux de l’environnement. Mais il n’y a aucune traçabilité. Plus grave, il est en train de mettre en péril la filière du coton bio qui propose une fibre textile sans pesticides.
Coton : L’envers de nos tee-shirts (Extrait)
Coton : L’envers de nos tee-shirts (Intégrale)
De retour d’Ouzbékistan après y avoir enquêté sur les usines de coton, Sandrine Rigaud, la journaliste de « Cash Investigation » (Facebook, Twitter, #@cashinvestigati), a rendez-vous dans un café à Paris avec le patron belge d’une usine implantée sur place. Avant son arrivée, l’équipe du magazine présenté par Elise Lucet a installé quelques caméras cachées.
Elle joue le rôle d’une acheteuse française intéressée par les produits made in Ouzbékistan fabriqués dans son entreprise. « Voilà mes derniers produits. J’ai pris ‘small’. Ça devrait être bon’… », dit l’homme d’affaires en posant sur la table des échantillons 100% coton choisis à sa taille. « Oh, merci, c’est gentil », répond l’enquêtrice. Et la conversation démarre sur le travail forcé constaté en Ouzbékistan.
« Si ce n’est pas chercher des ennuis, ça… »
Le patron répond : « Invention de journalistes ! Il faut toujours faire attention avec eux. Il y en a qui sont venus en Ouzbékistan avec un visa touristique pour voir comment cela se passait… et ils se sont fait attraper. Ils sont avec un visa touristique et entrent illégalement dans une usine… et on voit qu’ils ont des appareils photo et que ce sont des journalistes ! » A noter que ce patron pense s’adresser à une cliente… qui est en fait une journaliste entrée en Ouzbékistan avec un visa touristique avant de se faire arrêter !
« Vous connaissez… Lise… euh, comment elle s’appelle ? lui demande-t-il. Une journaliste qui travaille sur France 2 ou France 3 ? Lise… Lise… Elise ou Lise ? Celle qui fait tous les grands reportages et qui est très pertinente ? Une blonde avec des cheveux très courts… » Impossible de ne pas connaître, cela paraîtrait louche : « Elise Lucet ? D’accord… Ah, oui, oui… » Le patron précise sa pensée : « Elle est très… Elle est très… Elle en a énervé plus d’un. Si ce n’est pas chercher les ennuis, ça, c’est quoi ? »
Petite huitaine de repos, vacances bien méritées pour moi, (Finalscape / Stéphane Guibert) où je vais probablement rester dans mon « quartes murs et un toit » (oui, j’ai cette chance, j’ai un toit) pour me remettre en question et méditer.
Toutefois, je vous rappelle que les journalistes d’investigations n’ont de cesse que de dévoiler la vérité, ce qui sera un sujet prépondérant la semaine prochaine.
En attendant, Une Elise Lucet de France Télévision, Cash Investigation, plus déterminée que jamais pour la vérité, sollicitant les hackers en leur disant que la liberté d’informer est extrêmement importante et que si on ne se mobilise pas tous et tout le temps, les multinationales vont gagner parce qu’elles ont énormément de moyens, des batteries d’avocats et qu’elles sont en mesure d’influencer toutes les procédures judiciaires en cour.
Achèteriez-vous du jambon ou toutes autres charcuteries dont la couleur est grise avec quelques reflets verts ? Non bien sur et les industriels de la charcuterie le savent très bien. C’est la raison pour laquelle notre bon jambon tout rose contient un ingrédient essentiel, le Nitrite de Sodium (Additif e250) qui donne à la viande cette couleur rose si « appétissante » pour le consommateur, vous et moi.
Le problème avec cet aditif, c’est qu’il est au cœur d’un enjeu sanitaire très important. Il est suspecté de jouer un rôle dans le développement du cancer colorectal, le troisième cancer le plus mortel. C’est un phénomène qui se déroule durant la digestion. En avalant un morceau de charcuterie, les molécules de nitrite vont réagir avec les protéines de la viande. Elles vont avoir tendance à se transformer en substances très dangereuses, les nitrosamines qui sont connues pour causer des dommages dans le gros intestin. Cela peut provoquer des ruptures de l’ADN ou faire muter les cellules en cellules pré-cancéreuses.
Si la viande ne contenait pas cet additif le nitrite, cela correspondrait à plusieurs milliers de cancers en moins en Europe chaque année.
Cependant, les industriels on un argument de masse en faveur du nitrite, c’est son rôle contre le botulisme. Il s’agit d’une bactérie qui s’attaque au système nerveux et qui peut s’avérer être mortelle. Toutefois, des industriels qui fabriquent de la charcuterie sans nitrite ça existe comme au Danemark par exemple et les clients qui consomment la viande sont en pleine forme. Il y a 25 ans qu’un bio chimiste fabrique de la charcuterie sans nitrite et depuis, les autorités de santé publique n’ont recensé aucun cas de botulisme lié à la charcuterie. Le botulisme était un souci dans l’industrie de la viande il y a un siècle, alors que les usines et les abattoirs n’étaient pas aussi propres qu’aujourd’hui, cette bactérie n’affecte plus personne de nos jours.
A la question du PDG de Herta France, (Filiale du groupe Nestlé), est-ce que la fabrication de charcuterie sans nitrite serait possible ?
« C’est extrêmement dangereux, je ne le ferai jamais, je ne prendrai jamais cette responsabilité si je n’ai pas 100% de certitude que je n’aurai pas de cas de botulisme. »
Si l’on compare le nombre de cas de botulisme chez les consommateurs qui mangent de la viande sans nitrite et le nombre de cancers chez ceux qui consomment de la charcuterie au sel nitrité, il n’y a pas photo.
« C’est aux consommateurs qu’il incombe de faire plier les industriels car si la viande au Nitrite de Sodium existe, c’est qu’il y a une forte demande et c’est par nos gestes de tous les jours que nous arriverons à vivre dans un monde plus propre, plus respectueux de la vie et de l’environnement ; donc meilleur pour nous. »
Où se procurer des produits sans additif en France :
Terres de Roussillon :
Nos charcuteries sèches sont fabriquées dans la plus pure tradition : Saucissons sont composés de 90% de viande maigre et 10% de gras de bardière.
Tous nos produits ne contiennent NI salpêtre, NI ferments, NI sel nitrité Ni rien d’autres que nos ingrédients 100% naturels ET Bio.
Pour un goût incomparable!!!
Ils sont emballés sous vide pour une conservation optimale de la qualité du séchage! Vous les dégustez comme à la sortie du séchoir!
Possibilité de commander en ligne.
Où se procurer des produits sans additif en Suisse :
Tous les produits sont certifiés « Bio » et sans sel de nitrite. Possibilité de commander en ligne.
Beaucoup de producteurs locaux ce sont mis au « Bio » que ce soit en France, en Suisse ou en Belgique et c’est l’occasion pour nous, consommateurs de soutenir des entreprises locales tout en contribuant à la protection et au respect de notre environnement.
Voici un petit montage de l’émission « Cash investigation » qui vous relate tout cela en images.
Et voici l’émission dans son intégralité.
Et pour rappel :
Plus le jambon est rose, plus il faut se méfier !
La couleur naturelle du jambon c’est pas le rose ! Le jambon de Paris doit être gris-blanc. Le rose est en réalité une substance dangereuse. C’est à cause du nitrite que le jambon devient rose et c’est à cause du nitrite que cet aliment devient cancérogène.
Alors pourquoi continuer à manger du rose ?
La même question se pose pour les knacks. Il est invraisemblable de donner aujourd’hui aux enfants des saucisses Knacks traitées aux nitrites.
J’ai passé 5 ans à fouiller les archives médicales et administratives, que ce soit en France, aux Etats Unis ou en Allemagne. Ce que j’ai découvert, c’est qu’en fait le nitrate et le nitrite qui sont présentés comme des ingrédients qu’on utilise pour protéger le consommateur sont en fait des ingrédients qui sont utilisés afin d’avantager les fabricants, pour accélérer la fabrication ce qui est caché au grand public. Ce que les fabricants disent, c’est que le nitrate et le nitrite ne sont pas dangereux et même que ces ingrédients nous protègent. Ceci est un mensonge ! Et c’est un mensonge d’autant plus intolérable que maintenant, toutes les instances sanitaires reconnaissent et affirment que les charcuteries nitrées sont particulièrement cancérogènes.
Les charcuteries ont été classées, fin 2015, après 30 ans d’études épidémiologiques, en catégorie 1 des substances cancérogènes. C’est le seul aliment qui fait partie de cette catégorie.
Un établissement parisien va tester dès l’an prochain un système de surveillance électronique des enfants grâce à une puce intégrée à leurs vêtements.
Comment surveiller plusieurs dizaines de bambins dans une crèche sans faire appel à une multitude d’auxiliaires de puériculture? Grâce aux puces intelligentes! Pour la première fois en France et en Europe, une crèche parisienne expérimentera, dans le courant du premier semestre 2011, le contrôle électronique sans fil de ses petits pensionnaires. Chaque enfant accueilli dans l’établissement, vraisemblablement une structure d’accueil associative, privée ou d’entreprise, mais pas municipale, sera équipé d’une puce radio sans fil reliée à un centre de contrôle vidéo.
Réactions indignées
« L’expérimentation, menée pour le compte d’une grande société d’assurances, vise à valider l’efficacité du système du point de vue de la sécurité des enfants, explique Patrick Givanovitch, PDG de l’entreprise Lyberta, conceptrice du projet. Nous installerons des sondes un peu partout dans la crèche pour établir une cartographie complète du lieu. Grâce à la puce portée par chaque enfant (NDLR : insérée dans un vêtement spécialement fourni), il sera possible de savoir instantanément si l’un d’entre eux quitte la crèche. La direction de la crèche sera immédiatement alertée, tout comme les parents, par SMS sur leurs téléphones portables. » Aussi novatrice soit-elle, l’arrivée d’un tel système se heurte déjà à de fortes oppositions.
Pour Dominique Ratia-Armengol, présidente de l’Association nationale des psychologues de la petite enfance, l’idée est « tout simplement effrayante ». « Enfermer les enfants dans une cage virtuelle, c’est créer des conditions de méfiance et d’angoisse inutile face à un danger qui n’existe pas. C’est également déresponsabilisant en coupant les liens avec les adultes à l’écoute et formés pour éduquer et établir une relation de confiance avec eux. »
Même réaction indignée de Maria Da Costa Pereira, auxiliaire de puériculture à Paris et responsable syndicale CGT : « C’est la porte ouverte à des économies énormes de personnel au détriment d’une relation humaine essentielle avec des adultes professionnels. D’autant qu’il n’y a pas besoin de sécuriser électroniquement des crèches qui sont déjà des lieux fermés et absolument sans risque de fugue… »
L’article remonte à 2010 et je vais voir ce qu’il en est aujourd’hui concernant notamment la crèche dont il est question.
En marge de la diffusion d’un sujet de Cash Investigation sur les conditions de travail dans ses centres d’appels, Free préparerait le départ de trois directeurs d’entre eux.
Jamais Free n’aura été mis en telle difficulté médiatique. L’émission Cash Investigation, diffusée mardi soir sur France 2, a apporté de nouveaux éléments sur les conditions de travail dans les centres d’appels de l’opérateur détenu par Xavier Niel. Dans celui de Colombes, un débrayage de trois heures en 2014 aurait entraîné le placement du site en “sensible” et le gel des recrutements depuis ce jour (ce qui entraînerait à terme la fermeture du site). On y apprend que la moindre faiblesse ou la moindre contestation est réglée à grands coups de licenciements pour faute grave. Face caméra, un ex-salarié déclare avoir été nommé pour établir une “liste noire” des fauteurs de troubles.
Cash Investigation a également visité un centre d’appels au Maroc ayant traversé une période de plusieurs jours de grève en 2012. Un e-mail interne, dont l’émission s’est procurée une copie, cite Angélique Gérard, en charge des 6.000 salariés des centres d’appels, qui promet de “liquider” les contestataires du site. Un autre entretien présente un ex-vendeur Free licencié pour “fraude” après avoir réclamé de meilleures conditions de travail (notamment des vêtements plus chauds). Ces cas sont parmi les plus notables de l’émission, mais d’autres sont aussi évocateurs. Une séquence montre ensuite le PDG de Free Maxime Lombardini perd son sang froid lors d’une interview avec Élise Lucet.
VAGUE DE DÉPART CHEZ LES DIRECTEURS DE CENTRES D’APPELS
Coïncidence (ou pas) de la diffusion de l’émission, l’hebdomadaire Politis annonce mercredi que trois directeurs de centres d’appels devraient quitter leurs postes d’ici quelques jours. C’est le cas de celui de Colombes qui occupe une place centrale dans Cash Investigation. Celle de Vitry a quitté Free le 31 août et celui de Marseille le fera le 1er octobre.
Ce n’est pas la première fois que Free est épinglé pour la gestion sociale de son entreprise. Politis a publié en mai 2016 une grande enquête sur le centre d’appels de Marseille, dévoilant que 45 salariés étaient fichés par le service des ressources humaines et progressivement poussés vers la sortie, avec des appréciations du type : “dossier à construire pour faute”, “à négocier départ”, “semble usé, à creuser conjointement avec RH” ou même “risque CPH [cour des prud’hommes] fort et très onéreux à voir pour transac.”
Xavier Niel s’était exprimé l’an dernier dans le bi-hebdomadaire Society sur les conditions de travail dans ses Free Centers. Il avait déclaré avec son franc-parler habituel : “Les salariés dans les centres d’appels, ce sont les ouvriers du XXIe siècle. C’est un métier horrible. Le job qu’ils font, c’est le pire des jobs. Je m’intéresse aux activités qui m’intéressent. Est-ce que les centres d’appels de chez Free sont une activité qui me passionne ? Non.”
Cash investigation : la ministre du Travail Muriel Pénicaud s’embourbe face à un licenciement abusif
Invitée ce mardi 26 septembre sur le plateau de Cash investigation, l’émission d’Elise Lucet sur France 2, la ministre du Travail Muriel Pénicaud s’est totalement embourbée quand la journaliste lui a présenté les conséquences de sa réforme par ordonnances du code du travail pour Nelson, victime d’un licenciement abusif.
De la théorie à la réalité. Invitée ce mardi 26 septembre sur le plateau de Cash investigation sur France 2, la ministre du Travail Muriel Pénicaud s’est trouvée confrontée aux conséquences concrètes de sa réforme par ordonnances du code du travail. Au terme du reportage du jour, intitulé « Travail, ton univers impitoyable », Elise Lucet lui a en effet présenté le cas de Nelson, l’un des intervenants du reportage, salarié viré par Free après moins d’un an d’ancienneté et dont le licenciement a été jugé abusif par le tribunal des prud’hommes.
N’ayant pas respecté le droit du travail, Free a été condamné par les prud’hommes à verser 6 mois de salaire à Nelson, explique la journaliste. Soit 10.800 euros. Cela, c’est le système actuel. Mais dans le futur à la sauce Macron, les indemnités prudhomales pour licenciement abusif seront justement plafonnées par les ordonnances de Muriel Pénicaud. Combien Nelson touchera-t-il alors, demande Elise Lucet ?
Muriel Pénicaud sort les rames
C’est alors que la ministre va s’empêtrer dans ses tentatives d’esquive. « Ça dépend de l’ancienneté et ça dépend du motif », démarre Muriel Pénicaud. Sauf que ça ne « dépend » pas du tout puisque le cas qui lui est soumis est très précis… Motif : licenciement abusif. Ancienneté : moins d’un an. « Vous n’avez pas une réponse un peu plus précise ? », relance la présentatrice de Cash. « Mais non mais ça dépend », maintient la ministre.
La réponse viendra donc de l’intervieweuse : dans le nouveau système, Nelson touchera à peine un mois de salaire en indemnités, c’est-à-dire 1.800 euros. Soit six fois moins que ce qu’il a touché dans le système actuel. « Le plancher est à trois mois donc c’est pas possible », objecte alors Muriel Pénicaud d’un ton péremptoire. Sauf que justement, non : ses ordonnances ne prévoient pas ce plancher si le salarié abusivement licencié a moins d’un an d’ancienneté, ce qui est le cas de Nelson.
« Sauf si le juge considère qu’il y a une discrimination », tente encore Muriel Pénicaud. Mais encore une fois, non, Nelson n’a pas été discriminé : son employeur l’a juste licencié illégalement. Il ne touchera donc qu’un mois d’indemnités. Mais cela, la ministre du Travail a manifestement du mal à l’assumer…
Travail : ton univers impitoyable – Cash investigation (intégrale)
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Travail : ton univers impitoyable – Cash investigation (intégrale)
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Les chiffres sont alarmants : un quart des salariés va travailler avec la boule au ventre, plus d’un tiers affirme avoir fait un burn-out et 43 % ressentent des douleurs à cause de leur métier. Derrière le succès de certaines grandes entreprises se cachent parfois des méthodes de management ravageuses. Lidl, enseigne majeure de la grande distribution, est sortie du hard-discount en bouleversant le fonctionnement des magasins comme des entrepôts. A quel prix ? Enquête chez Free, auprès des salariés employés dans les centres d’appels, les «ouvriers du XXIe siècle», selon Xavier Niel, son dirigeant.
Après la polémique sur les vaccins, voici un trésor de reportage signé Elise Lucet et toute l’équipe de Cash Investigation dont le sujet va vraisemblablement en faire bondir beaucoup.
Peut-on faire confiance à son médecin ?
Si le sujet vous intéresse et j’espère que cela sera le cas, vous vous rendrez compte si cela n’est pas encore fait chez certains d’entre vous que les multinationales de la pharmacom n’en ont que faire de votre santé. Leur principal objectif est de faire un maximum d’argent pour engraisser des actionnaires toujours plus avides d’argent et de pouvoir.
Préambule du reportage :
Aujourd’hui, pouvons-nous encore faire confiance aux diagnostiques de nos médecine ?
Non, il n’y a plus de confiance qui tienne !
Pour avoir des marchés aussi gros que possible, les laboratoires font la promotion de maladies qui touchent presque tout le monde. Ils gagnent beaucoup plus d’argent en faisant cela qu’en fabricant des médicaments pour des maladies sérieuses mais qui concernent beaucoup moins de gens. Si vous vous intéressez à ces maladies dont les labos parlent sans arrêt, ce sont en général des maladies mal définies, des maladies qui touchent principalement des gens normaux et au final, ils parviennent à faire croire à une large partie de la population qu’elle peut être victime de ces maladies et ainsi, le marché s’agrandit.
Parfois, ils créent des maladies de toutes pièces, parfois ils étendent le périmètre des maladies. De toutes façons, le marché s’agrandit.
Des laboratoires allant toujours plus loin, allant même jusqu’à baisser leurs seuils de diagnostiques. Leur but, traiter le plus de patients possibles, le plus longtemps possible.
Une étude faite sur la population américaine montre comment en changeant la virgule ou un chiffre d’un seuil, le nombre de patients augmente considérablement.
Autrefois on était diabétique au delà de 140 milligrammes par litre de sang mais en 1997, un comité de l’O.M.S a abaissé le seuil à 126 du coup, 1’700’00 américains supplémentaires sont catalogués comme diabétiques.
en 1998, le seuil passe de 240 à 200, soit 42’600’000 patients de plus autrement dit, 86 % de clients en plus pour les firmes pharmaceutiques.
Il est grand temps de se rendre compte que le monde dans lequel nous évoluons n’est basé que sur la duperie, le mensonge et la corruption et les générations vivant aujourd’hui sont le dernier rempart de la résistance qui doit résolument faire front à cette saloperie qui est en train de détruire notre planète dans le seul but de faire toujours plus de profit sur le dos des esclaves que nous sommes !
Cash Investigation : Les vendeurs de maladies (Extrait)
Cash Investigation : Les vendeurs de maladies / Intégrale
Sur Youtube
Le serment d’Hippocrate
Au moment d’être admis(e) à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité.
Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux.
Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J’interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l’humanité.
J’informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences.
Je ne tromperai jamais leur confiance et n’exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences.
Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire.
Admis(e) dans l’intimité des personnes, je tairai les secrets qui me seront confiés. Reçu(e) à l’intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les moeurs.
Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément.
Je préserverai l’indépendance nécessaire à l’accomplissement de ma mission. Je n’entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés.
J’apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu’à leurs familles dans l’adversité.
Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque.
Entre 2013 et 2014, le nombre d’actes antisémites a doublé. Une vidéo est apparue sur Internet. Un journaliste Israélien filmé en caméra cachée marche dans Paris avec une kipa. cette vidéo montre sur son passage, des crachats et des injures.
Les agressions et les insultes sont-elles devenues monnaie courante ? Est-ce la réalité que vivent les juifs de France ?
J’ai voulu savoir; alors j’ai mis une kipa, j’ai marché dans les rues et les cités et voici ce que j’ai vu :
Extrait d’un reportage réalisé par le magazine « Envoyé spécial » qui tente à démontrer une réalité toute autre.
La propagande sioniste une méthode bien rodée tout comme l’a été et l’est d’ailleurs toujours l’industrie de l’holocauste dont je ressortirai l’article sous peut.
Cet article qui avait déjà été publié sur l’ancienne version du site est donc un rappel.