Olivier Delamarche : La crise économique qui nous vient dessus sera plus meurtrière que toutes les pandémies

Olivier Delamarche : La crise économique qui nous vient dessus sera plus meurtrière que toutes les pandémies !

La crise de 2008 était une « crisette » en comparaison de ce qui nous attend et le coronavirus en sera le prétexte !

Loin de moi l’intention de vous faire peur car les médias s’y emploient déjà très bien, mais être réaliste c’est déjà se donner la possibilité de parer aux coups et de minimiser les dégâts.

Entretien avec l’économiste le plus censuré par l’Establishment sur les réseaux sociaux pour sa lucidité et la vérité qu’il proclame depuis des années : Olivier Delamarche.

Merci à RT France pour cette vidéo >>>

Stéphane Guibert / Finalscape

Crédit vidéo : RT France

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Crise économique sous couvert de crise sanitaire et état d’urgence : ce qui nous attend

Crise économique sous couvert de crise sanitaire et état d’urgence : ce qui nous attend à court terme

Une guerre est déclarée mais ce n’est pas contre un virus, c’est contre nous.

Idées noires ? et je suis encore optimiste !

Dans les mois qui vont suivre, la finance sera moribonde et sous prétexte de luter contre les épidémies, l’argent liquide sera prohibé et plus la crise financière s’enfoncera, plus des mesures drastiques seront prises.  Un gel préventif de nos avoirs bancaires sera mis en place ceci afin d’éviter un bank run. Ils nous laisseront retirer de notre compte en banque ce qui nous est nécessaire pour survivre et ce, si nous sommes bien gentils avec le système.

Les banques en faillite se serviront sur nos comptes. Non, vous ne rêvez pas, cela a été acté par l’UE en 2018 :

Pour rappel :

« Bruxelles discute très sérieusement d’un gel préventif des comptes afin d’éviter les Bank Run et qu’en cas de faillite, une banque peut désormais se saisir de vos avoirs et ce, dans un cadre tout ce qu’il y a de plus légal. De plus, la garantie que les comptes en banques d’un montant inférieur à 100’000.- Euros soit hors de danger est utopiste pour la simple et bonne raison que le fond de garantie prévu à cet effet par l’U.E n’excède pas les 65 milliards d’Euros pour toute l’Europe alors que rien qu’en France, l’épargne atteint déjà 100 milliards d’Euros.

N’oublions pas non plus cette directive européenne passée en catimini qui prévoit la fin du cash à partir de 2018 ! »

Cette crise sanitaire n’est là que pour pour faire de l’ombre à la crise financière qui sera nettement plus meurtrière que le coronavirus lui-même.

Les médias s’appliquent aujourd’hui pour instaurer une panique mondiale et une hystérie collective sans précédent ceci afin de nous occuper le cerveau et nous empêcher de voir ce qui se trame réellement.

Des économistes dignes de ce nom nous mettent en garde depuis des années. Ils ont été censurés. Exemple : Olivier Delamarche.

Quant la première vague aura fait son lot de victimes, une dictature planétaire se mettra en place. C’est ce que nous appelons aujourd’hui : le nouvel ordre mondial.

La suite, je n’en sais rien mais tout cela ne prévaut rien de bon pour nous, les peuples.

Je ne suis pas Nostradamus mais je vois simplement clair dans ce qui est en train de se produire sous nos yeux complètement aveuglés par un système mortifère qui est tout simplement en train de jouer son va-tout.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Coronavirus : Non, on ne sait pas encore si c’est la plus grosse épidémie du siècle ! Mais c’est certainement la plus grosse ARNAQUE du siècle !

Corona virus, on ne sait pas encore si c’est la plus grosse épidémie du siècle !

Mais c’est certainement la plus grosse ARNAQUE du siècle !

Ce qu’on vous cache grâce à l’écran de fumée de l’épidémie, c’est l’effondrement économique mondial qui arrive !
Cette épidémie va servir de faux PRETEXTE idéal pour « expliquer » la crise financière mondiale qui va éclater.
Cet effondrement économique mondial bien pire que 2008 va avoir des conséquences bien plus dramatiques sur tous les Français que l’épidémie.

Les merdias vont rejeter la faute sur un virus qui n’y est pour rien, et tout le monde va le croire !

Cette crise financière mondiale va-t-elle faire beaucoup plus de morts que le COVID-19 ?

Précisions :

il me parait évident que cette épidémie de COVID-19 n’est pas volontaire , c’est une diffusion accidentelle à partir du seul labo P4 de Chine situé à … Wuhan et que le risque important d’effondrement mondial de l’économie est connu depuis des mois par les milliers de personnes qui s’intéressent à la finance, il n’y a rien de secret, et pas besoin de complots, la cupidité est suffisante…

Grippe chiffres OMS : 290 000 à 650 000 morts dans le monde par an.

Pour les chiffres en temps réel dans le monde cliquer ici >>>

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Krach boursier : Vos petites économies, elles vont voler en éclats !

Krach boursier : Vos petites économies, elles vont voler en éclats !

On vous avait pourtant avertis depuis plus de 10 ans !

Olivier Delamarche analyse le krach boursier : «On est encore à 20% de trop sur les marchés»

Entretien du 16 mars 2020 avec Olivier Delamarche, économiste.

Pour RT France, il revient sur les conséquences économiques du coronavirus alors que le président de la République, Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour endiguer la pandémie sur le territoire national.

Merci à Stéphanie Gibaud pour le partage >>>

Crédit vidéo : RT France

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Economie : Dix ans après la crise, où en est la Grèce ?

Economie : Dix ans après la crise, où en est la Grèce ?

Olivier Delamarche, économiste et chroniqueur sur la chaîne Russe : « RT » nous met les points sur les « I »

La faute à l’euro !

Il y a 10 ans, le 14 janvier 2010, en Grèce, Georges Papandréou, premier ministre de l’époque annonçait un plan d’austérité…

Prémices d’une crise grave pour le pays. Le ministère grec des Finances estime aujourd’hui que le taux de chômage pourrait reculer à 15,6% l’année prochaine contre 17,4% cette année. Si ces indicateurs sont encourageants, peut-on dire que la situation économique de la Grèce s’est amélioré depuis 2010 ? Dans quelle situation le pays se trouve-t-il et quel est désormais sa place dans l’Union Européenne ?

Voici les questions qui vont nous occuper dans cette émission. Pour en parler, Estelle Farge et Olivier Delamarche reçoivent Nathalie Janson, économiste, spécialiste de la crise grecque.

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Economie : A Beyrouth Les banques ont sauté !

Army soldiers stand guard outside a bank that was attacked by protesters during ongoing demonstrations in Lebanon’s capital Beirut on January 16, 2020. – Lebanon’s security forces released most of the 100-plus anti-government protesters detained in the past 48 hours, lawyers told AFP, after two nights of violent demonstrations in Beirut. (Photo by ANWAR AMRO / AFP)

Economie : A Beyrouth Les banques ont sauté !

A Beyrouth, les banques ne sont plus en mesure de délivrer de l’argent à leurs clients et l’on assiste à un véritable « Bank run »

Les banques libanaises, à court de liquidités, ont restreint les retraits, provoquant la fureur des déposants. Le Liban pourrait se retrouver en défaut de paiement sur sa dette qui pèse plus de 150 % du PIB.

Lors de leurs manifestations, les Libanais s’en prennent de plus en plus souvent aux banques. À Beyrouth, en marge des rassemblements des 14 et 15 janvier, plusieurs distributeurs de billets ont été incendiés et les vitrines d’établissements ont volé en éclats. Les banques deviennent une cible de la colère de la population car elles limitent de plus en plus les retraits. Alors que bon nombre de transactions se font en dollars, il devient difficile de s’en procurer. Les queues s’allongent devant les guichets.

« Ce matin, après plus d’une heure d’attente, ma banque a accepté de me donner 299 dollars, dont plus de la moitié en billets d’un dollar ! L’employé a expliqué qu’il n’avait plus de billets plus gros…, raconte Nasri Messarra, professeur de l’université Saint-Joseph de Beyrouth. Si on connaît le directeur de la banque, si on peut prouver qu’on a un enfant qui étudie à l’étranger, on peut arriver à faire un virement en dollars. Mais sans cela, rien du tout… L’argent est bloqué. »

Salaires qui tardent, produits manquants

Le quotidien des Libanais est d’autant plus compliqué que les entreprises ont du mal à importer et donc à verser les salaires. Un certain nombre de fonctionnaires n’ont pas été payés en décembre. Et des produits commencent à manquer dans les commerces.

Selon le journaliste Pierre Jovanovic il s’agit du miroir de ce qui va se passer en France.

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Economie : François de Siebenthal, pour un monde cohérent qui va dans le sens de l’humanité

François de Siebenthal, pour un monde cohérent qui va dans le sens de l’humanité

À l’origine de l’initiative « Monnaie pleine » en Suisse, cet ancien banquier se bat pour une société humaine en nous libérant des chaînes de la dette et de l’emprise des banques sur nos vies.

L’ écart entre les prix et le pouvoir d’achat est comblé maintenant principalement par des dettes nouvelles à intérêts composés exponentielles, nous voulons au contraire le remplir par la création d’argent nouveau sans dettes à travers notamment monnaie-pleine, des dividendes pour tous et des escomptes ou rabais compensés pour les producteurs.

Un mot de François de Siebenthal :

Ils disent qu’il n’y a que 3 solutions possibles pour les retraites. Soit diminuer les pensions, soit augmenter l’ âge ou les cotisations.

C’est tout faux, on peut reprendre des banques commerciales le pouvoir de créer des masses énormes de monnaies-dettes par les crédits, plus de 33’000 milliards en Europe, sic, et distribuer les surabondances évidentes de tout à tous par des créations monétaires d’argent nouveau sans dettes.

Ils le font pour les banquiers ou pour des guerres atroces, pourquoi pas pour nous ?

Le progrès nous permet largement de baisser l’âge des retraites et des prélèvements et d’augmenter les rentes.

Sans oublier de fournir du travail et du revenu aux jeunes. Le prix Nobel Piketty parle de 120’0000 euros par personne, donné, sic, donné, pour relancer les économies et par simple justice !

François de Siebenthal

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Economie : Connaissez-vous BlackRock, le plus puissant gestionnaire d’actifs de la planète ?

Connaissez-vous BlackRock, le plus puissant gestionnaire d’actifs de la planète ?

Réforme sur les retraites : quand tout se dessine et se décide dans l’ombre des couloirs feutrés de l’UE !

En dehors de Wall Street, qui connaît BlackRock, le plus puissant gestionnaire d’actifs de la planète ? Enquête sur un acteur discret mais influent de la vie économique et politique mondiale.

Si l’argent ne fait pas le bonheur, il ouvre sans nul doute les portes du pouvoir. Une maxime que le groupe de gestion d’actifs BlackRock, avec ses 6’000 milliards de dollars américains passés, soit plus de deux fois le PIB de la France, connaît bien. Sociétés, gouvernements et banques centrales : l’entreprise tentaculaire ne cesse d’étendre son influence dans toutes les directions, depuis sa création, en 1988, par Larry Fink.

La force de ce géant américain de la gestion réside dans les milliards de dollars que lui confient ses clients, pour la plupart des gros poissons de la finance : multinationales, institutions financières et fonds d’investissement ou de pension. Grâce à cette manne financière, le groupe a mis le grappin sur de nombreuses multinationales.

Actuellement, BlackRock est entre autres présent dans le capital d’Apple, de Microsoft, de Facebook, de McDonald’s, de Siemens, ainsi que de nombreuses entreprises du CAC 40. Non content d’investir dans les entreprises les mieux cotées du monde, le gestionnaire d’actifs est aussi dans les petits papiers de gouverneurs de banques centrales, de ministres des finances et même de chefs d’État, à qui il prodigue de précieux conseils.

Et pour cause : il dispose non seulement des meilleurs experts financiers, mais aussi d’un algorithme de prévision conjoncturel sans égal, Aladdin. Lors de la crise financière de 2008, de nombreux gouvernements proches du naufrage avaient fait appel au groupe de Larry Fink, ce qui lui a permis de renforcer son emprise sur l’économie mondiale et de présenter à tous le visage d’une entreprise providentielle…

Documentaire complet de Tom Ockers (Allemagne, 2019, durée :90 minutes.)

Tu peux y aller que je t’en mets une couche et régales-toi !

Crédit vidéo : Arte

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Suisse & Economie : Une micro-taxe pour remplacer la TVA et l’impôt fédéral direct (Vidéo)

Suisse : Une micro-taxe pour remplacer la TVA et l’impôt fédéral direct

En préparation depuis plusieurs années, la proposition de texte pour une micro-taxe sur les paiements électroniques devrait voir le jour en janvier prochain. La date a été annoncée par le comité composé des personnalités du monde financier, politique et académique lors d’une conférence de presse à Berne ce vendredi

L’initiative populaire pour la mise en place d’une micro-taxe sur les paiements électroniques prend forme. En 2015, Le Temps se faisait déjà l’écho de ce projet qui vise à remplacer trois impôts fédéraux (la TVA, l’impôt fédéral direct et le droit de timbre) par une taxe unique d’environ 0,1% appliquée aux transactions sans espèces. Le comité à l’origine de cette proposition a dévoilé son agenda à l’occasion d’une conférence de presse à Berne vendredi matin. Le texte a été soumis à la Chancellerie fédérale et la récolte des 100 000 signatures devrait débuter dans le courant du mois de janvier.

Pour Felix Bolliger, gestionnaire de patrimoine zurichois et membre du comité, qui a émis le premier l’idée en Suisse dans un texte en 2013, le concept est très simple. L’ensemble du trafic des paiements en Suisse représente environ 100 000 milliards de francs par an selon les initiants. «Soit 150 fois le PIB de la Suisse, souligne Marc Chesney, professeur de finance à l’Université de Zurich. L’économie réelle suisse aurait peut-être besoin de transactions de l’ordre de dix fois le PIB, mais pas plus.»

Rendre le trafic des paiements transparent

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