Culture & Cinéma : Interview de Didier Marouani

Vidéo : Le compositeur Didier dans un extrait de l’émission « Le temps de vivre » Janvier 1984

« Space portaient des casques 20 ans avant Daft Punk »

En 1977 et après plusieurs années dans la chanson-folk (n’ayons pas peur des mots), Didier Marouani découvre Kraftwerk, Tangerine Dream et la magie des synthétiseurs. Croyant dur comme fer à la main mise de cet instrument sur le futur (tout comme les Rockets) et ce, alors que la plupart des gens qui l’entourent considèrent ces machines comme la tendance d’une seule saison, Didier Marouani sort « Magic Fly » avec ses potes Roland Rommanelli et Jannick Top. Leur nom ? Space, tout simplement. Boudé par son label de l’époque, Polydor, c’est alors Vogue qui sort le titre qui deviendra un mégatube planétaire et même outre-espace, puisqu’après de nombreuses visites et concerts en URSS, Didier Marouani catapultera un CD de Space dans la Station Mir en 1987, une première dans l’histoire. De ses premières parties pour Claude François jusqu’au Stade Olympique de Moscou, Monsieur Marouani a répondu à nos quelques questions sur sa carrière extra-terrestre.

Noisey : En 1970, vous rencontrez Etienne Roda-Gil, tout part de là ?
Didier Marouani :
 Ah non, j’ai commencé à apprendre la musique à l’âge de 5 ans et je pense que le vrai démarrage est là. J’ai composé ma première chanson à 10 ans. A 15 ans je quitte mon beau pays (Monaco) pour rejoindre Paris avec ma famille et rentrer au conservatoire. J’en sors en 1971 avec un 1er prix de solfège et un Second prix de piano. Dans la foulée, je rencontre Etienne Roda-Gil et nous composons ensemble des chansons pour Nicoletta et Régine, ce qui pour moi à l’époque, était une véritable récompense ! En 1974, j’envoie une chanson au festival de Tokyo qui me sélectionne pour représenter la France en tant que chanteur (alors que j’avais envoyé cette chanson en tant que compositeur !). J’accepte le challenge et je gagne le prix d’interprétation masculine avec des interprètes qui vont devenir des stars mondiales : Paul Williams et Olivia Newton John. À ce moment-là, un producteur japonais me signe un contrat en tant que chanteur et j’enregistre mon premier album à Tokyo, avec notamment 2 chansons en japonais. A mon retour de Tokyo, Eddy Barclay au courant de ma participation au festival me fait signer un contrat d’artiste. Il était plutôt étonné que je travaille avec Roda-Gil qui ne donnait pas ses textes à tout le monde. Au-delà de son exceptionnel talent d’auteur, Roda-Gil était un homme d’une érudition et d’une culture impressionnante pour l’adolescent que j’étais ; il m’a fait lire beaucoup d’œuvres majeures et a clairement guidé ma future vie d’adulte. Notre premier album commun sort en 1974, avec dix textes absolument superbes et des arrangements de Jean-Claude Vannier. Un an plus tard, Johnny Hallyday me demande de faire sa première partie durant tout l’été, une chance, c’est là que j’ai réellement appris mon métier et ce qu’était la scène.

À cette époque-là, vous ouvrez pour Claude François aussi. Comment ça se passait ? Tout le monde sait que Claude François était très au fait des nouvelles musiques.
En 1975, Claude François me demande à son tour de faire sa première partie ; une tournée trépidante avec plus de 45 concerts, devant un public très, très nombreux. Claude était quelqu’un de très exigeant au niveau professionnel, avec ses musiciens, ses danseuses et aussi ses employés, très perfectionniste. Et en effet oui, il se tenait au courant de toutes les musiques, qu’elles soient Anglaises ou Américaines, qu’il adaptait souvent en français.

Vous changez de registre et sortez « Magic Fly »en 1977 qui se retrouve sur le légendaire label américain Casablanca Records. Combien de refus avez vous essuyé avant que ce disque ne sorte ?!

Un seul… par la maison de disques avec laquelle j’étais sous contrat à l’époque en tant que chanteur, Polydor, qui n’a pas voulu sortir « Magic Fly » en disant que ça ne marcherait pas ; c’est donc Léon Cabat, président des disques Vogue (qui a découvert un nombre impressionnant de chanteurs comme Johnny, Françoise Hardy, Dutronc, Antoine, Pierre Perret, etc…) qui a signé Space pour le monde entier. J’ai été obligé de créer un groupe autour de moi, vu que j’avais un contrat d’exclusivité avec Polydor, et également créer le premier Marketing Act français en choisissant comme costume de scène des tenues de cosmonautes et bien sûr les casques pour que l’on ne me reconnaisse pas. « Magic Fly » le single est donc sorti dans le monde entier et a été numéro 1 dans presque tous les pays du monde ; suivi 3 mois plus tard du premier album de Space qui s’est également classé n°1 partout dans le monde, dont aux USA. A cette époque Casablanca me signe un contrat et me demande de rester à Los Angeles pour y travailler et y vivre, ce que je refuse car je viens alors d’être papa d’un petit garçon et je ne me voyais pas vivre si jeune là-bas.

Quelle image avait le disco en France ?
Le disco marchait très fort. Nous avons eu la chance d’être beaucoup jouéen discothèque mais je n’ai jamais voulu composer quelque chose de « disco », en fait. Si vous écoutez bien « Magic Fly », vous entendrez une mélodie qui est orchestrée à un tempo disco. Disons que nous avons été récupérés par la vague disco.

Quels étaient vos rapports avec les autres musiciens électroniques de cette période comme Cerrone, Jean-Michel Jarre ou Richard Pinhas ?
On se coisait souvent, lors de remises de disques d’or et autres récompenses. Ce que je peux vous dire c’est que « Magic Fly » et « Oxygène » ont été composées et crées au même endroit. En 1976, j’ai repris l’appartement qu’occupait Jean-Michel Jarre !

Vous signez ensuite le générique de l’émission des Frères Bogdanoff, Temps X !

C’était une continuité pour moi en France. Lorsque je rencontre les Bogdanoff, j’avais déjà composé et sorti 3 albums avec Space et vendu plus de 15 millions de disques. C’est un très bon souvenir de collaboration et une joie de participer à la première émission de science-fiction qui deviendra culte par la suite.

Au début des années 80, vous ne pouvez plus utiliser le nom Space et vous rebaptisez votre groupe Paris-France-Transit. Il s’est passé quoi au juste ?

Nous devions donner un concert sous la Tour Eiffel en 1981, il y a eu des problèmes avec les promoteurs et mon producteur a décidé d’annuler le concert. J’étais furieux car je savais qu’après trois albums, il fallait absolument monter sur scène et donner des concerts avec le groupe. J’ai donc décidé de me séparer de mon producteur qui m’a alors dit : « Tu veux partir ? Eh bien pars. J’ai déposé le nom Space en tant que marque et il m’appartient. » Je me suis retrouvé spoilé de mon propre nom et je ne pouvais plus du tout l’utiliser. J’ai donc créé un nouveau groupe qui a été la continuité de ma musique et du groupe Space et c’est à la fois sous ces deux noms que j’ai été invité à donner 21 concerts en URSS, en juin et juillet 1983, attirant plus de 600 000 spectateurs.

D’ailleurs, vous semblez avoir toujours été attiré par les Soviets. Pourquoi ça ?
En 1982, je savais que nous étions numéro 1 dans beaucoup de pays du monde, sauf en URSS. C’est suite à une invitation à l’Ambassade Soviétique de Paris que j’ai rencontré le Ministre de la Culture qui m’a alors demandé de venir donner des concerts dans son pays dans le cadre d’une immense tournée. Il m’a également affirmé que ma musique était très connue en URSS et que les disques de Space se vendaient au marché noir, tout comme ceux d’Abba et des Beatles.

Ma musique en Russie et dans les autres républiques avait un goût de liberté et le pouvoir en place l’a perçue comme tel. Une façon pour eux de dire à leur peuple : « Vous aimez cette musique ? Vous voulez cette musique ? Nous vous l’offrons. » Certains journalistes et médias m’ont demandé à cette époque si je ne me sentais pas récupéré par le pouvoir communiste et autoritaire et ma réponse était la suivante : « Je suis un compositeur, un musicien, et mon rôle est d’aller là où l’on m’appelle, sans me mêler de politique et sans soutenir aucun régime. Et si j’ai la chance de pouvoir donner un petit peu de bonheur au public durant deux heures, c’est mon rôle d’y aller. » Je garde, tout comme les 30 musiciens et techniciens qui m’ont accompagné en U.R.S.S., des souvenirs inoubliables de cette tournée, dans ce pays qui à l’époque était strictement hermétique à l’Occident. J’ai eu la chance depuis 30 ans de voir l’évolution stupéfiante à tous les points de vue de cet immense pays, que ce soit au niveau politique, économique ou social, bien qu’il reste encore des progrès à réaliser. Aujourd’hui, je donne des concerts partout en Russie, en Biélorussie, au Kazakhstan et en Ukraine, dans des salles qui vont de 7000 à 40 000 personnes et qui rassemblent ceux qui étaient venues aux tournées de 1983 et 1991 ainsi que leurs enfants qui ont été élevés avec la musique de Space.

Et l’étape d’après, inéluctable, votre musique est jouée dans l’espace ! La Station Mir bouge au rythme de Space en 1987. Comment aller plus loin après ça ?
Quand j’ai fini de composer l’album Space Opera, j’ai écris une letter à Monsieur Gorbatchev pour lui faire savoir que j’avais enregistré le premier opéra avec la participation des Chœurs de l’Armée Rouge et de l’université d’Harvard (nous étions encore en pleine guerre froide et pour pouvoir faire chanter ensemble ces deux chœurs russe et américain, j’ai dû obtenir l’accord du Ministre Russe de la Culture au préalable). Après réception de ma lettre, Gorbatchev m’a répondu par message codé à l’ambassade d’URSS en me souhaitant beaucoup de succès dans mon projet et en me demandant de prendre directement contact avec le Ministère de l’Espace Soviétique. J’ai obtenu un rendez-vous avec le ministre et il a accepté que les cosmonautes soviétiques emportent avec eux dans la Station Mir un CD de Space Opera avec un mini lecteur et deux enceintes. Les cosmonautes soviétiques ont satellisé ce CD dans l’espace, son lecteur et ses enceintes et l’ont transformé en un geste d’espoir et de communication. C’est merveilleux de penser qu’un petit bout de sa musique tourne et tourne au-dessus de sa tête et cette aventure prouve qu’un artiste doit persévérer jusqu’à ce ses rêves soient accomplis. Rien n’est impossible quand on croit à sa création.

Plus récemment, suite à la proposition d’un ami travaillant sur les vols Soyouz, une mission spatiale à destination de la Station Spatiale Internationale comprenait un cosmonaute italien, Lucas Parmitano (également musicien) qui a accepté d’emmener son synthétiseur avec lui dans l’ISS, et nous avons réussi à faire une liaison entre l’ISS et le stade olympique de Moscou où je donnais un grand concert. On a joué « Magic Fly » ensemble, lui à 400 kilomètres de la Terre, et moi à Moscou !!

Que faites-vous actuellement ?
Je donne pas mal de concerts, j’ai sorti un album il y a un an, je travaille sur une grande comédie musicale depuis 3 ans et je viens de recevoir une proposition pour composer la musique d’un film russe. J’essaye en même temps d’être très proche de mes enfants et d’être le plus heureux possible dans la vie.

J’imagine que vous préparez quelque chose pour les 40 ans de Space en 2017 ?
Nous sommes en train de réfléchir à plusieurs opportunités et je ne manquerai pas de les communiquer dès qu’elles seront concrétisées.

Extrait de l’émission « Le temps de vivre »

Visionner l’émission complète sur Viméo

Didier MAROUANI. Le temps de vivre. 01.01.1984 from Nathalie Gubareva on Vimeo.

Mise en ligne : Stéphane Guibert pour Didier Marouani & Finalscape

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Culture & Cinéma : Plagiat, quand tu nous tiens

Didier Marouani : “A symphonic Space Dream”

Après une tournée triomphale en Russie qui a fait salle comble lors de chaque concert, revoici Didier Marouani et son groupe SpAce qu’il n’est plus nécessaire de présenter sur Finalscape avec ce titre en live : “A symphonic space dream“, titre qui on s’en souvient avait été plagié par Philipp Kirkorov

Une affaire qui remonte à plusieurs mois. Le chanteur Philipp Kirkorov que le compositeur français Didier Marouani accuse d’avoir plagié sa chanson “Symphonic Space dream“passe entre les mains de la justice Russe en ce moment même.

Kirkorov est un habitué du plagiat en se servant de titres adulés par le publique comme notamment ceux de la regrettée Dalida, les succès du groupe Baccara >>> ou encore ceux de Charles Aznavour.

Icone musicale incontestée en Russie, Philipp Kirkorov se sert de sa notoriété afin de “flooder” Didier Marouani qui a à son actif des dizaines de mélodies bien à lui.

On ne peut qu’aller dans le sens du compositeur français d’autant plus qu’il est à l’origine d’une révolution en matière artistique. On lui doit notamment le titre planétaire “Magic Fly” qui 40 ans après sa création continue à faire des émules.

Plagiat, quand tu nous tiens !

Témoignage du compositeur Didier Marouani :

Stéphane Guibert pour Didier Marouani et Finalscape

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Culture et Cinéma : Plagiat musical : Philip kirkorov VS Didier Marouani

Plagiat musical : Kircorov VS Marouani on est loin du compte !

Plagiat éhonté d’une Megastar de la pop musique Russe à l’encontre du compositeur français Didier Marouani

Une affaire qui remonte à plusieurs mois, le chanteur Philipp Kirkorov que le compositeur français Didier Marouani accuse d’avoir plagié sa chanson « Symphonic Space dream« passe entre les mains de la justice Russe en ce moment même.

Kirkorov est un habitué du plagiat en se servant de titres adulés par le publique comme notamment ceux de la regrettée Dalida, les succès du groupe Baccara >>> ou encore ceux de Charles Aznavour.

Icone musicale incontestée en Russie, Philipp Kirkorov se sert de sa notoriété afin de « flooder » Didier Marouani qui a à son actif des dizaines de mélodies bien à lui.

On ne peut qu’aller dans le sens du compositeur français d’autant plus qu’il est à l’origine d’une révolution en matière artistique. On lui doit notamment le titre planétaire « Magic Fly » qui 40 ans après sa création continue à faire des émules.

Justice oblige et nul doute que l’issue du procès ira dans le sens du compositeur français qui a tout mon soutien.

(Stéphane Guibert /  FINALSCAPE)

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Culture & Cinéma : La fusion entre deux âmes cosmiques

Mise à jour : samedi 24 août 2019 – 13:27 – (Traduction en anglais)

Didier Marouani et Evgeny Khmara

« La symbiose musicale de notes universelles »

Des tréfonds de mon âme et de mes rêves, depuis ma plus tendre enfance et jusqu’à l’aboutissement de mon être sur cette planète tu fais partie de mes repaires, de mes images et de mes voyages. Nos notes se confondent et se mêlent en un aboutissement harmonieux et solennel.

« Let me know the wonder » c’est non seulement le partage d’une musique mais aussi et surtout l’amour d’un petit prince et d’une étoile qui se trouve quelque part dans l’univers.

Mise en ligne et texte de Stéphane Guibert pour Didier Marouani et Evgeny Khmara

Message de Didier Marouani  : 

J’ai rencontré Evgueny en 1996 à Kiev.

A la fin d’un concert ses parents ont réussi à se faufiler dans les coulisses, sont venus vers moi et m’on dit que ce garçon de 6 Ans jouait du piano et avait appris à jouer seulement avec ma musique!!!!

Très ému, je les ai fait rentrer dans ma loge où se trouvait seulement une Table en bois. Il s’est mis à chanter tout en jouant avec ses doigts mes musiques. C’était très étonnant.

Je les ai invités à venir le lendemain à l’hôtel ou j’avais un piano à queue dans mon appartement. Il s’est mis au piano et m’a joué 5 ou 6 titres de SPACE avec une telle sensibilité. J’étais tellement surpris et ému. Je lui ai longuement parlé en lui disant que la musique de Space était jolie mais qu’il fallait absolument qu’il joue mes grands copains pour grandir (CHOPIN, BEETHOVEN, MOZART etc…) et qu’il allait devenir un Virtuose.

Et je lui ai promis ce jour là que lorsqu’il sera devenu un Virtuose, je l’inviterai à venir avec nous sur scène. Ses yeux étaient humides et il ne le croyait pas!!! 6 and après il m’a envoyé une vidéo et il était sur le chemin de devenir Virtuose.

J’ai eu la grande chance de pouvoir tenir ma promesse et je l’ai invité à 12 Ans pour venir jouer dans le plus grand Festival d’Ukraine « TAVRIA Games » à Kherson.

Après je l’ai invité à jouer dans différents concerts, à Moscou au Kremlin, ODESSA, Dniepro. Aujourd’hui il est devenu une vedette reconnue et très aimée en Ukraine et commence à attaquer l’International. Une histoire si belle de pouvoir rendre aussi l’aide que Johnny, Claude François et Joe DASSIN m’ont apporté quand je débutais en tant que chanteur.

Depuis on a joué ensemble souvent. Je suis allé il y a 2 Ans assister à son premier grand concert avec un Symphonic. Ce que tu as vu. Il m’a demandé de jouer avec lui et bien sûr j’ai accepté et le Public nous a fait un grand succès. Tout le monde en Ukraine sont au courant de notre amitié Filiale!!!!

Didier Marouani

Visitez la page consacrée à Didier Marouani et son groupe SpAce >>>

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Culture & Cinéma : DIDIER MAROUANI

Un mot récurent dans mon vocabulaire, un signe distinctif, une image, un logo, c’est celui du groupe SpAce magnifiquement orchestré par son fondateur Didier Marouani qui depuis les années 70, 80 et au delà ne cesse d’émerveiller petits et grands avec une musique céleste et perpétuellement  renouvelée.

J’ai la chance de compter parmi mes contacts ce talentueux compositeur qu’il me tarde de rencontrer pour que nous devenions de véritables amis. Nous avons pas mal de points communs ici à Genève, nous avons également des enfants du même âge et qui portent ce même prénom magnifique : « Raphaël ». Ce sont des tas de trucs mon cher Didier qui me font t’apprécier au delà de ta musique.

Vogue et vogue  au rythme de tes notes car plus belle sera la vie qui file et vibre à la mesure de tes décibels si (belles). Le petit prince t’attend aux entournures et crois-moi, il est impatient de te retrouver.

Longue vie à toi.

Avec toute mon Amitié.

Stéphane

Comment se procurer la musique du groupe SpAce / How to get SpAce music

Bonjour Chers Fans du groupe SPACE et de Didier Marouani,

je m’appelle Peter et je suis l’assistant de Didier Marouani.

Je peux vous proposer d’acheter tous les CD du groupe SPACE que nous avons en stock (11 CD différents et originaux et 2 DVD LIVE), qui seront signés à votre nom par Didier Marouani. Si vous souhaitez obtenir ces CD, vous pouvez me contacter par courrier électronique à l’adresse suivante: peter@space.tm.fr.

Bonne journée. Peter

Hello Dear Fans of SPACE and Didier Marouani, my name is Peter, and I am Didier Marouani Assistant.

I can propose to you to buy all the SPACE CD’s that we have in stock (11 different and Original CD’s and 2 DVD’s LIVE), that will be signed to your name by Didier Marouani. If you are interested to get these Cd’s, you can contact me by mail at: peter@space.tm.fr.

Have a nice day. Peter

Stéphane Guibert / Finalscape

Infos copyright :

 

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Culture & Cinéma : « My love is Music » Happy Birthday Didier Marouani

Dernière  mise à jour : lundi 15 juillet 2019 – 11:38  –

De petites attentions valent mieux que de longs discours, alors en ce jour de fête nationale coïncident (Définiton : « Qui se rejoint dans l’espace et dans le temps. » N’y a-t-il pas plus belle définition te concernant ?avec le jour où tu vins au monde mon cher Ami, permets-moi de te souhaiter un joyeux Anniversaire.

Rien n’est dû au hasard : Le mot « Scape » de « Final Scape » est une anagramme du mot « Space » et ce jour d’anniversaire est l’occasion idéale pour le souligner.

Bien à toi Didier.

Petite piqûre de rappel :

Didier Marouani, auteur compositeur et interprète est né à Monté Carlo le 14 juillet 1953. Tout d’abord chanteur, il fonde en 1977 le groupe SpAce et lance avec son premier titre “Magic Fly” une carrière fulgurante dans une musique d’un nouveau genre à l’époque : la musique électronique.

Après 3 albums seulement : “Magic Fly, Deliverance et Just Blue“, c’est plus de 20 millions de disques vendus. Didier est toujours très actif, il a sorti récemment l’album “From Earth to Mars” et continue à se produire sur scène, en Russie et dans les pays de l’est ou il a atteint une très grande notoriété.

Retrouvez Didier sur ses pages : Facebook / Site officiel / Et la page lui étant consacrée sur Finalscape

Vidéo : « My love is music » (Blue Vinyl version), titre interprété par Madeline Bell. Extrait de l’album : « Just Blue » sorti en 1978 et distribué par le label Vogue.

© copyright 1978 : Disques Vogue, Didier Marouani et le groupe – SpAce –

With the kindly permission of Didier Marouani / Avec l’aimable autorisation de Didier Marouani

Photo  ci dessous :

Raphaël MarouaniChristopher Marouani, Didier MarouaniElla Marouani et Mattéo Marouani.

Vidéo  ci dessous :

Une merveilleuse soirée avec mes amis d’enfance en Italie près de Monaco !!!!!! (Didier Marouani)

Stéphane Guibert pour Didier Marouani et Finalscape

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Culture & Cinéma : Main dans la main, la France et la Russie s’en vont de concerts en concerts

La musique Française en Russie

Magnifique moment de partage culturel, quand la musique française s’exporte aux fin fonds de la Steppe eurasienne.

Didier Marouani, leader incontesté de la « French touch » en matière musicale a réussi un pari fou ! Celui d’être reconnu et ovationné bien au delà des frontières de son propre pays.

Ignoré des médias Français ce qui est incompréhensible vu le talent mais encensé et à juste prix par la presse des pays de l’Est, Didier Marouani continue à nous subjuguer de par sa musique issue des notes qu’il pioche aux fins fonds de l’univers.

Une reconnaissance de la créativité française que nous devons à la Russie.

Mise en ligne : Stéphane Guibert pour Didier Marouani et Finalscape

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Culture & Cinéma : Une touche de couleurs sur une toile musicale « Et le monde nous appartient »

Didier Marouani, un artiste Français, une légende vivante.

Des claviers d’où émergent maniés par des doigts de maître puisant leur inspiration depuis l’infini et la magie du cosmos, une musique remplie de couleurs vives et pastelles, un mélange subtile entre la sensibilité, la tendresse, l’amour et le rythme, Didier Marouani nous invite une fois de plus à un voyage dans un monde n’appartenant qu’à lui mais qu’il partage sans modération.

« Paintings », un tableau mélodieux d’où ressortent la lumière et la vie. De superbes images où l’on découvre Didier en compagnie de son fils et un petit prince qui, le temps d’une musique, nous propose un arrêt sur images ainsi qu’une larme de bonheur.

Longue vie à toi et à ta musique Didier.

Stéphane Guibert pour Didier Marouani et Finalscape

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Culture & Cinéma, le groupe Space : L’album dissident et la rupture

Mise à jour : lundi 17 juin 2019 – 07:15 –

Une belle histoire d’Amour entre un compositeur, sa musique et les étoiles.

Une succession de tubes, une renommée internationale un audimat acquis à des milliers de fans et tout à coup, l’apothéose ! Un envol magique et le mot magique est faible puisque soudain, suite à quelques notes piochées dans l’infini de l’espace, ce compositeur ou devrais-je plus tôt  dire ce génie, ce visionnaire décroche l’étoile du nord en illuminant de ses rayons galactiques plus de trois générations de mélomanes.

DIDIER MAROUANI

En l’espace de trois albums : « Magic Fly », « Deliverance » & « Just Blue » le groupe SpAce pulvérise les records de vente avec plus de 20 millions d’albums vendus mais la belle histoire pris fin suite à un désaccord :

Le pourquoi et le comment de la fin du groupe SpAce.

Propos recueillis auprès du leader du groupe : Didier Marouani :

« Je considère l’album DEEEPER ZONE, comme un album dissident. MAGIC FLY devait sortir au départ sous mon nom (Didier Marouani).

J’ai été obligé de créer le groupe SPACE car ma maison de disques (POLYDOR) ne voulait pas sortir ce titre. J’ai donc réuni 4 musiciens autour de moi et fait appel à des musiciens de studio pour enregistrer le titre définitif.

J’ai composé et enregistré 3 Albums sous le nom de SPACE en travaillant avec Roland Romanelli qui est un super musicien.

Je me suis fâché avec mon Producteur après le 3eme Album JUST BLUE, car je désirais que le groupe fasse de la scène.

Mon Producteur avait déposé le nom SPACE en tant que marque. Je l’ai tout de même quitté pour continuer ma musique sous le nom de Paris France Transit.

Roland l’a suivi et ils ont enregistré cet album dissident sans mon accord. Roland a composé les titres de cet album. Voilà comment tout cela c’est passé.

Maintenant, ROLAND est un très bon musicien, très sensible. »

Didier Marouani

Tout est dit là dedans sauf peut-être :

Continues à nous illuminer de ta musique mon cher Didier 🙂

Stéphane Guibert pour Didier Marouani et Finalscape

Didier Marouani sur Finalscape >>>

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Culture, Cinéma et coup de cœur : Didier Marouani, bien avant Jean Michel Jarre

« Tender Force » ou Force tranquille

Bien avant l’avenue de la nouvelle vague « New Age » Didier Marouani nous proposait sa vision de la musique des années 80, 90 et 2000. Il est d’ailleurs toujours au top, se produisant dans d’innombrables concerts en Europe, il ne cesse de mettre en avant une musique dédouanée de préjugés : Sa Musique.

« Tender Force » est un titre qui justement fait abstraction des idées reçues et ce titre va d’ailleurs bien au delà… Il nous envole.

« Tender fotce »  ou « Force tranquille » c’est ma façon de dévoiler un artiste que je suis depuis mon adolescence et qui au fil de ses albums ne m’aura jamais déçu.

À mes yeux et ceux de tes fans, tu ne fais que grandir et t’illuminer.

Mon cher Didier, continue à nous émerveiller avec ta musique. Longue vie !

Stéphane Guibert / Finalscape

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