Michel Onfray qui était invité chez Natacha Polony ne mâche pas ses mots lorsqu’il dresse le bilan du quinquennat de l’actuel locataire de l’Elysée.
Qu’a fait Macron de ses pleins pouvoirs ? C’est un personnage qui attaque les journalistes sur la question des sources, il s’en prend aux médecins en leur demandant, concernant les Gilets jaunes, de faire des fiches pour la police, les fake news qui sont élargies du fait que l’on ne pense pas comme lui etc … La France, pays des droits de l’homme serait-elle devenue une dictature ?
Au fur et à mesure que le mouvement des Gilets jaunes progresse, les consciences se réveillent et les infos, (les vraies) font surface et circulent.
Pourquoi tant d’impunité vis à vis de la répression et des violences commises par les forces de l’ordre ?
Parce que depuis le 1er janvier 2017, le pouvoir judiciaire, l’un des trois pouvoirs est passé sous le contrôle du pouvoir exécutif, ce qui donne à ce dernier une totale impunité. Ce décret porte le numéro : 2016-1675.
Pourquoi les forces de l’ordre tuant des manifestants ne sont-elles pas inquiétées, jugés et condamnés par un tribunal ?
Parce que la peine de mort a été réinstaurée partout en Europe en cas d’émeutes ou d’insurrections.
Non ! Parce selon l’article 16 de la charte des droits de l’homme, un pays qui n’assure pas la séparation des trois pouvoirs n’a point de constitution et par définition, un pays n’ayant pas de constitution n’est pas une démocratie.
En France, nous parlons de monarchie ou de dictature « molle » mais pas de démocratie.
Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.
Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.
“Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.”
Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs soient séparés :
Le pouvoir exécutif Le pouvoir législatif Le pouvoir judiciaire
En plaçant le pouvoir judiciaire sous le contrôle du pouvoir exécutif, ce dernier jouit d’une totale impunité ; sans constitution, aucune élection ne peut être légitimée ni reconnue par la charte des droits de l’homme.
Par définition :
Un pays ne possédant pas de constitution n’a point le statut de démocratie.
La garde à vue de l’ancien boxeur professionnel Christophe Dettinger, a été prolongée mardi par le parquet de Paris. Il est soupçonné d’avoir agressé deux gendarmes samedi à Paris lors de «l’acte VIII» des «gilets jaunes».
À la décharge de l’inculpé, une manifestante témoigne que sans l’intervention de Christophe Dettinger au moment des faits elle serait probablement morte aujourd’hui.
C’est pendant le matraquage du témoin par un CRS lors de l’acte 8 des Gilets jaunes à Paris que l’ancien boxeur français serait intervenu d’où l’incident qui devait mener à son arrestation.
Si la justice suit son cours, une enquête devrait permettre de faire la lumière sur cette affaire et statuer à charge ou à décharge ; toutefois, rappelons que lors de la manifestation du premier mai 2018, il avait été reproché à Benalla de s’être substitué à la police en s’équipant du matériel des forces de l’ordre puis en matraquant violemment des manifestants. Bien qu’une enquête ait été diligentée, Benalla est toujours libre de ses mouvements et est même en possession de deux passeports diplomatiques.
La justice perd-elle la tête en cinquième république, ferait-elle deux poids et deux mesures ?
Faut-il rappeler que :
Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.
L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :
“Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.”
Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.
Le pouvoir judiciaire ne perd pas la tête, il est tout simplement sous la coupe du pouvoir exécutif ce qui lui permet de jouir d’une totale impunité.
Par définition, un pays n’ayant pas de constitution est une dictature.
Une vidéo vient entacher la version du Gilet jaune qui témoigne en faveur de Christophe Dettinger. Du coup, il devient difficile de se faire une opinion objective.
Le Youtubeur Boris Le Lay décrypte le scandale de la cagnotte ouverte en faveur des forces de l’ordre, chiffres à l’appui et dénonce un complot flagrant du système en place.
Il invite les français à verser quelques euros sur la plateforme Leetchi afin qu’ils puissent se constituer partie civile devant la justice.
Sur Youtube
Sur VK
Où le bât blesse :
Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.
L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :
“Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.”
Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.(Dans ce cas très précis, le pouvoir judiciaire doit désormais dépendre de l’exécutif. Comprenez-vous ce que cela signifie ?)
Faute de constitution, la France est bel et bien devenue une dictature molle mais qui au fil des réformes se durcit de jour en jour.
Stéphane Guibert / Finalscape
« La police nationale n’a pas besoin de cagnotte », a déclaré le directeur général de la police nationale (DGPN), Éric Morvan sur France Inter, Il a précisé que l’inspection générale de la police nationale (IGPN) avait reçu près de 200 signalements sur sa plateforme permettant à des particuliers estimant avoir été victimes ou témoins de violences policières d’alerter la police des polices.
Je pense que lui aussi comme Michel Delpuech, le préfet de police de Paris pourrait être sur la sellette comme, quelques LERM qu’on veut congédier et d’autres déjà mis dehors ou qui sont déjà partis d’eux-mêmes, à quand le röhmputsch, ça fait froid dans le dos…..
Monsieur Collomb est parti quand même de façon rapide mais après avoir parlé de révolution… Que notre Seigneur nous protège tous car nous rentrons dans les tribulations.
Je disais alors que le peuple Suisse refusait l’adhésion du pays à l’EEE lors des votations du 6 décembre 1992 :
« L’Europe d’aujourd’hui n’est qu’une continuité de ce qui c’est passé durant la seconde guerre mondiale et ce que Hitler n’avait pas réussi à obtenir par la force était en train d’aboutir par la diplomatie, à l’insu des peuples. »
L’Europe promise n’est qu’une chimère, un mensonge qui ne sert qu’à une économie néolibérale et dont les seuls bénéficiaires sont les riches qui se gavent au détriment de celles et ceux qui ne peuvent même plus se nourrir correctement.
Lors du refus par le peuple d’adhérer à l’EEE, Jean-Pascal Delamuraz déclarait qu’il s’agissait d’un dimanche noir pour l’économie Suisse alors qu’avec le temps, on le sait, l’économie de ce pays se porte très bien.
Vidéo : Intervention entre autres de Charles Gave et Étienne Chouard
On n’a pas besoin de virer Macron. Si on ne change pas les institutions on aura un autre tyran à la place.
« Notre problème ce n’est pas Macron, notre problème ce sont les institutions qui permettent d’avoir Macron ».
Selon Étienne Chouard, le mouvement des Gilets jaunes se trompe de cible et si la constitution n’est pas changée, le système leur mettra un nouveau Macron. Il met d’ailleurs en garde les Français en leur disant que ce qui se produit en ce moment est voulu par les élites et qu’en essayant de renverser le gouvernement, il risque fortement de se produire un bain de sang qui justifiera justement une dictature.
Students sit on the ground after being arrested by police in the garden of a pavilion and an associated house close at the Saint-Exupery high school in Mantes-la-Jolie in the Yvelines, following clashes in which 146 people were arrested on December 6, 2018. Elsewhere in France, clashes have also erupted around several institutions in the wake of mobilisation by the « yellow vest » or « Gilets jaunes » who have been protesting against rising oil prices and living costs. / AFP / Céline AGNIEL
Au total, 153 personnes ont été interpellées à Mantes-la-Jolie (Yvelines), jeudi 6 décembre, selon le procureur de la République de Versailles, Vincent Lesclous, à cause de nouveaux incidents survenus à proximité du lycée Saint-Exupéry, où deux voitures ont été incendiées et où des affrontements ont éclaté avec la police.
Les interpellés, des étudiants pour la plupart, sont soupçonnés de « participation à un attroupement armé », a détaillé le commissaire de la ville, Arnaud Verhille, assurant avoir voulu ainsi « interrompre un processus incontrôlé ». Dans les Yvelines, au total 189 jeunes, âgés de 12 à 20 ans, ont été placés en garde à vue, selon le procureur de Versailles, et plus de 700 dans toute la France selon le ministère de l’intérieur.
Des images des interpellations, dont l’authenticité a été confirmée à l’Agence France-Presse et au Monde, ont été diffusées sur les réseaux sociaux. Elles montrent des rangées de dizaines d’élèves à genoux, les mains croisées derrière la tête, sous la surveillance de policiers casqués, armés de matraques et de boucliers. Certains sont alignés, le front contre un mur. Sur une des vidéos, une personne commente : « Voilà une classe qui se tient sage. » Les images ont été tournées en face du lycée Saint-Exupéry à Mantes-la-Jolie, et ont suscité de vives réactions.
Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.
Il faut savoir que l’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :
« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »
Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.
Ce qui revient à dire que techniquement parlant et on peu le dire aussi, officiellement, depuis le 1 er janvier 2017, la constitution de la Cinquième République n’est plus valable.
Il faut également savoir qu’en l’absence de constitution, sauf à admettre l’état de dictature, l’élection présidentielle est impossible. Techniquement, une élection présidentielle ne pourrait pas avoir lieu ou alors serait invalidée par la loi.
Élites et multinationales main dans la main contre le droit d’informer, contre la démocratie !
Lanceurs d’alerte sous pression, dépouillés de leurs droits sociaux, menacés et parfois même assassinés, loi sur le secret des affaires, tout se goupille et tout est désormais en place pour nous enlever un des droits les plus fondamentaux en démocratie, celui d’être informé.
Les témoignages sont édifiants et accablants. Cette Europe ultralibérale qui a été imposée à la France et ce, malgré le référendum de 2005 dévoile au fil des lois qui se votent en catimini, son véritable visage.