Alors qu’il était en déplacement en Bretagne, l’ex-Premier ministre en campagne pour la primaire de la gauche s’est fait légèrement gifler par un opposant, après avoir été hué lors de son arrivée.
Manuel Valls, décidément coutumier des déplacements mouvementé, a été giflé par un jeune opposant en sortant de l’hôtel de ville de Lamballe. Les chargés de la sécurité du candidat à la primaire de la gauche ont alors tout de suite mis le perturbateur à terre.
Dès son arrivée, Manuel Valls, accompagné du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, avait été accueilli par des huées de la part de manifestants hostiles.
>>>L’AUTEUR DE LA GIFLE<<<
Mise à jour de l’article 18/01/2017
Vue sous un autre angle :
A chaud, la réaction de certains élus :
@Oz dit :
20 janvier 2017 à 12 h 46 min
Je n’étais pas Charlie mais « Je suis Nolan »
Vous n’êtes pas le seul, il s’en faut !
Je n’étais pas Charlie mais « Je suis Nolan » 🙂
COMMISSAIRE JAVERT ET MISTER VALLS
À écouter M. Valls, qui nous racontait il y a peu son exploit sur France inter : il aurait « combattu » avec sang froid la violence d’un petit donneur de claques. Quel courage ! On peine à y croire… tellement c’est… glorieux ! Pensez donc, de la violence et des claques ? Au pays des bisounours ? Vraiment ?
Euh.. à vrai dire, pas des claques… mais une seule… une toute petite… En réalité, un projet de claque.
L’ennui, c’est qu’il n’y eu personne, pas un seul militant de gauche, pour expliquer à cette mauvaise copie vallsienne du commissaire Javert : ce grand amateur de bagne… pour les autres, et âme damnée du roman « Les misérables » de Victor Hugo, que cette petite baffe ne ressemblait en rien à un gros calibre du type 11.43.
En revanche, la brutalité des rafales de 49.3, froidement balancées contre le peuple souverain par ce « terrific » cow-boy des « saloon » atlantistes, c’était quoi ? De la roupie de sansonnet ? Du respect dû au Français et à leurs droits : foulés aux pieds de l’autel d’un Mammon oligarchique, aujourd’hui tout puissant ?
Ne serait-ce pas plutôt de la reconnaissance du ventre envers des scorpions bilderbergiens : auxquels tous les virtuoses du foutage de gueule, tous les candidats à la déprédation présidentielle — exception faite de F. Asselineau — ont prêté allégeance et à qui ils se sont déjà vendus corps et âme. Sans tralala.
En conséquence, attention ! Oyez citoyens ! En mai prochain, que ceux qui s’apprêtent à aller aux urnes, le fassent avec circonspection. Ou, alors, qu’ils s’abstiennent. Un traître peut en cacher un autre.
Excellent Thierry comme d’habitude 🙂