Economie : Taux négatifs, qu’est-ce que c’est et quelles en sont les conséquences ? (Vidéo)

Rembourser moins que l’on emprunte : c’est le principe des taux d’intérêts négatifs.

Les taux d’intérêts négatifs en quelques mots :

Selon Olivier Delamarche qui nous l’explique dans la vidéo illustrant ce billet, il faut impérativement que les taux d’intérêts soient à zéro ou négatifs car les états empruntent comme ils ne l’ont jamais fait. De ce fait, les banques centrales n’augmenteront jamais les taux de marché car si tel était le cas, l’endettement exploserait et ça serait l’apocalypse économique.

Pour palier au manque à gagner, les établissements qui prêtent vont aller investir  les marchés à risques ce que l’on appelle aussi : les obligations pourries  qui sont qualifiées de spéculatives, ceci afin d’essayer de capter un peu de rendement d’où la situation catastrophique dans laquelle se trouvent un grand nombre de banques systémiques telles que la Deutsche Bank par exemple.

À un moment ou à un autre, la situation sera telle que si rien n’est fait de la part des banques centrales, une crise pire que celle de 1929 serait alors inéducable et c’est la raison pour laquelle, les banques centrales seront obligées d’émettre encore plus d’argent papier car elles n’auront pas le choix et c’est à ce moment là que la crise deviendra monétaire car les monnaies s’écrouleront.

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Economie : «La Deutsche Bank est vraiment en très mauvaise posture»

Voici une vidéo qui pourrait vous intéresser concernant la probable faillite de la Deutsche Bank.

Le problème avec cet établissement c’est qu’il fait partie des plus grandes banques d’Europe si ce n’est même La plus grande. Elle est tentaculaire et a des ramifications partout dans le monde ; elle fait partie de ce que l’on appelle « les banques systémiques ». Si elle devait faire faillite, elle entraînerait dans sa chute d’innombrables autres établissements.

En ce qui me concerne, moi tout comme d’autres d’ailleurs, cela fait des années que nous alertons et là, les médias mainstream commencent sur la pointe des pieds et du bout des lèvres à le dévoiler : nous sommes au bord d’une crise économique sans précédent ; pire encore que celle de 1929.

En Suisse, c’est le Crédit Suisse qui se trouve dans la même posture et  avec ce que l’on a coutume d’appeler l’effet dominos, le reste suivra. Ce ne sont pas seulement les banques mais aussi les assurances, les caisses de pension etc…

Le tsunami devrait selon des experts en économie de plus en plus nombreux et unanimes avec cette vision des choses, survenir entre la fin de cette année et le début de l’année prochaine ; au plus tard, en 2022.

Pour l’heure, l’économie est soutenue artificiellement par perfusion avec ce que l’on appelle : le quantitative easing. (Recours à la planche à billets de la part des banques centrales) ce qui est censé relancer l’économie mais qui au final ne sert que les spéculateurs. Toutefois, l’idylle est sur le point de se terminer.

Note personnelle et parcours de vie :

Cela ne m’effraye pas trop, j’ai l’habitude de la précarité de la galère et suis passablement rôdé pour pouvoir m’en sortir de plus, je vis dans une petite communauté, un village fondée par une association genevoise et nous sommes quasi autonomes en matière d’alimentation. Nous avons des antennes avec des agriculteurs et des artisans locaux qui nous permettent de nous projeter dans l’avenir avec  une relative sérénité.

Par contre, le jour (et il est tout proche) où le système va s’effondrer, il y en a qui vont morfler grave !

À tous les endormis, à toutes celles et ceux que le déni réconforte, aux lobotomisés du système, préparez-vous car l’heure est proche !

Vidéo :

Ernst Wolff, journaliste et écrivain, commente la suppression de 18 000 emplois par la Deutsche Bank d’ici à 2022. Il revient sur le parcours récent du géant allemand, et notamment son passage dans la banque d’investissement et les «paris financiers».

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Economie : “Début de ‘Bank Run’ à la Deutsche Bank, les fonds retireraient 1 milliards$ par jour (Zero Hedge) !”

J’en parlais hier dans un billet. L’économie va s’effondrer !

Philippe Herlin: “Début de ‘bank run’ à la Deutsche Bank, les fonds retireraient 1 milliards$ par jour (Zero Hedge) La banque aux 45.000 milliards€ de produits dérivés bientôt en panne de liquidité ?”

 

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URGENT ! La Deutsche Bank licencie Dix-huit mille employés dans le monde

Pierre Jovanovic : Deutsch Bank, agonie avant liquidation !

Pour Pierre Jovanovic, la Deutsche Bank, qui s’apprête à licencier 18 000 personnes, est dans la même situation que la Lehman Brothers au moment de sa chute.

Invité de « Politique-Eco » pour sa célèbre revue de presse, le journaliste économique estime que l’établissement a été détruit par les CDS de l’Américaine Blythe Masters, les taux négatifs et bien sûr par la folie de la planche à billets. Une future faillite qui fait trembler l’Allemagne…

Deutsche Bank, Christine Lagarde, Bitcoin… Olivier Delamarche, l’économie sans langue de bois.

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Finances : Deutsche Bank au plus bas de son histoire

A l’image du secteur bancaire, la Deutsche Bank est malmenée en bourse ce lundi. En retrait de 2,5% à 5,9 euros, le titre de la banque allemande évolue pour la première fois de son histoire sous la barre des 6 euros. De quoi accroître la pression monte sur Christian Sewing, le directeur général de l’établissement, qui n’aura pas réussi son pari de fusionneravec la Commerzbank.

Le patron a promis de présenter un nouveau plan de restructuration après que son programme précédent, dévoilé l’année dernière, n’eut pas réussi à ramener la banque d’investissement sur le chemin de la croissance et de la rentabilité. Christian Sewing a dernièrement déclaré aux actionnaires qu’il était prêt à procéder à des « coupes sombres », notamment dans le trading action, pour rétablir la confiance du marché. Selon les informations de ‘Bloomberg’, ce nouveau plan pourrait être dévoilé d’ici la fin juillet.

« Nous n’envions pas Sewing, qui a hérité du poste le plus difficile dans le secteur bancaire européen, mais nous pensons qu’il est prêt à relever le défi d’agir contre le statu quo », affirment dans une note les analystes de JPMorgan Chase&Co. « La Deutsche Bank doit cesser de ‘bricoler’ avec ses efforts de restructuration… La prochaine étape doit être une décision objective sur les activités qui peuvent être fermées, les actifs réduits et les mesures de réduction des coûts qui peuvent être prises pour permettre au groupe d’être sur un pied d’égalité avec ses pairs », ajoute le courtier américain.

Vidéos :

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Economie : La Deutsche Bank pourrait déclencher une nouvelle crise financière mondiale

Le plus grand organisme de crédit de l’Union européenne (UE), la Deutsche Bank, pourrait se trouver à l’origine de la prochaine crise mondiale. Le Fonds monétaire international (FMI) a déjà reconnu cette banque allemande comme la plus grande menace pour le système financier mondial.

Les problèmes de la Deutsche Bank sont apparus il y a plusieurs années, quand un trou de 12 milliards d’euros a été découvert dans sa balance financière.

Josef Ackermann, son président à l’époque, avait décidé de dissimuler cette réalité en falsifiant la comptabilité. Tout en présentant aux actionnaires de fausses informations, il affirmait que la banque disposait de fonds suffisants pour pallier toutes les difficultés. La publicité agressive déployée par la banque permettait également de maintenir l’image d’un établissement financier sûr et fiable, et, en grande partie, le soutien du gouvernement allemand.

Mais le trou financier de la banque s’est creusé, et la direction a engagé des mesures de plus en plus risquées pour redresser la situation. Ainsi, la banque s’est lancée dans les machinations avec le taux de référence Libor (avec la participation d’autres grands acteurs tels que les britanniques Barclays et Royal Bank of Scotland, la suisse UBS et la Société générale française). Quand cette information a fait surface, la Deutsche Bank a reçu une amende de 2,5 milliards de dollars, alors que l’agence S&P a revu à la baisse sa note de crédit de trois marches d’un coup, jusqu’à BBB+.

Et pour rappel :

Sauver la Deutsche Bank

Comme la Deutsche Bank est d’une taille largement systémique, si elle tombe, le monde entier tombe. Donc elle sera sauvée. Conclusion : plus c’est grave, moins c’est pire !

Oui mais on n’a pas les moyens de la sauver…

Bien sûr que si. Il suffit d’imprimer les billets nécessaires. Mario Draghi fait d’ailleurs déjà chauffer les machines en sous-sol.

Oui mais l’inflation…

Pas de crainte ! Sur le court terme, ce n’est pas de l’argent qui « circule » en fait. Vous devez comprendre que pour que l’inflation existe, il faut que l’argent circule de plus en plus vite, qu’il y ait de plus en plus d’échanges et de transactions ; bref, d’activités économiques ! Tant que l’argent créé sert à financer ou à combler des trous qui ont déjà été faits, cela n’aura aucun impact ou très mineur sur l’inflation. C’est ce que l’on appelle une « trappe à liquidité ». Plus clairement, la quantité de nouvelle monnaie créée sert à équilibrer des bilans mais rien de plus. À ce compte-là, la création monétaire peut être bien plus importante que ce que l’on pense.

Retour sur l’article >>>

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Économie : Un retour au Franc est inévitable

Analyse pertinente de l’économiste Charles Gave  pour qui, selon lui, un retour au Franc est inévitable.

L’Euro ne marche pas et ne pourra jamais fonctionner. L’Euro est une machine qui a été bâtie contre toutes les lois monétaires ce qui implique qu’il va falloir une fois ou l’autre retourner aux monnaies nationales et le fait que le front national l’ait dit avant les autres ne signifie pas pour autant que l’idée soit fausse.

L’Euro ne peut pas fonctionner car nous sommes confrontés à des productivités différentes entre les états et qu’il n’y a aucun mécanisme d’ajustement.

Exemple : En Italie le coup du travail est de 25 % plus élevé qu’en Allemagne et le coup du capital est plus bas en Allemagne qu’en Italie ce qui fait que tous les investissements se produisent en Allemagne et la croissance en Italie se met en berne.

A terme, l’Allemagne va faire faillite. Les Allemands qui ont suivi une politique mercantiliste depuis 10 ans en taxant la consommation et en subventionnant la production sont  devenus super compétitifs par rapport aux autres pays avec lesquels ils avaient des taux de change fixe. Ils ont développé mille milliards d’Euros d’excédent commercial vis à vis de ces pays de l’Euroland  et comme nous sommes dans une zone de payements fermée cela signifie que les allemands se sont embourbés dans mille milliards d’Euros de papier émis par les grecques, les français, les italiens etc… Ces mille milliards d’Euros valent aujourd’hui et à tout casser, 500 milliards si tout va bien. Le capital des banques allemandes est de trois cent milliards. Le rapprochement est  donc vite fait, le système financier allemand est aujourd’hui en faillite.

>>>Voir aussi l’article sur la Deutsche Bank<<<

L’Allemagne aujourd’hui est à la veille de rentrer dans une dépression.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Faillite éventuelle de la Deutsche Bank : quelles répercussions pour vous ?

Faillite éventuelle de la Deutsche Bank : quelles répercussions pour vous ?

Si la Deustche Bank devait s’effondrer, tout le système économique s’effondrerait aussi. Raison pour laquelle elle risque bien d’être sauvée. Mais si ce n’était pas le cas…

vk

Sauver la Deutsche Bank

Comme la Deutsche Bank est d’une taille largement systémique, si elle tombe, le monde entier tombe. Donc elle sera sauvée. Conclusion : plus c’est grave, moins c’est pire !

Oui mais on n’a pas les moyens de la sauver…

Bien sûr que si. Il suffit d’imprimer les billets nécessaires. Mario Draghi fait d’ailleurs déjà chauffer les machines en sous-sol.

Oui mais l’inflation…

Pas de crainte ! Sur le court terme, ce n’est pas de l’argent qui « circule » en fait. Vous devez comprendre que pour que l’inflation existe, il faut que l’argent circule de plus en plus vite, qu’il y ait de plus en plus d’échanges et de transactions ; bref, d’activités économiques ! Tant que l’argent créé sert à financer ou à combler des trous qui ont déjà été faits, cela n’aura aucun impact ou très mineur sur l’inflation. C’est ce que l’on appelle une « trappe à liquidité ». Plus clairement, la quantité de nouvelle monnaie créée sert à équilibrer des bilans mais rien de plus. À ce compte-là, la création monétaire peut être bien plus importante que ce que l’on pense.

Pire, il n’y a aucune raison pour que des banques centrales, qui n’ont pas hésité à mettre en place des taux négatifs, impriment les billets qui viendraient à manquer… et ne pas le faire équivaudrait à un suicide économique collectif.

La Deutsche Bank : un vrai problème politique pour l’Allemagne

Angela Merkel serait obligée de quémander, à Mario Draghi, l’Italien laxiste, et à François Hollande, 1 000 milliards d’euros pour sauver sa Deutsche Bank. Il n’est pas sûr qu’elle y survive politiquement parlant.

Impossible, et c’est là que le sauvetage inéluctable de la Deutsche Bank devient complexe. Il est économiquement très simple. Politiquement beaucoup plus ardu.

Pour s’en sortir la tête haute, le plus probable est de faire ressortir les difficultés de banques étrangères comme les espagnoles, les italiennes et évidemment une ou deux portugaises.

Face à la crise bancaire européenne et non pas uniquement « allemande », la BCE, appuyée par la grande mansuétude allemande et grâce à la bienveillance de la chancelière, viendra sauver les banques européennes de la déroute à quelques semaines de l’élection présidentielle en France : François Hollande pourra proclamer : « J’ai sauvé l’Europe… c’est important l’Europe… »

Alors faut-il paniquer ?

Pas plus que d’habitude, mais pas moins. Ce nouvel épisode montre à quel point rien n’est réglé, et à quel point vous devez vous « débancariser » et migrer au maximum vers des actifs tangibles. Or, terre, un peu de cash mais point trop, et éventuellement vos biens professionnels sont les seules choses valables dans lesquelles investir. Enfin, n’oubliez pas quelques sacs de riz et boîtes de conserve. Cela ne vaut rien aujourd’hui ou presque rien.

Car si la Deutsche Bank devait s’effondrer, et tout le système avec… alors nous ne parlerions plus que de survie dans un chaos indescriptible. C’est la raison pour laquelle je pense qu’ils sauveront encore une fois les banques, a minima, et tout recommencera dans deux ans.

source

vk

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