Forum Economique de Davos: Au moins ils annoncent la couleur / Forumul Economic de la Davos: Măcar ei anunță culoarea / Davos Economic Forum: At least they announce the color

Forum Economique de Davos: Au moins ils annoncent la couleur

A Davos, Julie Inman Grant, la commissaire australienne à la sécurité électronique: «nous devons penser à recalibrer toute une gamme de droits de l’homme comme la liberté d’expression ou la dignité de l’enfant ».

… Et les soit disant complotistes vous alertent depuis des mois !

Avez-vous la plus petite idée de ce qui est en train de se produire à Davos en ce moment!?

Forumul Economic de la Davos: Măcar ei anunță culoarea

La Davos, Julie Inman Grant, comisarul australian pentru securitate electronică: „trebuie să ne gândim la recalibrarea unei game întregi de drepturi ale omului, cum ar fi libertatea de exprimare sau demnitatea copilului”.

… Și așa-zișii conspiratori vă alertează de luni de zile!

Ai idee ce se întâmplă în Davos acum!?

Davos Economic Forum: At least they announce the color

In Davos, Julie Inman Grant, the Australian Commissioner for Electronic Security: « we must think about recalibrating a whole range of human rights such as freedom of expression or the dignity of the child ».

… And so-called conspirators have been alerting you for months!

Do you have any idea what is happening in Davos right now!?

Stéphane Guibert / Rares Mihai Florescu

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LE GRAND RESET (RÉINITIALISATION) ÉCONOMIQUE. L’ARME FATALE DES MONDIALISTES ( i.d SATANISTES)

LE GRAND RESET (RÉINITIALISATION) ÉCONOMIQUE. L’ARME FATALE DES MONDIALISTES ( i.d SATANISTES)

Tout le monde est partant pour le grand reset, enfin presque tout le monde, il y a un gars qui a le pouvoir de faire quelque chose pour arrêter ça et vous savez exactement de qui je parle, et ils ont fait une erreur en essayant de mettre Trump de leur côté.

Ils ont invité Donald Trump à Davos, deux fois je crois, mais en janvier, quand Donald Trump a vraiment commencé à voir la bête qui se dressait contre lui, il est allé à Davos, oui au forum économique mondial, et il leur a fait un énorme doigt d’honneur :

 » Nous nous sommes engagés à préserver la majesté de la création de dieu, et la beauté naturelle de notre monde, mais pour embrasser les possibilités de demain nous devons rejeter les éternels prophètes de malheur, et leurs prédictions de l’apocalypse, ces alarmistes exigent toujours la même chose : le pouvoir absolu de dominer, transformer et contrôler chaque aspect de nos vies, nous ne laisserons jamais les socialistes radicaux détruire notre économie et ruiner notre pays« .

Président Donald Trump

Mise en ligne : Stéphane Guibert / Finalscape

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Corruption et Mafia : OMS, Big Pharma et revue The Lancet, l’heure des comptes à sonné

Corruption et Mafia : OMS, Big Pharma et revue The Lancet, l’heure des comptes à sonné

 Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalierelle met plus de temps mais elle finit toujours par arriver.

When the lie takes the elevator, the truth takes the stairs, it takes longer but it always ends up happening.

Le Covid-19 aura souri à la mafia mondialisée en utilisant la peur d’une civilisation toute entière mais voilà, la roue tourne et on se rend compte aujourd’hui à quel point le Corona virus aura été instrumentalisé à des fins purement politiques et financières.

Dans quel monde vivons-nous et les peuples se laisseront-ils encore manipuler aussi naïvement ?

Bas les masques au sens propre comme au figuré.

The Covid-19 will have smiled at the globalized mafia using the fear of an entire civilization but  the wheel is spinning and we realize today how much the Corona virus has been used for purely political and financial purposes .

What world do we live in and will people still be so naively manipulated ?

Down with the masks, literally and figuratively.

Stéphane Guibert / Finalscape / VK

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Mondialisation & Nouvel Ordre Mondial : Mais qui était George Soros ?

Mondialisation & Nouvel Ordre Mondial : Mais qui était George Soros ?

« L’homme qui fit sauter la Banque d’Angleterre »

George Soros, né le 12 août 1930 à Budapest était un homme d’affaire américain d’origine hongroise. Il est décédé le 21 mars 2020, à l’âge de 89 ans.

Il devint célèbre pour ses activités de spéculation sur les devises et les actions qui ont marqué l’histoire des bourses de valeurs et ont causé des crises économiques, puis par ses activités de philanthropie. Il fut à l’origine des hedge funds apparus dans les années 1970 qui se distinguent de la bulle financière japonaise.

George Soros était président de Soros Fund Management, basé à New York, qui gère en 2012, 25 milliards de dollars pour lui, sa famille et ses fondations. Il fonda l’Open Society Institute, devenu en 2010 Open Society Foundations, dont il était le président.

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Bancariser le langage : Quand « je me suis bien amusé » est remplacé par « j’ai bien profité »

Mondialisation : La résistance par les mots !

Avez-vous prévu de « profiter » de ce lundi de Pâques pour prendre du repos ? Vous ne croyez pas si bien dire : l’inflation du terme « profiter » n’est qu’un exemple parmi d’autres, selon l’écrivain Grégoire Bouillier, de l’intrusion d’un vocabulaire financier dans notre langage…

« Je me suis bien amusé » ou : « J’ai bien profité », « Je m’occupe des achats » ou : « Je gère les achats » …

Et si ce n’était que ça ; l’américanisation du français :

« J’ai un timing serré » ou : « J’ai peu de temps », Je suis overbooké » ou : « Je suis surchargé », « Fast food » ou : « Alimentation rapide », « Un repas light » ou : « un repas léger », « Fashion victim » ou : « Victime de la mode »…

Grégoire Bouillier écrivain et journaliste dénonce l’intrusion du vocabulaire financier dans notre langage.

« Profiter » est un mot qui vient en remplacement d’énormément d’autres :  C’est une langue qui se met en place, impersonnelle, une langue économique que nous parlons aujourd’hui de plus en plus, sans nous en rendre compte, une langue qui est téléguidée par les banques et une volonté de tout uniformiser.

Dans une supérette, un type s’adresse à sa copine et lui dit :  » Toi tu t’occupes des légumes, moi je gère le beurre. » « Je gère le beurre ! »  Quand on en arrive là et bien que cela ait l’air innocent et peut-être même amusant, il faut toutefois relier cette phrase anodine à l’appauvrissement de la langue. Les mots : « profiter » ou « gérer » pour ne citer qu’eux relèguent aux rebut une multitude de mots qui au fil du temps tomberont dans l’oubli. Cet appauvrissement de la langue française fait penser à Goebbels qui disait :  « Il ne faut pas convaincre les gens des idées du nazisme, il faut réduire la langue de sorte qu’on ne puisse plus exprimer que les idées du nazisme. »

Il s’agit donc d’un combat des mots qu’il faut affronter de face, c’est le pouvoir de la littérature contre la manipulation et l’endoctrinement de l’inconscient collectif. Il ne s’agit pas d’émettre uniquement des idées, il faut surtout contester à la racine la domination qui nous englobe tous.

Stéphane Guibert / Finalscape

Voir aussi : L’anglo-américanisation du français >>>

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L’effondrement américain en image. Plus d’eau courante ni potable aux États-Unis ! La descente aux enfers de la finance

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Faire la guerre à l’ensemble du reste du monde c’est très bien.

Pourtant, sur le terrain, certains Américains, de plus en plus nombreux commencent à avoir une autre vision de la grandeur américaine qui s’apparente plutôt à une vision de déclin…

Nous sommes là dans le pays le « plus riche » de la planète.

Nous parlons ici de la première puissance du monde…

Nous parlons ici d’un pays qui a réussi tout de même à accumuler plus de 20 000 milliards de dollars de dettes!!!

Alors, où part le « pognon » se demandent les « gilets jaunes » américains, qui ont évidemment voté Trump comme le rappelle ce reportage de France 24 car si Trump a été élu, ce n’est pas le fruit du hasard.

C’est parce que la-bas comme ici, les choses ne tournent pas franchement très rond.

Nous avons exactement les mêmes problèmes en France et en Europe. Partout en réalité dans l’ancien monde dit développé c’est un effondrement lent avec une terrible détérioration progressive des infrastructures, qu’elles soient médicales et de santé ou encore d’adduction en eau potable ou même des réseaux d’électricité.

Je vous laisse donc visionner ce reportage édifiant. Les Américains font les mêmes sur nous…

Pensez votre résilience et votre autonomie, c’est le meilleur conseil à garder en tête pour affronter ce qui va se passer dans les 30 prochaines années.

La bulle de tout est en train de prendre fin, et ce ne sera pas un moment agréable.

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Société, Consumérisme & Mondialisation : Le premier magasin sans caisse de Suisse ouvre ce printemps (Vidéo)

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Dans la superette «avec box» de Valora, les clients utiliseront une application mobile pour scanner et payer les produits. (Source: Valora)

Le groupe Valora va ouvrir la superette sans caisse «avec box» près de Zurich, au printemps 2019. Tout de même pas aussi automatisé que les magasins Amazon Go, le concept que testera Valora demande aux clients de scanner via une app dédiée les produits qu’ils achètent.

Le concept de magasin sans caisses débarque en Suisse. Le groupe Valora va ouvrir la première superette du genre au printemps 2019, à la gare de Wetzikon dans le canton de Zurich. Baptisé «avec box», ce point de vente de 53 mètres carrés sera accessible uniquement en scannant un code QR à l’aide d’une app dédiée, via laquelle les paiements seront automatisés. Des employés seront présents aux heures de pointe le matin et le soir pour aider les clients dans leurs achats, remplir les rayons et tenir les lieux en ordre, précise Valora. Proposant de l’alimentation et des produits frais, cette superette automatisée constitue un projet pilote qui permettra de recueillir le feedback des clients. Si l’expérience est concluante, le détaillant pourrait par la suite étendre le concept à d’autres régions du pays.

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Europe & France : Les riches encaissent l’argent que l’on prélève chez les pauvres

Ce n’est plus un secret et on l’aura bien compris, le régime néolibéral qui dirige l’occident ne profite qu’aux riches. 

Pour faire court et en schématisant :

les 30 glorieuses ont marqué le point de départ d’une économie tournant à plein régime, il fallait produire et consommer pour faire fonctionner la machine. Tout le monde en profitait, les consommateurs dont les revenus étaient ajustés au coût de la vie et dont le système attendait d’eux qu’ils consomment et les plus fortunés dont les bénéfices et dividendes ne faisaient que gonfler. Le consommateur était le mouton qui se faisait paisiblement tondre et l’actionnaire, le loup déguisé en berger bienveillant.

2008, la crise des subprimes : c’est un tsunami qui ravage l’économie de la planète toute entière. Il fallait renflouer les banques qui tombaient les unes derrière les autres tel un jeu de dominos. C’est l’argent public qui sauva les naufragés de la faillite et c’est à ce moment que la dette entra clairement sur scène. 2019, l’économie et les banques sont à nouveau mises à mal ; la consommation stagne ou régresse les rentrées d’argent sont moindres.  Pour les riches, pas question de partager quoi que ce soit avec ceux d’en bas et pas question non plus de se serrer la ceinture. Une solution toute simple se présente : mettre en avant la dette pour justifier des coupes budgétaires que l’on impose au peuple. Rendez-vous compte : les pauvres représentent 99% de la population mondiale ; imaginez la manne pour le 1% de la population restante.

Il faut bien prendre conscience que la mondialisation n’a rien de bon pour les esclaves que nous sommes. L’Europe que nous présentent les médias n’est qu’un artifice fait de paillettes, de fausses promesses et de mensonges éhontés ce qui jusqu’ici, il faut bien le reconnaitre, étaient assez convaincants ; mais les esprits se réveillent et l’insurrection gronde. Le système s’en rend compte et tel un animal aux abois, il joue ses dernières cartes pour résister.

À présent, souvenez vous des promesses de Macron lors de la présidentielle de 2017 concernant les retraites. Je vous laisse à vos bons souvenirs.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / Anonymiss France / SOS Climat / VK

Pour rappel : « Quand l’Europe sauve ses banques »

Un petit rappel sur le scandale européen du renflouement des banques par les contribuables.

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PRIVATISATION DES BARRAGES : LE CASSE DU SIÈCLE

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« La privatisation des péages, c’est de la gnognote à côté de celle des barrages »

Bien comprendre ce qui se trame est à la portée de tous !

Gilles Balbastre, co-réalisateur du film « Les nouveaux chiens de garde » dénonce l’immense arnaque de la privatisation de tous les barrages hydro-électriques français d’ici 2020 voulue par le régime actuel.

Privatiser le service public c’est donner les pleins pouvoirs aux industriels. Imaginez vous un blackout électrique ! Cela permettrait aux multinationales et à leurs actionnaires de mettre autant de zéros qu’ils le désirent après la virgule.

Privatiser un pays comme le font la Grèce et la France par exemple, c’est jeter en pâture à une oligarchie assoiffée de pouvoir, d’argent et de sang comme cela est le cas en ce moment avec le mouvement « Gilets jaunes » des nations entières.

Il faut bien prendre conscience de ce qui lentement et sournoisement se déroule sous nos yeux égarés par des artifices savamment orchestrés ; il s’agit d’un asservissement mondialisé des populations au nom du néolibéralisme, ce rouleau compresseur sans âme qui ira jusqu’au bout, jusqu’à sa propre destruction tant qu’il aura une miette à se mettre sous la dent !

Un mal autodestructeur et absolu qui n’aura de cesse que d’enfler avant d’éclater !

À présent, il y a celles et ceux qui sont éveillés et qui lutent au péril de leur statut social et parfois même de leur vie comme c’est le cas avec les lanceurs d’alerte, il y a celles et ceux qui, satisfaits par leur sort ne regardent pas là où ça dérange et il y a celles et ceux que la dictature nourrit.

Une belle image de notre civilisation !

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Société : Néolibéralisme et mondialisation

Mise à jour : jeudi 7 mars 2019 – 17:30 –

Dans ce monde néolibéral où nous serions toujours en retard, il faudrait « s’adapter »… Analyse d’un courant de pensée né de la société industrielle, avec la philosophe Barbara Stiegler.

L’unique tâche de la démocratie (néolibérale) c’est que « les leaders, assistés des experts, fassent la pédagogie des réformes pour fabriquer le consentement des masses. »

Dans les démocraties néolibérales, « le cap est déjà fixé définitivement (…) On n’a pas le droit de discuter le cap.)

Barbara Stiegler

Extrait sur VK

L’intégrale sur Youtube

En 1988, Noam Chomsky exposait la manière dont les médias de masse fabriqueraient le consentement collectif au profit d’un ordre établi, d’une vision économique dominante ou d’intérêts privés ou institutionnels.

Chomsky ouvrait la brèche de la nuance des choses : il n’y a pas d’un côté les dictatures et de l’autre le paradis : chaque système tend à préserver son modèle en influençant, par la force ou par la ruse, les citoyens. La démocratie est donc tout autant soumise à cette influence organisationnelle qui se perpétue élections après élections.

La théorie de Chomsky peut sembler « complotiste » d’un premier abord. Pourtant, tout semble indiquer aujourd’hui qu’il avait raison. Pujadas lui même admettait dernièrement que son travail est au service d’une vision du monde : celle de la consommation de masse et de la croissance économique. Nécessairement, on peut se questionner sur le sort réservé à ceux qui sortent de cette vision. Que le gouvernement soit de gauche ou de droite, on constate que cette course à la croissance et à la consommation reste intacte dans les discours. Et ceci se ressent particulièrement en période électorale. On sait aujourd’hui que les sondages orientent les intentions de vote, tout comme la médiatisation des candidats. Macron, Fillon, Le Pen, une poignée de candidats ont été surmédiatisés, tels des constructions symboliques dans l’esprit des masses. Mélenchon, par exemple, bénéficie de moitié moins de visibilité. D’autres, comme François Asselineau ou Charlotte Marchandise, disparaissent des radars. Déjà en 2015, beaucoup se doutaient d’une nouvelle polarisation binaire des représentations politiques : Le FN servant une fois encore d’épouvantail pour ramener les brebis à la bergerie et perpétuer un modèle actuel.

Voici le peuple invité une nouvelle fois à choisir entre la droite, la droite conservatrice et encore plus de droite (NB : tout le monde s’accorde aujourd’hui à dire que la politique d’Hollande a bifurqué à droite). Mais ce jeu de dupes reste particulièrement dangereux. La victoire de Trump et de figures réactionnaires partout dans le monde laisse suggérer deux hypothèses : soit les institutions surestiment leur capacité à contrôler la situation et sont submergés par la pensée réactionnaire, soit la prise du pouvoir par l’extrême droite fait partie des options acceptables aux yeux du capital. La seconde reste envisageable. Dans le cas de Trump, toutes ses mesures servent à soutenir la consommation, la relance de l’industrie pétrolière et la liquidation des règles environnementales : une fois encore, l’intérêt privé des grands détenteurs de capitaux. À travers l’histoire, tout basculement à l’extrême droite a toujours donné naissance à un violent capitalisme couplé à l’éradication de toute pensée sociale ou partageuse (le fantôme du communisme). Dans les deux cas, ces options forment un mur contre toute révolution éco-sociale ou volonté d’entamer collectivement une transition immédiate de l’appareil productif.

Sommes nous donc voués à perpétuer un même modèle ? N’est-il jamais trop tard pour revoir sa lecture du monde ?

Un grand merci au groupe FB. Mr. Mondialisation pour cette analyse. (ndlr)

Voir aussi :

Mondialisation, Capitalisme, Néolibéralisme, Ubérisation : Attention Danger de Mort ! >>>

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