Que l’on ne me parle plus de constitution française car elle n’existe plus depuis 2017 (Vidéo)

Un petit rappel pour celles et ceux, politiques ou journalistes qui parlent de la séparation des pouvoirs et de constitution :

Avant toute chose, je vous propose de commencer par la fin :

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.

Que c’est-il passé ?

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1er. janvier 2017.

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

“Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.”

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Démocratie directe : POUR MACRON, LA SUISSE «N’EST PAS DU TOUT UN EXEMPLE…»

Source de l’image

S’exprimant jeudi avec une poignée de journalistes, le président écarte toute idée que la France s’inspire de la démocratie directe helvétique, «qui ne marche pas aussi bien qu’on le pense».

«On n’est pas du tout fait pour ça. Je crois aux identités profondes des peuples.» Le président français Emmanuel Macron a invité jeudi soir quelques journalistes pour participer à une «discussion au coin du feu», une première dans son mandat. Le journaliste du «Point », Emmanuel Berretta, a participé à cette causerie dans laquelle il a été question de la démocratie suisse. Une des revendications des gilets jaunes est d’introduire un «référendum d’initiative citoyenne» (RIC), s’inspirant plus ou moins de la tradition helvétique.

Le journaliste a pu constater combien cette idée ne trouvait pas grâce aux yeux du président: «La Suisse, et son recours fréquent aux «votations populaires», n’est absolument pas le modèle qu’Emmanuel Macron veut prendre en exemple. Lors de la conversation au coin de feu que nous avons eue avec lui, jeudi, il a écarté fermement cette solution, tout comme il avait déjà fermé la porte au RIC.»

«Un modèle inadapté»

Emmanuel Macron insiste donc sur «l’identité profonde des peuples », ce qui veut dire, selon ses propos rapportés par «Le Point», que «La France n’est pas la Suisse et la Suisse ne marche pas aussi bien qu’on le pense. Le modèle suisse est inadapté. La Suisse, c’est 6 millions de personnes… Et d’ailleurs les Suisses, comme disait je ne sais plus qui, ils commencent toujours avec des questions de gauche et ils finissent avec des réponses de droite».

«La France n’est pas la Suisse»

Au-delà de cette boutade (et le fait que la Suisse compte 8 millions de personnes aujourd’hui), le président a insisté sur les différences fondamentales avec la France: «La Suisse a un système confédéral, avec une présidence tournante, des équilibres politiques très différents, un rapport différent à l’ouverture et la fermeture, une acceptation des inégalités, un rapport au monde qui est profondément différent. […] Nous sommes un peuple violent, depuis des siècles et des siècles. La France n’est pas la Suisse.»

Et, effectivement, la Suisse n’est pas la France, en tout cas pour ce qui est de cette violence séculaire… (Le Matin)

Source : Le Matin.ch

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L’Europe doit imposer et le peuple n’a rien à dire !

Mise à jour : lundi 28 janvier 2019 – 17:06 –

Elle est pas merveilleuse la démocratie ?

« L’Europe doit imposer sa volonté aux peuples. Les Gilets Jaunes seront contraints par la force et à la fin, c’est Macron qui gagnera. »

Entrez au cœur du disque dur : La France Big Brother, de Laurent Obertone, toujours disponible en librairie.

À GERBER !

G.S / FINALSCAPE

La violence d’un Foulard Rouge: «Les Gilets Jaunes sont des factieux et des séditieux, il ne sont qu’une petite partie du peuple… Leur volonté sera contrainte par la force s’il le faut !» David (Foulard Rouge)

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L’Europe sans les peuples, la vérité vraie !

Voilà l’histoire :

Lors du résultat du référendum Suisse sur l’adhésion du pays à L’EEE en 1992 et qui fut refusé par le peuple alors que j’étais bien jeune, je disais à mon entourage que l’Union européenne qui se dessinait était le résultat d’une Europe voulue par une oligarchie mondialiste et que ce qu’Hitler n’avait pas réussi à obtenir par la force était en train de s’accomplir par la diplomatie, j’avais vu juste.

Ma vision des choses bien que basique à l’époque, reflétait la vérité et bien que mon entourage m’ait alors catalogué de facho et de conspirationniste, le présent semble vouloir me donner raison. Voilà un pied de nez délivré à celles et ceux qui à l’époque me tournaient le dos en me traitant de protectionniste et de raciste.

Mon cercle d’amis est constitué de gens ne faisant pas partie de ma religion ni même de ma nationalité. Vous ne trouverez pas en moi un patriote irréductible bien au contraire, j’aime la différence et la pluriculturalité, je m’en nourris même.

L’Europe telle que nous la connaissons aujourd’hui est un mensonge bâti sur des promesses qui n’ont fait que le beurre de celles et ceux à qui profite le crime, celles et ceux qui se gavent de la misère des peuples.

Eh oui ! 1’000 SDF font la table d’un banquet de nantis et le déni est légion pour celles et ceux qui refusent la vérité.

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Gilets jaunes : La France et l’Union européenne en résumé

Au fur et à mesure que le mouvement des Gilets jaunes progresse, les consciences se réveillent et les infos, (les vraies) font surface et circulent.

Pourquoi tant d’impunité vis à vis de la répression et des violences commises par les forces de l’ordre ?

Parce que depuis le 1er janvier 2017, le pouvoir judiciaire, l’un des trois pouvoirs est passé sous le contrôle du pouvoir exécutif, ce qui donne à ce dernier une totale impunité. Ce décret porte le numéro : 2016-1675.

Pourquoi les forces de l’ordre tuant des manifestants ne sont-elles pas inquiétées, jugés et condamnés par un tribunal ?

Parce que la peine de mort a été réinstaurée partout en Europe en cas d’émeutes ou d’insurrections.

Texte du journal européen disponible ici >>>

Téléchargeable ici >>>

La France est-elle une démocratie ?

Non ! Parce selon l’article 16 de la charte des droits de l’homme, un pays qui n’assure pas la séparation des trois pouvoirs n’a point de constitution et par définition, un pays n’ayant pas de constitution n’est pas une démocratie.

En France, nous parlons de monarchie ou de dictature « molle » mais pas de démocratie.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Gilets jaunes : Union européenne, la dictature en marche !

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

“Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.”

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs soient séparés :

Le pouvoir exécutif
Le pouvoir législatif
Le pouvoir judiciaire

En plaçant le pouvoir judiciaire sous le contrôle du pouvoir exécutif, ce dernier jouit d’une totale impunité ; sans constitution, aucune élection ne peut être légitimée ni reconnue par la charte des droits de l’homme.

Par définition :

Un pays ne possédant pas de constitution n’a point le statut de démocratie.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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Gilets jaunes : Témoignages poignants de victimes estropiées à vie

Est-il nécessaire de dire que si ce qui est en train de se passer en France actuellement avec la répression exercée par le régime Macron à l’encontre des Gilets jaunes se passait dans un pays d’Afrique dont les réserves en ressources naturelles sont abondantes, il y a fort à parier que le gouvernement aurait déjà réagi en envoyant sur place des troupes militaires pour faire le ménage et ce, en toute illégalité et hypocritement au nom de la démocratie.

Seulement voilà, le jeu est inversé et c’est le peuple d’une soit disant démocratie qui s’insurge et qui au nom de sa liberté se lève comme un seul homme pour revendiquer ses droits les plus fondamentaux.

Voici des témoignages plus poignants les uns que les autres dévoilant une barbarie rarement égalée et cela se passe sous nos fenêtres.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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La constitution ? Mais quelle constitution !?

Mise à jour ; samedi 29 décembre 2018 – 19:34 –

C’est lors d’un direct à la télévision qu’un député de « La France En Marche » déclare qu’en vue des élections Européennes, le cœur de ce qui sera proposé sera de transférer l’essentiel de la souveraineté nationale à Bruxelles ; ce qui en soit est une énormité et bafoue à plat de couture tous les droits fondamentaux des peuples et de la démocratie.

François Asselineau, président-fondateur de l’UPR, seul parti à proposer le Frexit, la sortie de l’Otan et de l’euro rebondit sur cette vidéo pour dire qu’il s’agit d’une violation de l’article 4 de la constitution de la république.

Ce que François Asselineau ne mentionne pas dans son intervention, c’est que la constitution de la république n’existe plus depuis le 1er janvier 2017, en effet :

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.

L’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution.

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.

S’attaquer au programme de la France en marche est un coup d’épée dans l’eau, faute de constitution sur un plan légal.

Gentiment mais sûrement l’oiseau fait son nid mais dans ce cas précis, l’oiseau ressemblerait plutôt à un Raptor tout droit sorti de Jurassic Park et incarné par toute une bande de lobbyistes et actionnaires assoiffés de pouvoir et d’argent.

La constitution est rendue caduque par un vice de forme et les français n’y auront vu que du feu ; cela relègue la France dans la catégorie tant appréciée par certains pays du Moyen Orient ou d’Asie, au rang de dictature.

Bien à vous.

Stéphane Guibert  / Finalscape / Tous pour la vérité / VK

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France : Il était une fois la constitution (Vidéo)

Le 5 décembre 2016, Manuel Valls alors Premier ministre sous François Hollande a décrété placer l’autorité judiciaire (l’un des trois pouvoirs), sous le contrôle direct du pouvoir exécutif.

Il s’agit du décret portant le numéro : 2016-1675 qui a été appliqué à partir du 1 er janvier 2017.

Il faut savoir que l’article 16 de la charte des droits de l’homme stipule :

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. »

Pour qu’une constitution soit légitime, il est indispensable que les trois pouvoirs nécessaires à la démocratie soient séparés : l’exécutif, le législatif et le judiciaire.

Ce qui revient à dire que techniquement parlant et on peu le dire aussi, officiellement, depuis le 1 er janvier 2017, la constitution de la Cinquième République n’est plus valable.

Il faut également savoir qu’en l’absence de constitution, sauf à admettre l’état de dictature, l’élection présidentielle est impossible. Techniquement, une élection présidentielle ne pourrait pas avoir lieu ou alors serait invalidée par la loi.

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Suisse : Balance pas ta Suisse !

Voter non le 25 novembre à l’initiative pour l’autodétermination, c’est laisser partir son droit de vote en fumée. Alors dites OUI à l’initiative pour l’autodétermination et OUI à notre démocratie directe !

Voter non à cette initiative ferait intégrer le pays à l’Union européenne par la petite porte comme l’ont fait les français en 2007 avec le mortifère traité de Lisbonne.

G.S / FINALSCAPE

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